10/08/2022 12:31

Le béluga est décédé lors de son transfert ce matin vers Ouistreham - L'animal, tout juste sorti de la Seine, a dû être euthanasié à cause d'une "dégradation de son état"

12h29: Le point sur ce que l'on sait à la mi-journée

Le béluga égaré dans la Seine depuis une semaine a dû être euthanasié mercredi après son arrivée en camion à Ouistreham (Calvados), où les experts espéraient pouvoir le soigner avant de le relâcher en mer. Le cétacé de 800 kg, un animal évoluant habituellement en eaux froides, avait été placé à l'arrière d'un camion frigorifique mercredi vers 4H après six heures d'efforts pour l'extraire de l'écluse de Saint-Pierre-la-Garenne (Eure).

"Le béluga est arrivé le mercredi 10 août à 10h30 au Service d’inspection vétérinaire et phytosanitaire aux frontières (SIVEP), situé à Ouistreham, pour réaliser une expertise vétérinaire et sanitaire avant d’envisager son potentiel transfert dans l’écluse de Ouistreham", a indiqué la préfecture du Calvados dans un communiqué. "Malgré les moyens techniques et logistiques mis en oeuvre, l’état du cétacé s’est malheureusement dégradé lors du voyage. L'expertise vétérinaire a révélé la situation de grande faiblesse, et d’activité respiratoire défaillante du béluga. La décision a donc été prise collégialement, avec les vétérinaires, de l’euthanasier", a ajouté la préfecture.

Sur twitter, la vétérinaire du Sdis Florence Ollivet-Courtois, a expliqué que le cétacé avait subi une dégradation de son état lors du transport en camion mercredi matin. "En cours du voyage, les vétérinaires ont constaté une dégradation de son état, notamment de ses activités respiratoires. Et on a pu constater à l’instant que l’animal était en anoxie (une diminution de la quantité d'oxygène, ndlr), donc ventilé insuffisamment, et donc la souffrance était évidente pour cet animal", a déclaré Mme Ollivet-Courtois. "Nous avons décidé qu’il n’était pas pertinent de le relâcher et donc qu’il fallait procéder à son euthanasie", a-t-elle ajouté.

L'ONG Sea Shepherd a également confirmé le décès du cétacé. "C'est la mort dans l'âme que nous annonçons que le béluga n'a pas survécu à la translocation qui était risquée, mais indispensable pour donner une chance à un animal autrement condamné. Suite à la dégradation de son état, les vétérinaires ont pris la décision de l'euthanasier", peut-on lire sur twitter. Les 24 plongeurs engagés et les sauveteurs manipulant les cordages autour de l'écluse avaient dû s’y reprendre à plusieurs fois, entre 22h et 4h du matin, pour attirer l’animal dans les filets et la structure capable de le soulever hors de l’eau, ont constaté des journalistes de l’AFP.

Le cétacé, dont l'état de santé a été jugé "alarmant", avait fini par être soulevé dans un filet tracté par une grue et déposé sur une barge, où il a été immédiatement pris en charge par une dizaine de vétérinaires vêtus de combinaisons blanches. Le béluga, dont la présence dans la Seine est exceptionnelle, avait ensuite été placé dans un camion réfrigéré qui a quitté l'écluse peu après 7h30, à petite vitesse pour parcourir les 160 km jusqu'à Ouistreham, selon des journalistes de l'AFP sur place.

Un bassin d'eau de mer, dans une écluse du port de Ouistreham, avait été mis à disposition pour réceptionner l'animal, qui devait y rester trois jours avant d'être remis en mer selon son état de santé. Repéré le 2 août dans le fleuve, le cétacé était retenu depuis vendredi dans le bassin d'une écluse, située à 70 km au nord-ouest de Paris.

12h17: "Nous sommes effondrés de cette issue tragique que nous savions fort probable mais nous remercions infiniment tous ceux qui ont oeuvré à cette mobilisation sans précédant", a déclaré l’ONG Sea Shepherd France sur Twitter.

