02/01/2020 21:02

Grève Jour 29 - Plusieurs appels à la grève chez Air France à partir de lundi - Le point sur la circulation RATP et SNCF demain ligne par ligne

21h00: Le syndicat de pilotes, et le SNGAF, syndicat d'hôtesses et stewards, appellent les personnels navigants d'Air France à faire grève la semaine prochaine contre la réforme des retraites. Côté pilotes, "le Spaf appelle à la grève lundi et mardi", a indiqué Grégoire Aplincourt, président de cette organisation, deuxième syndicat représentatif de pilotes chez Air France. Le Spaf avait qualifié la semaine dernière d'"enrobage imprécis et insuffisant" les annonces du gouvernement sur l'avenir de la CRPN, la caisse autonome de retraite complémentaire du personnel navigant.

Deuxième syndicat représentatif pour les hôtesses et stewards d'Air France, le SNGAF appelle les personnels navigants à se mettre "tous en grève" de lundi à jeudi, a-t-il annoncé dans un communiqué, où il lance aussi un appel à manifester "dans les rues" et à "descendre des nuages".

17h37: Du côté des métros parisiens, une seule ligne sera totalement fermée, la 7bis, douze lignes fonctionneront avec un service très partiel.

Dans le détail, dix lignes ne fonctionneront qu'aux heures de pointe, de 6h30 à 9h30 et de 16h30 à 19h30, avec des fréquences allant de 1 train sur 2 à 1 train sur 5. Sont concernées les lignes 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 13. La 3bis ne sera exploitée que de 13h à 18h, avec un train sur deux. La ligne 12 ne fonctionnera qu'entre 16h30 et 19h30, avec une rame sur quatre. A noter que de nombreuses stations resteront fermées.

Les deux lignes automatiques, la 1 et la 14, circuleront normalement, avec un risque de saturation notamment à Chatelet.

Le trafic sera également normal sur Orlyval.

Enfin, la RATP prévoit 3 bus sur 4 en moyenne sur l'ensemble du réseau toute la journée.

17h19: Le point sur la circulation des trains demain: 

Le trafic TGV en détails Axe Est : 3 trains sur 5. Axe Atlantique : 2 trains sur 3. Axe Nord : 3 train sur 4. Axe Sud-Est : 7 trains sur 10. Intersecteurs : 1 trains sur 2. Ouigo : 7 trains sur 10.

Le trafic TER en détails Auvergne-Rhône-Alpes : 2 trains et 5 bus de substitution sur 10 trains Bourgogne-Franche-Comté : 4 trains et 1 bus de substitution sur 10 trains Bretagne : 5 trains et 1 bus de substitution sur 10 trains. Centre-Val-de-Loire : 4 trains et 1 bus de substitution sur 10 trains. Grand-Est : 4 trains et 1 bus de substitution sur 10 trains. Hauts-de-France : 3 trains sur 10. Normandie : 4 trains et 1 bus de substitution sur 10 trains. Nouvelle-Aquitaine : 3 trains et 1 bus de substitution sur 10 trains. Occitanie : 2 trains et 2 bus de substitution sur 10 trains. Pays-de-la Loire : 4 trains et 1 bus de substitution sur 10 trains. Provence-Alpes-Côte-d'Azur : 4 trains et 1 bus de substitution sur 10 trains.

 

15h39: Stanislas Guérini, délégué général de En Marche dénonce la volonté des manifestants d'entrer dans le siège de son parti à Paris

14h36: Les forces de l'ordre font évacuer la rue face à l'Opéra de Paris, dans le calme, par petits groupes

13h34: Le taux de grévistes en baisse selon la SNCF avec 6,9% aujourd’hui, dont 39,9 % de conducteurs. 18,2 % des contrôleurs sont en grève, et 10,5 % des aiguilleurs.

13h02: Plusieurs manifestants sont rassemblés depuis plusieurs minutes dans le 1er arrondissement de Paris. Ils occupent la rue Sainte-Anne, à proximité de l'Opéra de Paris. Les forces de l'ordre sont présentes sur place. La mobilisation se déroule dans le calme. La circulation a été interrompue pendant plusieurs minutes.



12h28: La ligne 14 du métro parisien est perturbée ce midi par des manifestants. Les forces de l'ordre sont sur place. Quelques manifestants sont présents.

12h07: Le point sur ce qu'il faut retenir à la mi-journée

La grève contre la réforme des retraites est entrée mercredi dans sa 28e journée, égalant le plus long blocage des transports depuis 1986-87, sans que se profile le "compromis rapide" souhaité par Emmanuel Macron lors de ses voeux, les syndicats n'y voyant "rien de nouveau".

