île d'oléron 18h15: Au total, 4.872 malades étaient en réanimation dimanche contre 4.791 samedi. Un chiffre qui se rapproche de celui de la 2e vague à l'automne qui avait culminé le 16 novembre à 4903 malades. Le nombre de malades en réanimation est en hausse régulière depuis le plus bas enregistré le 7 janvier (2573 patients)
Le nombre total de personnes hospitalisées en France à cause du Covid-19 était de 27.712 dimanche dont 1017 nouvelles admissions contre 27.259 samedi. En 24 heures, 131 patients sont morts à l'hôpital des suites du Covid-19, contre 194 la veille.
16h56: Marine Le Pen a estimé ce dimanche que le gouvernement ne pouvait plus "faire autrement" que de fermer les écoles "plutôt que d'attendre que les classes ferment les unes après les autres" face à la flambée de l'épidémie du coronavirus. "Dans la situation actuelle, on ne peut pas faire autrement" que de fermer les écoles.
Le ministre de l'Education Jean-Michel Blanquer "le dit lui-même: à chaque fois qu'il y aura un cas, on fermera les classes, par conséquent toutes les classes vont fermer", a déclaré la présidente du Rassemblement national dans l'émission Dimanche en politique sur France 3.
"Autant avancer la date des vacances, peut-être pour créer une forme de vide sanitaire, plutôt que d'attendre que les classes ferment les unes après les autres", a-t-elle ajouté.12h41: Le ministère de l'Intérieur publie ses chiffres sur les contrôles réalisés depuis le week-end dernier : 350.000 personnes et 4.600 établissements recevant du public ont été contrôlés, avec 38.000 verbalisations à la clé. Dans les départements soumis aux mesures renforcées, les forces de l'ordre ont procédé à des vérifications auprès de 170 000 particuliers et de 1 700 établissements accueillant du public. 18 000 verbalisations ont été réalisées, selon la place Beauvau.
11h12: La France aborde une semaine décisive sous la pression de la troisième vague de l'épidémie de Covid-19 dont la flambée provoque la multiplication des signaux d'alarme à l'hôpital et des appels à des mesures plus strictes. Saturation des hôpitaux, établissements scolaires dépassés: y-aura-t-il un tour de vis supplémentaire cette semaine ? "Rien n'est décidé", répond Emmanuel Macron dans le Journal du dimanche. "Pour les jours qui viennent, nous allons regarder l'efficacité des mesures de freinage et nous prendrons si nécessaire celles qui s'imposent", souligne le chef de l'Etat dans cet entretien réalisé vendredi soir, alors que la situation sanitaire est de nouveau qualifiée de "critique" par l'exécutif.
Un conseil de défense doit se tenir mercredi pour décider d'un éventuel durcissement des mesures. Car le scénario anticipé dès janvier par les épidémiologistes s'est révélé exact: l'épidémie a progressé quasiment partout en France en mars, poussée par le variant anglais, jugé plus contagieux et plus virulent. Le nombre de malades en réanimation s'élevait samedi soir à 4.791, frisant le pic de la deuxième vague à l'automne (4.903).
Au total, 94.492 personnes sont mortes depuis le début de l'épidémie. Depuis vendredi minuit, trois départements -- le Rhône, l'Aube et la Nièvre -- se sont ajoutés aux 16 autres, dont Paris et sa région, soumis à des mesures de restrictions plus sévères: pas de déplacements à plus de 10 km sans dérogation, pas de sortie du territoire sans motif impérieux, commerces fermés et demi-classes en lycée. Parallèlement, 24 autres départements sont sous vigilance renforcée. Dans le reste du pays, un couvre-feu est en vigueur de 19H00 à 06H00. Partout, bars, restaurants, lieux culturels restent fermés.