12h07: "La décision d’euthanasier le béluga a été prise car il était trop affaibli pour être remis à l’eau", déclare le sous-préfet

11h28: Le béluga, qui avait été découvert il y a plus d'une semaine dans la Seine, a dû être euthanasié lors de son transfert d'une écluse de l'Eure au port de Ouistreham (Calvados), a annoncé la préfecture du département normand. "Malgré une opération inédite de sauvetage du béluga, nous avons la tristesse de vous annoncer le décès du cétacé", a annoncé la préfecture du Calvados sur twitter, précisant qu'il a été euthanasié.

09h39: Sorti de la Seine après une opération périlleuse qui a duré toute la nuit, le béluga a été placé à l'arrière d'un camion qui a pris à l'aube la route de Ouistreham (Calvados), prochaine étape de la course contre la montre pour sauver ce cétacé à l'état de santé "alarmant".

A son arrivée dans le Calvados, l'animal d'environ 800 kg sera installé dans une écluse d'eau de mer où il séjournera plusieurs jours avant d'être relâché, si son état le permet, en pleine mer. L'opération de sauvetage, commencée mardi vers 22h, a duré une partie de la nuit: il aura fallu six heures aux équipes pour sortir le béluga des eaux de l'écluse de Saint-Pierre-la-Garenne (Eure). Les 24 plongeurs engagés et les sauveteurs manipulant les cordages autour de l'écluse ont dû s’y reprendre à plusieurs fois, entre 22h et 4h du matin, pour attirer l’animal dans les filets et la structure capable de le soulever hors de l’eau, ont constaté des journalistes de l’AFP.

07h35: Le point sur ce que l'on sait ce matin

Le transport vers la mer du béluga égaré dans la Seine reste soumis aux résultats des examens de santé réalisés juste après son extraction périlleuse d’une écluse dans le département de l’Eure (nord de la France), a annoncé mercredi la sous-préfète de la ville d’Evreux. « Nous attendons les résultats de la prise de sang et des échographies, et en fonction des résultats la décision sera prise s’il doit ou non prendre la route vers la mer », a déclaré Isabelle Dorliat-Pouzet, lors d’un point de presse à l’aube devant l’écluse de Saint-Pierre-la Garenne (Eure).

La sous-préfète s’exprimait une heure après que le cétacé de près de 800kg a été sorti de l’eau dans un filet tracté par une grue et déposé, avec succès, sur une barge. « Au moment où je vous parle, il est vivant, il est sur la barge, il a survécu. Il est en cours de soins », a-t-elle confirmé. « On a pu constater que c’est un mâle, qu’il lui manque énormément de poids et qu’il a quelques plaies ». Une perfusion a été pratiquée « pour l’hydrater et lui permettre de tenir le coup hors de l’eau ».

Si les examens permettent d’envisager son transport, en camion réfrigéré, vers le littoral, il doit être relâché mercredi dans une écluse d’eau de mer du port de Ouistreham (nord de la France), avant d’être reconduit en haute-mer après trois jours d’observation. C’était « plus long qu’imaginé », mais « c’est un animal sauvage et c’était une technique nouvelle, donc il a fallu aller pas à pas », a-t-elle rappelé, saluant le travail collectif des quelque 60 personnes -- plongeurs, pompiers, gendarmes, zoologues, vétérinaires,... -- impliquées dans l’opération qui avait débuté mardi soir vers 20h00 GMT.

« Le moment où le béluga a été sorti de l’eau dans le filet », vers 02h00 GMT, « a été extrêmement intense et stressant parce qu’il a été surpris, il a bougé. C’était assez stupéfiant », a témoigné la sous-préfète, présente tout au long de l’opération. « Au moment où nous nous parlons, c’est un animal qui résiste et est vivant », a-t-elle ajouté, estimant que « l’opération, quelle que soit la suite, est une réussite ».

07h11: Le transport vers la mer du béluga égaré dans la Seine reste soumis aux résultats des examens de santé réalisés juste après son extraction périlleuse d’une écluse dans le département de l’Eure (nord de la France), a annoncé mercredi la sous-préfète de la ville d’Evreux.