Mardi soir depuis l'Élysée, le président a plaidé "l'apaisement" plutôt que "l'affrontement" mais sans infléchir sa détermination à "mener à bien la réforme des retraites".

"Avec les organisations syndicales et patronales qui le veulent, j'attends du gouvernement d'Edouard Philippe qu'il trouve la voie d'un compromis rapide" sur ce projet, a-t-il dit dans une allocution sobre de 18 minutes, où le secrétaire général de la CGT n'a décelé "rien de nouveau".

Philippe Martinez a dénoncé mercredi un discours "entendu mille fois" et "un président enfermé dans sa bulle qui considère que tout va bien dans le pays", sur le plateau de BFMTV.

"Bien sûr", le numéro 1 de la CGT se dit prêt à se rendre au prochain rendez-vous de concertation à Matignon le 7 janvier, mais il "demande toujours d'arrêter le projet, donc le retrait".

Même scepticisme chez FO: Yves Veyrier constate que le Président "n'a pas réussi" à convaincre en "2 ans et de demi" et appelle à "manifester encore plus nombreux dès le 9 janvier".

La CFDT, qui joue un rôle clé puisque la première organisation syndicale est aussi la seule favorable sur le fond au système de retraites universel par points, n'a pas réagi aux propos présidentiels.

Son secrétaire général Laurent Berger a fait de l'âge pivot, en dessous duquel on ne pourra pas partir à la retraite avec une pension à taux plein, une "ligne rouge". Emmanuel Macron n'a pas évoqué ce sujet mardi.

Pour Benoît Teste, secrétaire général de la FSU, première organisation chez les enseignants, interrogé sur France Inter, ce sont "des vœux pour rien", où le Président "remouline toujours les mêmes éléments de langage". Il "ne voit pas d'éléments qui pourraient constituer des portes de sortie".

Très présents dans les différents cortèges en décembre, les enseignants constituent également un élément clé de la sortie de crise.

Côté syndicat réformiste, Laurent Escure (Unsa) a toutefois "compris qu'il y avait quand même un signe d'ouverture sur ce que doit faire le Premier ministre avec nous pour essayer de trouver un compromis", à l'antenne de France inter.

Les discussions entre les partenaires sociaux et le Premier ministre devraient être très largement consacrées à la question de la pénibilité.

Sans prononcer le terme - dont on sait depuis le 3 octobre qu'il ne l'"adore pas, parce que ça donne le sentiment que le travail c'est pénible" -, le président a rappelé mardi que la réforme "prendra en compte les tâches difficiles, pour permettre à ceux qui les exercent de partir plus tôt, sans que cela soit lié à un statut ou à une entreprise".

11h24: Invitée ce matin de la matinale de LCI, Elisabeth Borne, la ministre de la Transition écologique et solidaire, a affirmé qu'il n'y avait «pas de problème d’approvisionnement dans les stations-service». Une annonce faite alors que la CGT a appelé à un «blocage total» des raffineries du 7 au 10 janvier.

Elisabeth Borne s'est dit "très confiante". "Nos raffineries fonctionnent. Nous avons des stocks pour fournir les Français pendant 3 mois. Les stations seront approvisionnées normalement", a-t-elle expliqué.

10h11: A la raffinerie de Donges en Loire-Atlantique, des manifestants sont présents depuis ce matin, alors que la CGT a appelé à un «blocage total» des raffineries du 7 au 10 janvier.

09h41: Le gouvernement cherche des portes de sortie avec la CFTC et l'Unsa, et même avec la CFDT, autour d'une véritable reconnaissance de la pénibilité. Créé par la réforme des retraites de 2013, le compte pénibilité incluait à l'origine dix critères, dont le port de charges lourdes, les postures pénibles, les vibrations mécaniques et les agents chimiques dangereux mais ces quatre items ont été retirés fin 2017.

"La dernière fois que j'ai vu le Premier ministre, il a dit non" à la réintégration des quatre critères, a assuré mercredi Philippe Martinez.

En attendant la réouverture des négociations, les Français devront composer avec des transports toujours perturbés.

Jeudi, la grève aura dépassé en durée le plus long conflit à la SNCF depuis 1986-87, avec 29 jours d'affilée.

La SNCF prévoit jeudi un TGV sur 2 en moyenne, 9 Eurostar sur 10, 8 Thalys sur 10 et 2 Lyria sur 5. Un train Intercité sur quatre circulera en journée, et 5 TER sur 10. Trois trains sur dix circuleront en moyenne en Ile-de-France.

La situation s'améliorera pour le week-end des retours de vacances, où la SNCF compte faire rouler 2 TGV sur 3.

Nette amélioration aussi jeudi dans la capitale, où la RATP annonce une seule ligne de métro totalement fermée et quinze complètement ou partiellement ouvertes, pour certaines uniquement pour la pointe du soir (16h30-19h30) comme la 6 et la 12.

