
Manifestations "historiques", grèves reconductibles, mais aussi ronds-points occupés ou spectacles annulés: les syndicats veulent mettre la France "à l'arrêt" ce mardi, jouant leur va-tout face au gouvernement à quelques jours d'une probable adoption de la réforme au Sénat.
Une France à l'arrêt, "c'est évidemment mauvais pour nos concitoyens", et "les premiers pénalisés, quand on a des grèves, ce sont les Français les plus modestes", a critiqué lundi soir la Première ministre Elisabeth Borne, défendant sur France 5 une réforme qui assurera la pérennité d'"un des piliers de notre modèle social".
Plus de 60% des enseignants du premier degré devraient être grévistes aujourd'hui, selon le Snuipp-FSU, premier syndicat du primaire. Pas de prévisions pour les collèges-lycées, les enseignants n'étant pas tenus de se déclarer 48 heures avant. Face à cette situation, les parents d'élèves ont dû trouver des solutions pour garder leurs enfants. Reportage.
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L'occasion était trop belle pour les enseignants. Déjà qu'ils n'ont pas une assiduité formidable au boulot, aujourd'hui c'était pain béni pour ne pas bosser avec une excuse "valable"!
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