Emmanuel Macron Hier après-midi, une nouvelle battue a été organisée cinq mois jour pour jour après la disparition de Delphine Jubillar, dans la nuit du 15 au 16 décembre dernier, à proximité d'Albi. Selon Le Parisien, une soixante de personnes étaient présentes dont son mari, Cédric, "à la fois victime, reconnue comme telle par l’autorité judiciaire qui lui a accordé le statut de partie civile fin avril, et aussi potentiel suspect".
"Que je vienne ou que je ne vienne pas, je savais que l’on allait parler de moi et me critiquer. Mais je me suis dit que c’était mieux que je vienne…", a-t-il déclaré rapportent nos confrères. La nouvelle battue a débuté en début d'après-midi à proximité du cimetière Saint-Dalmaze, sur la commune de Cagnac. "Après s’être glissé dans l’un des groupes, Cédric Jubillar a rapidement rebroussé chemin, peu convaincu semble-t-il par l’utilité de ce rassemblement de bonnes volontés", indique Le Parisien en précisant que deux heures plus tard, le groupe repart bredouille. Les recherches n'ont rien donné.
Vos réactions
Je vais être cynique, car bien sûr je n'en sais rien, mais les circonstances ayant conduit à ce drame sont tellement invraisemblables, que j'ai envie de dire ceci : au lieu d'organiser des battues et de mobiliser des personnes et d'engager des frais financiers, on pourrait gagner du temps en demandant au mari ce qu'il a fait (à, et de) sa femme.
il s’est dit que c’était mieux si je venais !
il a vachement envie de retrouver sa femme lui !
Oui il a l 'air motivé ....
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