Toutefois, une dégradation n'est pas à exclure la semaine prochaine, avec la reprise lundi des assemblées générales de cheminots, que le secrétaire général de la fédération CGT des cheminots Laurent Brun entend "remobiliser".

"Quand on a perdu un mois de salaire, on ne reprend pas le travail juste [après] de bons vœux d'un président décalé de la réalité", a-t-il déclaré sur Europe 1.

Et le 7 janvier, la Fédération CGT de la Chimie appelle à renforcer le mouvement de blocage des installations pétrolières - raffineries, terminaux pétroliers, dépôts - pendant 96 heures, jusqu'au 10 janvier.

Thierry Defresne, délégué syndical central chez Total, évoque même un éventuel arrêt de production, mais seulement en fonction de l'ampleur de la mobilisation interprofessionnelle du 9 janvier.

Le projet de loi de réforme des retraites doit être présenté en Conseil des ministres le 22 janvier.

08h52: Agnès Pannier-Runacher, secrétaire d'Etat auprès du ministre de l'Economie et des Finances, est l'invitée de Jean-Jacques Bourdin sur BFMTV et RMC

"On ne va pas lâcher des choses pour que demain les jeunes n'aient plus de retraite".

"On ne garde pas des régimes spéciaux, mais des spécificités" dans le régime

08h12: La CFDT, qui joue un rôle clé puisque la première organisation syndicale est aussi la seule favorable sur le fond au système de retraites universel par points, n'a pas réagi aux propos présidentiels.

Son secrétaire général Laurent Berger a fait de l'âge pivot, en dessous duquel on ne pourra pas partir à la retraite avec une pension à taux plein, une "ligne rouge". Emmanuel Macron n'a pas évoqué ce sujet mardi.

Pour Benoît Teste, secrétaire général de la FSU, première organisation chez les enseignants, interrogé sur France Inter, ce sont "des vœux pour rien", où le Président "remouline toujours les mêmes éléments de langage". Il "ne voit pas d'éléments qui pourraient constituer des portes de sortie".

Très présents dans les différents cortèges en décembre, les enseignants constituent également un élément clé de la sortie de crise.

Côté syndicat réformiste, Laurent Escure (Unsa) a toutefois "compris qu'il y avait quand même un signe d'ouverture sur ce que doit faire le Premier ministre avec nous pour essayer de trouver un compromis", à l'antenne de France inter.

Les discussions entre les partenaires sociaux et le Premier ministre devraient être très largement consacrées à la question de la pénibilité.

Sans prononcer le terme - dont on sait depuis le 3 octobre qu'il ne l'"adore pas, parce que ça donne le sentiment que le travail c'est pénible" -, le président a rappelé mardi que la réforme "prendra en compte les tâches difficiles, pour permettre à ceux qui les exercent de partir plus tôt, sans que cela soit lié à un statut ou à une entreprise".

07h30: La grève contre la réforme des retraites est entrée mercredi dans sa 28e journée, égalant le plus long blocage des transports depuis 1986-87, sans que se profile le "compromis rapide" souhaité par Emmanuel Macron lors de ses voeux, les syndicats n'y voyant "rien de nouveau".

Mardi soir depuis l'Élysée, le président a plaidé "l'apaisement" plutôt que "l'affrontement" mais sans infléchir sa détermination à "mener à bien la réforme des retraites".

"Avec les organisations syndicales et patronales qui le veulent, j'attends du gouvernement d'Edouard Philippe qu'il trouve la voie d'un compromis rapide" sur ce projet, a-t-il dit dans une allocution sobre de 18 minutes, où le secrétaire général de la CGT n'a décelé "rien de nouveau".

Philippe Martinez a dénoncé mercredi un discours "entendu mille fois" et "un président enfermé dans sa bulle qui considère que tout va bien dans le pays", sur le plateau de BFMTV.

"Bien sûr", le numéro 1 de la CGT se dit prêt à se rendre au prochain rendez-vous de concertation à Matignon le 7 janvier, mais il "demande toujours d'arrêter le projet, donc le retrait".

Même scepticisme chez FO: Yves Veyrier constate que le Président "n'a pas réussi" à convaincre en "2 ans et de demi" et appelle à "manifester encore plus nombreux dès le 9 janvier".

06h29: Prévisions détaillées pour la journée du jeudi 2 janvier de la RATP

Métro : trafic très perturbé avec risque de saturation

Pour le Métro, 15 lignes sur 16 fonctionneront normalement ou partiellement.