« Nous attendons les résultats de la prise de sang et des échographies, et en fonction des résultats la décision sera prise s’il doit ou non prendre la route vers la mer », a déclaré Isabelle Dorliat-Pouzet, lors d’un point de presse à l’aube devant l’écluse de Saint-Pierre-la Garenne (Eure). La sous-préfète s’exprimait une heure après que le cétacé de près de 800kg a été sorti de l’eau dans un filet tracté par une grue et déposé, avec succès, sur une barge.

04h25: Le Beluga a été sorti de l'eau à 4h du matin, regardez les images impressionnantes !

02h51: Six heures pour sortir de l'eau le béluga : l'opération périlleuse pour tenter de ramener à la mer le cétacé d'environ 800 kg, jusqu'alors retenu dans une écluse dans l'Eure, se poursuivait dans la nuit de mardi à mercredi. Les 24 plongeurs engagés et les sauveteurs manipulant les cordages autour de l'écluse de Saint-Pierre-la-Garenne ont dû s’y reprendre à plusieurs fois, entre 22h et 4h du matin, pour attirer l’animal dans les filets et la structure capable de le soulever hors de l’eau, ont constaté des journalistes de l’AFP.

Le cétacé, dont l'état de santé a été jugé "alarmant", a fini par être soulevé dans un filet tracté par une grue et déposé sur une barge, où il a été immédiatement pris en charge par une dizaine de vétérinaires vêtus de combinaisons blanches. Pendant de longues minutes d’incertitude, l’imposant cétacé s’est retrouvé suspendu en l’air, agitant son corps blanc long de quatre mer, luisant au-dessus des têtes de ses sauveteurs, à la fois concentrés et fascinés.

Le béluga, animal évoluant en eaux froides, dont la présence dans la Seine est exceptionnelle, doit ensuite être placé dans un camion réfrigéré qui le transportera hors d'eau, "sur de la paille ou un autre élément de confort", à destination du littoral à environ 160 km, avait précisé la secrétaire générale de la préfecture de l'Eure, Isabelle Dorliat-Pouzet, avant le début de la délicate opération.

Un bassin d'eau de mer, dans une écluse du port de Ouistreham (Calvados), a été mis à disposition pour réceptionner l'animal, qui y restera trois jours, "le temps qu'on organise son rapatriement en pleine mer et qu'on observe son état de santé", selon la sous-préfète. Il devrait ensuite être emmené en haute mer pour y être relâché "assez loin des côtes" et "laisser la nature reprendre "ses droits", a estimé Mme Dorliat-Pouzet.

Repéré le 2 août dans le fleuve, le cétacé est retenu depuis vendredi dans le bassin d'une écluse, située à 70 km au nord-ouest de Paris. Sur la rive, Isabelle Rainsart est particulièrement émue. Cette quadragénaire est la première à avoir filmé le béluga le 2 août depuis son jardin donnant sur la Seine, à Vatteport, 35km en aval de l’écluse.

"J’ai bon espoir qu’il rejoigne la mer et qu’il ne finisse pas comme l’orque. On va attendre de voir comment se passe le transport, mais on a peut-être déjà réussi le plus dur", veut croire celle qui n’a plus lâché l’animal depuis leur première rencontre. Une orque, avait déjà été observée dans la Seine en mai, entre Rouen et Le Havre. Elle avait finalement été retrouvée morte et une autopsie avait privilégié un décès par inanition.

"Aujourd’hui est un grand jour pour ce béluga et pour toutes les personnes impliquées dans son sauvetage", a indiqué Sea Shepherd, l'ONG de défense des océans sur son site internet. L'ONG a évoqué "un parcours d'obstacles" pour gérer une situation "encore très inédite en France et à laquelle personne n’est préparé".

L'opération pour le ramener en mer, si elle est "hors du commun", n'est pas sans risque pour le béluga, déjà affaibli et sensible au stress, a rappelé Isabelle Brasseur, du Marineland d'Antibes.

"Il se pourrait qu’il décède maintenant, pendant la manipulation, pendant le trajet ou au point B" à Ouistreham, a-t-elle prévenu. Selon l'observatoire Pelagis, spécialiste des mammifères marins, le béluga a une distribution arctique et subarctique.

