La colère de l'influenceuse Poupette Kenza, désormais installée à Dubaï, après 50.000 euros d'amendes pour pratiques commerciales trompeuses : "Par Allah, ce sont des gros voleurs !"

Partir s'installer à Dubaï, l'une des plus grosses influenceuses française n'échappe pas aux amendes et aux lois françaises. Ainsi, Poupette Kenza, suivie par 1,4 million d’abonnés sur Snapchat, fait part de sa colère après être sous le coup d’une amende de 50 000 euros pour « pratiques commerciales trompeuses » en ligne pour avoir fait la promotion d'un produit interdit en France. 

C'est la Direction générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des fraudes (DGCCRF) qui a décidé de taper fort lui reprochant d'avoir diffusé une publicité pour un blanchisseur de dents de la marque "Crest 3D White" sans indiquer son caractère commercial et avoir donné l’impression que la vente du produit était licite alors qu’il est interdit à la vente sur le territoire français .

Elle est également enjointe à diffuser un communiqué détaillant sa sanction sur ses comptes Instagram, TikTok et Snapchat. 

Poupette Kenza a alors fait prt de sa colère contre la direction des fraudes :

"Par Allah, ce sont des gros voleurs finis ! Tous les 'influs-voleurs" n'ont pas eu d'amendes et ces gros voleurs me mettent 50.000 euros pour la vente de Crest ? J'ai envie de vomir ! Sachez qu'on va diviser l'amende avec la marque, car moi je ne savais pas !"

A noter que la jeune femme de 22 ans est également accusée en France de maltraitance envers son fils d’un an et demi, depuis el mois de février dernier et avait été placée en garde à vue après le passage à l’hôpital de son petit garçon, qui aurait souffert d’une blessure à la tête.  Poupette Kenza a rapidement été visée par des accusations de maltraitance, notamment par plusieurs blogueurs. Entre autres, Aqababe, connu pour partager des exclusivités sur des personnalités.

Ces accusations ont été appuyées par plusieurs autres signalements déjà effectués à son encontre, sur la manière dont l’influenceuse s’occupe de ses enfants. La justice s’est rapidement emparée de l’affaire, et a ouvert une enquête pour des soupçons de « soustraction par le parent d’un enfant mineur sans motif légitime à ses obligations légales compromettant sa santé, sécurité, moralité ou son éducation ».