insoumis Ce sont déjà plus de 20.000 hectares qui ont brûlé en Gironde, et le maire de Bordeaux ne cache pas sa colère. Dans une interview accordée à France Bleu Gironde, il fustige: ""Notre maison brûle et nous regardons ailleurs" (NDLR, formule lancée par Jacques Chirac au sommet de la Terre à Johannesburg en 2002), et bien, la maison brûle de plus en plus et certains continuent de regarder ailleurs.".
"Les phénomènes que l'on subit aujourd'hui sont précurseurs d'événements qui vont devenir plus fréquents et plus intenses à l'avenir. Il faut qu'on réalise que chaque tonne de CO2 y contribue, chaque fraction de réchauffement augmente la fréquence, la durée et la sévérité des évènements extrêmes, en particulier des vagues de chaleur. Je pense que l'action se met en place, elle monte en puissance mais elle n'est pas encore à la hauteur. L'adaptation au changement climatique n'est pas suffisante. "
Et d'ajouter: "Les fumées ne sont qu'un symptôme, ce dont il faut s'inquiéter, c'est la propagation des incendies."
"On réagit après coup et on gère crise après crise, au lieu d'anticiper. En tout cas, ce qui est certain, c'est que les impacts des événements extrêmes que l'on subit doivent nous ouvrir les yeux sur les transformations profondes à réaliser.", a-t-il lâché en colère.
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Il n'a qu'à remplacer les pins par des arbres en fer comme son sapin de Noêl !
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youtu.be/p3vQa7-KHGc
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