
Mis en cause pour avoir indiqué à un jeune homme au chômage qu'il suffisait de "traverser la rue" pour "trouver du travail" en 2018, Emmanuel Macron persiste et signe. "C'est encore plus vrai aujourd'hui et je ne regrette pas de l'avoir dit à l'époque", affirme-t-il en réponse à une question de Anne-Claire Coudray en direct des Jardins de l'Elysée.
A ceux qui ont du mal à trouver un emploi, le Président répond : "Je vais vous dire, s’ils peuvent trouver et aller vers un autre métier, je l’entends très bien. Si derrière, la réponse c’est : “Je vais bénéficier de la solidarité nationale pour réfléchir à ma vie”, j’ai du mal à l’entendre. Parce que cette solidarité nationale, c’est ceux qui bossent qui la payent. Une nation, c’est tout, organique. Je le dis, il n’y a pas de modèle social s’il n’y a pas de travail pour le financer."
Le chef de l’Etat dit souhaiter qu’un projet de loi de réforme du marché du travail soit discuté à la rentrée parlementaire et veut que le « conseil national de la refondation », instance consultative qu’il voir à l’oeuvre « dès la fin de l’été », s’intéresse aux possibilités d’augmentation des salaires.
Vos réactions
Il n'y a aucun job facile... Il y a des jobs plus intéressants que d'autres. Mais encore faut-il se défoncer à l'école et dans les études pour avoir plus de chances de les obtenir...
On sait très bien pourquoi. On est dans une société où on peut avoir un niveau de vie très décent sans rien foutre ni sans avoir jamais fait le moindre effort digne de ce nom à l'école. Quand on voit le niveau de vie des chômeurs avec ce que c'était dans la 1ère moitié du 20ème siècle (écart dérisoire à l'échelle de l'humanité) en France ou dans 80% des autres pays actuellement, la différence est extrême et certains encore ne la perçoivent même pas.Les gens vivent mieux en France actuellement sans travailler qu'en se défonçant dans leur boulot avant ou dans d'autres pays. Donc pourquoi se lever tôt et faire des jobs considérés comme plutôt difficiles?
A un moment faute de mieux va chercher un boulot dans un autre domaine, le resto cherchent tous du personnel, pas de formation demandée.
Et puis cela ne t'empêchera pas de chercher en parallèle dans ta branche mais en attendant tu auras un taf.
J'habite une petite ville de 3000 habitants, je te connais au moins 10 jobs disponibles pour la semaine prochaine
Arrêtez de vous plaindre tous le temps les français: MERDE, vous l'avez élu, donc bouffez le pendant le quinquennat bande de pigeons.
Bosse un peu, tu penseras positivement et tu jalouseras moins les 'riches'
Et tu ne compteras pas sur la société
Et il a raison, mon fils paysagiste, souhaitait changer d'employeur, il s'est inscrit sur un site, jusqu'à deux rendez vous par jour .... il n'avait que le choix !
Par contre, c'est un bosseur : Et je peux vous signaler qu'il n'est pas au SMIG .... + de 2.000 euros par mois net.
Le tout, est de ne pas être fainéant, ni assisté !!!!
IL faut changer les mentalités, que les parents soient déjà travailleurs;
Cette photo et cette façon de se tenir confirme son égocentrisme ! Je n’ai jamais pu le blairer et c’est de pire en pire
C'est maladroit de sa part. Il y a clairement du boulot qu'on peut trouver sans soucis, il n'y a qu'à voir tous les emplois de saisonniers logement inclu, ou encore les formations rémunérées dans les emplois manuels, qui ne trouvent pas preneur. Mais il faut accepter de sortir de ses habitudes, que ce soit en changeant de boulot ou de lieu de vie et ça il y a du chemin à faire tellement les droits pour les chômeurs sont élevés et n'incitent pas à faire des sacrifices pour retravailler.
Je suis en partie d'accord , cependant certains maintenant préfèrent aller en boite le samedi et le dimanche plutôt que de travailler , en opposition si certains employeurs n'avaient pas pris leur personnel pour des exclaves : paye minimale , journée de 10 h etc il n'y en aurait pas eu 200 000 qui ont quitté leur emploi !
C'est maladroit de sa part. Il y a clairement du boulot qu'on peut trouver sans soucis, il n'y a qu'à voir tous les emplois de saisonniers logement inclu, ou encore les formations rémunérées dans les emplois manuels, qui ne trouvent pas preneur. Mais il faut accepter de sortir de ses habitudes, que ce soit en changeant de boulot ou de lieu de vie et ça il y a du chemin à faire tellement les droits pour les chômeurs sont élevés et n'incitent pas à faire des sacrifices pour retravailler.
Oui, bcp de filières ont du mal à recruter. Mais il y a aussi des boulots vraiment précaires et de + en + des boulots "3 en un" où l'on regroupe plusieurs missions sur le dos d'une seule personne (elle doit faire ce que 3 personnes différentes faisaient avant avec le burn out inévitable à la clé). Conclusion : tout n'est pas la faute des indemnités chômage trop élevées, mais des conditions de travail qui se précarisent. En ce qui concerne les métiers manuels, je suis d'accord avec vous.
UBER gère effectivement les VTC qui font une grosse concurrence aux taxis mais gère également tous les livreurs à vélo ou en scooter qui roulent comme des dingues pour livrer des plats préparés à tous les bobos des centres villes qui n’osent plus sortir à cause de na délinquance. La majorité des livreurs se font exploités car la plupart d’entre eux ne maîtrisent pas notre langue et ne comprennent rien de leurs droits et obligations en tant que pseudo chef d’entreprise auto entrepreneurs. Il faut que leur activité soit reconnue comme une activité salariée afin que UBER paie des charges patronales.
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