Il s'agit, selon ces experts, du second béluga connu en France après qu'un pêcheur de l'estuaire de la Loire en avait remonté un dans ses filets en 1948..

 

Mardi 9 août

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22h43: La préfecture de l'Eure a annoncé le début l'opération d'extraction du béluga, égaré depuis une semaine dans la Seine et retenu depuis vendredi dans une écluse à Saint-Pierre-la-Garenne. Celle-ci a débuté peu avant 22h. Les 24 plongeurs de la gendarmerie et des pompiers ont fait un dernier briefing avant de se diriger vers l'écluse pour tenter d'en extraire le béluga, qui doit être ensuite transporté par camion à Ouistreham (Calvados), a constaté un journaliste de l'AFP.

20h25: Début de l'opération de sauvetage du Béluga

17h15: «Une opération de transport du béluga égaré dans la Seine va être tentée aujourd'hui dans la soirée», avec un début fixé à 20 heures, d'après un communiqué diffusé par la préfecture de l'Eure. Dépêchés en urgence afin de tenter de sauver le béluga piégé dans la Seine, les soigneurs de Marineland ont réfléchi à un plan d’extraction de l’animal. «On a ce (mardi) matin quelque chose qui tient la route. On va exposer ce plan aux personnes qui vont nous aider et on va l'affiner (…) La priorité est de le remettre dans l'eau de mer», a affirmé Isabelle Brasseur, l’une des soigneuses de Marineland, auprès de TF1 Info.

Elle a ajouté que «ce qui est hors du commun, c'est le lieu», puisque les berges de la Seine «ne sont pas accessibles aux véhicules» à cet endroit et que «tout doit être transporté à la main».

La piste évoquée serait que le béluga soit transporté par route vers un sas à eau de mer, le temps d’être soigné, avant de le relâcher au large. La spécialiste a ensuite détaillé les tests qu’il devra effectuer avant de pouvoir être relaché au large. «Dans tous les cas, il faut le sortir de là. (...) Il faut essayer de comprendre ce qu'il a. Il peut y avoir des dégradations internes qui ne se voient pas (…). On va tout au long faire les différents examens pour essayer qu'il n'y ait pas de temps mort, de temps perdu (...), le vétérinaire va procéder d'abord à un examen visuel, puis une prise de sang, prélever un échantillon respiratoire…», a assuré Isabelle Brasseur.

15h07: L'opération pour extraire le béluga égaré dans la Seine sera "tentée dans la soirée", selon la préfecture de l'Eure. Une soixantaine de personnes seront impliquées dans l'opération. On n'observe "pas de dégradation de son état. Il reste alerte mais ne mange toujours pas", a indiqué à l'AFP la présidente de Sea Shepherd France, Lamya Essemlali.

Le cétacé, habitué des eaux froides et dont la présence dans ce fleuve est exceptionnelle, se trouve toujours dans l'écluse de Saint-Pierre-la-Garenne, dans l'Eure. Plusieurs tentatives pour nourrir l'animal, "très amaigri" selon la préfecture, ont eu lieu ces derniers jours mais sans succès pour le moment, amenuisant de jour en jour ses chances de survie.

De plus, un séjour prolongé dans l'eau de l'écluse, chaude et stagnante par rapport à son milieu aquatique habituel, est préjudiciable pour son état de santé.

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Lundi 8 août

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19h52: Le mammifère marin va être ramené dans la Manche annonce Le Parisien. Les services de l’État, qui travaillent en collaboration avec un comité scientifique et se réunissent deux fois par jour depuis le début de cette présence inédite dans le fleuve, ont annoncé en fin de journée une opération de transport vers la Manche, sans plus de détails.

15h01: Le beluga retrouvé dans la Seine le 2 août dernier se trouve toujours le fleuve et dans un état stable, selon l'ONG Sea Sheperd. On n'observe «pas de dégradation de son état. Il reste alerte mais ne mange toujours pas», a indiqué à l'AFP la présidente de Sea Sheperd France, Lamya Essemlali.  Le cétacé, habitué des eaux froides et dont la présence dans ce fleuve est exceptionnelle, se trouve toujours dans l'écluse de Saint-Pierre-La-Garenne, dans l'Eure.

