Michel Houellebecq, sacré par le Goncourt pour son roman "La carte et
le territoire", a renoué avec la provocation et la mégalomanie, souriantes, en
lançant "c'est mieux pour la littérature et c'est mieux pour la France que
j'aie" ce prix.
"Si je n'avais pas eu le Goncourt, il y aurait eu beaucoup
d'énervement", a déclaré le lauréat, grandissime favori, grimpé sur une table,
et vêtu de sa sempiternelle parka verte, sous les applaudissements des invités
d'une soirée organisée au théâtre de l'Odéon à Paris par son éditeur
Flammarion.
"C'est mieux que je l'aie, c'est mieux pour la littérature et c'est
mieux pour la France que j'aie le Goncourt ! ", s'est-il exclamé.
"Je pense que maintenant, l'ambiance sera plus détendue", a-t-il
poursuivi, rendant hommage, en la faisant venir à côté de lui, à Teresa Cremisi,
PDG de Flammarion. "C'est elle qui est responsable de ce succès. Vous avez fait
un truc bien, Teresa, je vous bénis", a dit l'écrivain en la serrant dans ses
bras, une coupe de champagne à la main.
"Ecrire des livres, c'est un des moyens d'avoir du succès, mais ce
n'est pas le plus simple", a reconnu l'auteur, évincé à trois reprises par le
passé de ce prestigieux prix littéraire.
"Aujourd'hui, avec Virginie Despentes (lauréate lundi du prix
Renaudot) et Michel, c'est une génération qui est reconnue par des personnes
très âgées, les jurés, qui ont fait preuve, là, de leur jeunesse d'esprit", a
relevé le romancier et chroniqueur Frédéric Beigbeder, ami de longue date de
Houellebecq, et protagoniste de son dernier
roman.
Le Goncourt n'est que magouille...Quant à Virginie Despentes, là, c'est vraiment le pompon! Comment peut on récompenser cette écrivain qui ne se distingue que par son goût immodéré pour des personnages en marge, déglingués et toujours sulfureux, mais qui pratique un style sans intérêt?
Je ne dis pas que ses livres ne valent pas le coup d'être lus, mais de là à prétendre à une telle distinction, non....:|
Vos réactions
Vite vite donnons le Nobel de littérature à Mary Higgins Clark ...
BHL en tous cas est un homme de paillette, d'argent, de magouille....
Je rêve il se prend pour qui :roll:
Le Goncourt n'est que magouille...Quant à Virginie Despentes, là, c'est vraiment le pompon! Comment peut on récompenser cette écrivain qui ne se distingue que par son goût immodéré pour des personnages en marge, déglingués et toujours sulfureux, mais qui pratique un style sans intérêt?
Je ne dis pas que ses livres ne valent pas le coup d'être lus, mais de là à prétendre à une telle distinction, non....:|
Ne vous y trompez pas, Hoellebecq, c'est de la litterature ...
Pour Despentes, je n'en sais rien ...
Réagissez
Nouveau ?
Inscrivez-vousDéjà membre ?
Mot de passe oublié ?