08h52: En Belgique, les métiers de contacts non médicaux (coiffeurs notamment) ne peuvent de nouveau plus être exercés depuis samedi, pour quatre semaines. Les commerces "non essentiels" (hors alimentation, pharmacies, librairies) ne pourront accueillir des clients que sur rendez-vous. En Pologne, le gouvernement a décidé de fermer les crèches, les jardins d'enfants, les grands magasins d'ameublement et de bricolage, ainsi que les salons de beauté et de coiffure.
Le Premier ministre britannique Boris Johnson a affirmé samedi ne voir "absolument rien" dans les données scientifiques qui justifierait de revoir son plan de déconfinement pour l'Angleterre, quand certains scientifiques mettent en garde contre de nouveaux variants.
Vos réactions
désolé, j'aurais eu un beug avec l'application, j'ai cru que mon message n'avais pas été posté, et maintenant il y est trois fois...
En même temps la France fait plus de tests que l'Espagne et on trouve forcément plus de cas asymptomatiques qui faussent ce type de comparaisons. Je pense qu'il faudrait surtout éviter d'avancer des chiffres, quels qu'ils soient, vu que chaque pays a des problématiques différentes.
@lily6228 je ne parle pas des cas mais des décès.
pourquoi aucun média ne donne comme exemple ce qui se passe de l'autre côté des Pyrénées, en Espagne ? car malgré le fait qu'ils ne se soit pas confiné depuis l'année dernière, il n'y a pas de grande différence avec le taux de mortalité français. Certe, les espagnols ne peuvent pas sortir de leur région et ont un couvre feu à partir de 23h, mais ils peuvent aller au restaurant, aller au cinéma, voir certains concerts... bref avoirun semblant de vie. Rien n'est parfait la ba non plus, mais les médias continuent de donner seulement comme exemple les pays qui mettent en place des mesures strictes.
pourquoi aucun média ne donne comme exemple ce qui se passe de l'autre côté des Pyrénées, en Espagne ? car malgré le fait qu'ils ne se soit pas confiné depuis l'année dernière, il n'y a pas de grande différence avec le taux de mortalité français. Certe, les espagnols ne peuvent pas sortir de leur région et ont un couvre feu à partir de 23h, mais ils peuvent aller au restaurant, aller au cinéma, voir certains concerts... bref avoirun semblant de vie. Rien n'est parfait la ba non plus, mais les médias continuent de donner seulement comme exemple les pays qui mettent en place des mesures strictes.
Ah bon ?
46 Millions d'habitants en Espagne , 75 000 morts .
Mais effectivement c'est mieux là-bas...
75000 morts pour 3.26 millions de cas en Espagne
94400 morts pour 4.51 millions de cas en France
Cela fait en pourcentage 4.34% de morts espagnols et 4.7% de français!
Donc avant de venir lui faire la moral essayez de réfléchir un minimum histoire d'être un peu plus crédible...
pourquoi aucun média ne donne comme exemple ce qui se passe de l'autre côté des Pyrénées, en Espagne ? car malgré le fait qu'ils ne se soit pas confiné depuis l'année dernière, il n'y a pas de grande différence avec le taux de mortalité français. Certe, les espagnols ne peuvent pas sortir de leur région et ont un couvre feu à partir de 23h, mais ils peuvent aller au restaurant, aller au cinéma, voir certains concerts... bref avoirun semblant de vie. Rien n'est parfait la ba non plus, mais les médias continuent de donner seulement comme exemple les pays qui mettent en place des mesures strictes.
Et sur les 38 000 combien de commerçants qui n'ont PAS d'aides possibles, qui ne rentre pas dans les cases où qui sont verbalisé sans motif valable (ah si, "REBELLION" qui est devenu l'excuse des verbalisation car la personne a osé revenir dans son magasin sans ouvrir.) ?
Laissons les gens tout perdre et ce suicider, c'est tellement mieux.
il faut un minimum vital pour tout les commerçants qui ne rentre pas dans les cases.
Réagissez
Nouveau ?
Inscrivez-vousDéjà membre ?
Mot de passe oublié ?