Plusieurs tentatives pour nourrir l'animal, «très amaigri» selon la préfecture, ont été faites ces derniers jours mais sans succès pour le moment, amenuisant de jour en jour ses chances de survie. D

e plus, un séjour prolongé dans l'eau de l'écluse, chaude et stagnante par rapport à son milieu aquatique habituel, est préjudiciable pour son état de santé. Parmi les hypothèses imaginables figurent une extraction ou une ouverture de l'écluse avec l'espoir qu'il regagne la Manche.

08h11: Cinq jours après avoir été découvert dans la Seine, le béluga, qui vit dans des eaux froides habituellement, ne s'alimentait toujours pas dimanche et présentait des signes de maladie, laissant "peu d’espoir" à une issue heureuse.

Interrogée sur les chances de sauver l'animal, Lamya Essemlali, responsable de Sea Shepherd, l'ONG de défense des océans présente sur les lieux, a confié que les experts et les autorités se retrouvaient face à "un challenge", où il y a "peu d'espoir", évoquant "une course contre la montre".

"L'animal ne s'alimente toujours pas malgré les stimulateurs d'appétit utilisés par les vétérinaires. Bien que très amaigri, il est alerte et dynamique. Une euthanasie est donc écartée à ce stade et un rapatriement en mer est à l'étude", déclare Sea Shepherd sur son compte Twitter.

Depuis vendredi soir, le béluga, un cétacé de quatre mètres repéré mardi dans la Seine et dont la présence dans ce fleuve est exceptionnelle, se trouve dans une écluse d'une dimension d'environ 125 m sur 25 m à 70 km au nord-ouest de Paris. Plusieurs tentatives pour le nourrir sont restées vaines: des harengs, des truites et même des calamars...

Samedi, les vétérinaires, "au vu de l’état physiologique du béluga", lui avaient administré "des vitamines et des produits susceptibles de lui ouvrir l’appétit", a indiqué dimanche matin la préfecture de l'Eure dans un communiqué.

Ailleurs sur le web

Vos réactions

Portrait de Elyn Otrude
10/août/2022 - 23h05
Vosegus a écrit :

Et voilà ! Le Beluga est mort.  L'enfer est pavé de bonnes intentions. Je me doutais de cette fin, dès hier soir, quand j'ai entendu qu'on avait décidé de le transporter dans un camion frigorifique. Aucun de ces "scientifiques" ne s'est posé la question du choc thermique entre l'eau de l'écluse et le camion ? 

Des années d'études vétérinaires pour sortir ce commentaire, j'imagine !

Portrait de KERCLAUDE
10/août/2022 - 14h39

Et en euros cette semaine médiatisée  autour de cet animal  a couté combien ?

Portrait de fifeur
10/août/2022 - 13h54

Oui? Et c'est quoi le bilan carbone de tout ça??

Portrait de spleen001
10/août/2022 - 13h35
RODGER17 a écrit :

il serait mort dans d'atroces souffrances et ça aurait duré de longues semaines vu son gabarit si rien n'avait été fait. On a essayé, on a échoué mais abrégé le calvaire de l'animal.

D'accord avec toi, mais pourquoi avoir attendu si longtemps pour prendre cette décision.

On sait qu'un animal affaiblit, en stress dans un environnement hostile avec des tas d'humains autour de lui... ça ne pouvait pas finir autrement.

Dans les 48 heures après s'être égaré, les choses ce seraient passées Autrement. Mais les humains en ont décidés autrement !

Portrait de Yanik65
10/août/2022 - 12h58

Tout ce pataques pour si peu.

Portrait de RODGER17
10/août/2022 - 12h38

il serait mort dans d'atroces souffrances et ça aurait duré de longues semaines vu son gabarit si rien n'avait été fait. On a essayé, on a échoué mais abrégé le calvaire de l'animal.

Portrait de djelloul
10/août/2022 - 12h09

le montant de l operation a éte chiffrée?

Portrait de Talya
10/août/2022 - 12h09

C'est vraiment indigne d'assister à l'agonie de ce cétacé pendant une semaine, il fallait le transférer dès le début (avant qu'il ne s'épuise inutilement à nager en eau douce dans la Seine). Comme cela va se répéter avec le réchauffement climatique qui perturbe les animaux sauvages, mieux vaut agir et lutter activement au niveau mondial contre le phénomène en réduisant notre empreinte carbone. L'humain en est-il capable ? J'en doute.

Portrait de Capri
10/août/2022 - 12h00
Titoon a écrit :

Triste dénouement mais néanmoins prévisible vu que l'animal semblait en fin de vie.

Les écoterroristes de sea-sheaper auront eux leur moment d'exposition médiatique afin de teaser leur prochain docu-réalité: "le sauvetage de flipper le bélouga".

Sea Shepherd (berger de la mer - aussi : shepherd = escorter, surveiller).

Je n’aimais pas ce type d’organisation « provocatrice » par le passé. Force est de constater que pour que les choses avancent vraiment, ils faut malheureusement en passer par ce type d’organisation qui a le courage de lancer les alertes nécessaires en mode « action ».

Je pense qu’une telle opération (qui comporte énormément de pompiers volontaires - les autres fonctionnaires sont déjà payés par le budget de l’Etat / des Collectivités publiques) a certainement permis d’apprendre pas mal de choses pour la suite.

Portrait de Capri
10/août/2022 - 11h52
Talya a écrit :

Pourquoi l'orque, puis le béluga se sont égarés ? Pour les scientifiques, il existe parfois chez les cétacés « des individus qui quittent le clan et qui font des escapades plus ou moins longues pour explorer d’autres lieux », comme cela est le cas « chez les cachalots et chez les dauphins ». Toutefois, la présence du béluga dans la Seine reste « anormale », ce qui laisse suggérer que l’individu « s’est perdu ». Une autre explication : Perception magnétique en panne à cause de l’évolution rapide de la position des pôles magnétiques terrestres. C'est une des causes potentielles qui aurait amené ce béluga « à ne pas prendre le bon chemin au départ », alors que les bélugas « utilisent aussi leur perception magnétique pour s’orienter ».Enfin, il est possible que les modifications des courants marins, influencées par le réchauffement climatique, soient une des causes de son égarement. Le changement de températures agit sur la masse et la densité de l’eau et donc sur les courants océaniques qui sont perturbés. Si le réchauffement climatique continue, ces cas d'animaux désorientés vont se multiplier. Agir contre le réchauffement climatique plutôt que subir !

Merci a propos de tous ces apports d’informations pour les personnes qui vous lisent ici !

Vous avez fait vos recherches (« you did your home work » comme disent les anglo-saxons) !

Portrait de Titoon
10/août/2022 - 11h40

Triste dénouement mais néanmoins prévisible vu que l'animal semblait en fin de vie.

Les écoterroristes de sea-sheaper auront eux leur moment d'exposition médiatique afin de teaser leur prochain docu-réalité: "le sauvetage de flipper le bélouga".

Portrait de Vosegus
10/août/2022 - 11h40

Et voilà ! Le Beluga est mort.  L'enfer est pavé de bonnes intentions. Je me doutais de cette fin, dès hier soir, quand j'ai entendu qu'on avait décidé de le transporter dans un camion frigorifique. Aucun de ces "scientifiques" ne s'est posé la question du choc thermique entre l'eau de l'écluse et le camion ? 

Portrait de kylun2004
10/août/2022 - 10h08
le seum de végé tarien. a écrit :

Non le probleme c'est que tu ne connais pas la difference...smiley la preuve y'a toujours personne pour t'approuver.smiley

sur ce sujet je l'approuve mdrrr

 

Portrait de kylun2004
10/août/2022 - 10h07
Vége Tarien a écrit :

La grande (énorme) différence c'est que l'animal (sauvage) ne tue que pour manger et s'il a faim uniquement. Pas de guerre, pas d'holocauste, etc....

L'homme détruit la planète sans discernement et ne mérite que de disparaitre au grand bénéfice de la planète !

J'attend toujours tes sources sur Sea Shepherd et ses subventions délirantes !

+1

 

l'animal voué a disparaitre est l'homme

 

Portrait de kylun2004
10/août/2022 - 10h05
karim el karim a écrit :

qui a dit que cette bestiole avait envie de retourner en mer ? pour finir échouer sur une plage de la baie somme ! quelles dépenses d'énergie et d'argent pour ca ! alors qu'il y a tellement a faire pour l'humain

je reverais de vous voir echoué sur une plage de la baie de somme

 

Portrait de Talya
10/août/2022 - 08h46

Pourquoi l'orque, puis le béluga se sont égarés ? Pour les scientifiques, il existe parfois chez les cétacés « des individus qui quittent le clan et qui font des escapades plus ou moins longues pour explorer d’autres lieux », comme cela est le cas « chez les cachalots et chez les dauphins ». Toutefois, la présence du béluga dans la Seine reste « anormale », ce qui laisse suggérer que l’individu « s’est perdu ». Une autre explication : Perception magnétique en panne à cause de l’évolution rapide de la position des pôles magnétiques terrestres. C'est une des causes potentielles qui aurait amené ce béluga « à ne pas prendre le bon chemin au départ », alors que les bélugas « utilisent aussi leur perception magnétique pour s’orienter ».Enfin, il est possible que les modifications des courants marins, influencées par le réchauffement climatique, soient une des causes de son égarement. Le changement de températures agit sur la masse et la densité de l’eau et donc sur les courants océaniques qui sont perturbés. Si le réchauffement climatique continue, ces cas d'animaux désorientés vont se multiplier. Agir contre le réchauffement climatique plutôt que subir !

Portrait de Capri
10/août/2022 - 07h23

- étonnant de voir les échanges ci-dessous avec des attaques personnelles : je me dis qu’une session Zoom avec toutes les personnes pourrait être intéressante pour « vraiment échanger » et mettre de l’humanité dans tout ça, sans se cacher derrière l’anonymat d’un blog, non ?

- je remarque que « ça dérape » quand les personnes n’ont pas grand chose à dire par rapport au sujet (le sauvetage du Beluga), je me trompe ?

Sur le fond du sujet, je suis content que des pompiers volontaires et d’autres moyens payés par les contribuables soient déployés pour sauver ce cétacé. J’espere que ce n’est pas le 2eme d’une longue série toutefois.

Portrait de Vosegus
9/août/2022 - 23h04
KEYZER a écrit :

Faux. Des lions sont prêts à tuer les petits d'une femelle, uniquement pour se l'accaparer.

Vous avez partiellement raison. Chez les lions, le nouveau mâle alpha tue la progéniture de l'ancien (sans les manger) pour assurer la gestation des femelles et sa nouvelle lignée. Mais ce n'est pas le seul exemple d'animaux qui tuent pour autre chose que pour manger malgré ce qu'avance Végétarien. 

Portrait de KEYZER
9/août/2022 - 21h39
Vége Tarien a écrit :

La grande (énorme) différence c'est que l'animal (sauvage) ne tue que pour manger et s'il a faim uniquement. Pas de guerre, pas d'holocauste, etc....

L'homme détruit la planète sans discernement et ne mérite que de disparaitre au grand bénéfice de la planète !

J'attend toujours tes sources sur Sea Shepherd et ses subventions délirantes !

Faux. Des lions sont prêts à tuer les petits d'une femelle, uniquement pour se l'accaparer.

Portrait de §§
9/août/2022 - 16h28
Végé tarien a écrit :

C'est réconfortant de constater que l'être humain peut parfois faire preuve de compassion envers les animaux qu'il extermine aveuglément sans état d'âme. On peut compter sur Sea Shepherd pour stopper les efforts si le jeu n'en vaut plus la chandelle et qu'une euthanasie est préférable. 

Comme ça, mon végète arien, on reposte les commentaires effacés ? C'est pourtant la faiblesse que tu reprochais aux autres.  Je ne te félicite pas. Tu faiblis. C'est le Xanax qui fait certainement effet.

Portrait de ligéen44
8/août/2022 - 10h32

et pendant ce temps là les japonais , sous couvert d'études scientifiques, tuent chaque année des centaines de cétacés et mis à part Sea Shepherd, tout le monde s'en fout ...