Les lignes ligne 1 , ligne 14  et Orlyval fonctionneront normalement et toute la journée

13 lignes seront assurées partiellement en heures de pointe dont 7 lignes entières (hors stations fermées)

Dans le détail :

Trafic normal avec risque de saturation en heures de pointe sur les lignes symbole ligne 1 ligne 14 

Trafic normal sur la ligne ligne orv qui dessert l’aéroport d’Orly

Trafic très perturbé avec plusieurs stations fermées (détails sur ratp.fr), et uniquement en heures de pointe (6h30-9h30 et 16h30-19h30)

ligne 2 : 1 train sur 3 le matin sur toute la ligne et 1 train sur 4 l’après-midi sur la ligne entière

ligne 3  :  1 train sur 4 le matin entre Havre Caumartin et Pont de Levallois et 1 train sur 4 l’après-midi entre Pont de Levallois et Temple

ligne 4  :  1 train sur 2 sur toute la ligne

ligne 5  :  1 train sur 4 entre Oberkampf et Place d’Italie le matin et Bobigny Stalingrad l’après midi

ligne 7 :  1 train sur 2 sur toute la ligne

ligne 8 :  1 train sur 3 entre Concorde et Créteil Pointe du Lac

ligne 9  :  1 train sur 2 sur toute la ligne

ligne 10    :  1 train sur 2 sur toute la ligne

ligne 13  : 1 train sur 5 entre Les Courtilles et Saint Lazare

Ouverte pour la pointe du matin (6h30-9h30) uniquement avec plusieurs stations fermées (détails sur ratp.fr) :

ligne 11 : 1 train sur 2

Ouverte pour la pointe du soir (16h30-19h30) uniquement avec plusieurs stations fermées (détails sur ratp.fr)

ligne 6 : 1 train sur 2 entre Denfert Rochereau et Nation

ligne 12 : 1 train sur 4 entre Concorde  et Mairie d’Issy

Ouverture de 13h00 à 18h00

ligne 3b  :1 train sur 2

Trafic interrompu : ligne 7b 

RER (zone RATP) : trafic très perturbé

Comme le 31 décembre, le trafic du RER A et du RER B sera assuré une grande partie de la journée, de 6h30 à 19h30.

ligne A Trafic fortement perturbé : 1 train sur 2 de 6h30 à 9h30 et de 16h30 à 19h30. Un train toutes les 15mn entre les gares de Vincennes et de La Défense entre 9h30 et 16h30. Interconnexion assurée à Nanterre-Préfecture.

Un train toutes les 30mn sur les branches de Chessy Marne La Vallée, de Boissy Saint Léger et de Saint Germain en Laye entre 9h30 et 16h30. Un train sur deux sur les branches de Cergy et de Poissy aux heures de pointe. Un train toutes les 30mn aux heures creuses.

ligne B Trafic très fortement perturbé : 1 train sur 2 en heures de pointe de 6h30 à 9h30 et de 16h30 à 19h30. 1 train sur 3 en heures creuses de 9h30 à 16h30.

Interconnexion interrompue à Gare du Nord (nécessité de changer de train).

Entre Gare du Nord et Aéroport CDG/ Mitry : 1 train sur 3 toute la journée.

Tous les horaires sont disponibles sur ratp.fr. Les gares RATP seront fermées en dehors de ces horaires.

Tramways : trafic quasi normal toute la journée

Le trafic sera quasi normal, comme les jours précédents. Les lignes suivantes fonctionneront toute la journée:

ligne T2 ligne T3b ligne T5 ligne T6 ligne T8 : trafic normal

ligne T3b ligne T7 : trafic quasi normal

Bus : trafic perturbé

BUS : le trafic reste perturbé avec 3 bus sur 4 en moyenne.

Orlybus : 3 bus sur 4

Roissybus : trafic normal

Voici les prévisions de la SNCF pour la journée de demain.

• Pour les TGV : trois trains sur dix en moyenne.

Axe Est : 3 trains sur 5. Axe Atlantique : 3 trains sur 5. Axe Nord : 1 train sur 2. Axe Sud-Est : 3 trains sur 5. Intersecteurs :  2 trains sur 5. Ouigo : 3 trains sur 5.

• Pour les Intercités : un train sur quatre.

• Pour les Transilien : trois trains sur dix en moyenne.

• Pour les TER : cinq circulations sur dix en moyenne (par train ou autocar).

Auvergne-Rhône-Alpes : 7 trains sur 10.

Bourgogne-Franche-Comté : 5 trains sur 10.

Bretagne : 5 trains sur 10.

Centre-Val-de-Loire :  4 trains sur 10.

Grand-Est : 5 trains sur 10.

Hauts-de-France : 3 trains sur 10.

Normandie : 5 trains sur 10.

Nouvelle-Aquitaine : 4 trains sur 10.

Occitanie : 4 trains sur 10.
Pays-de-la Loire : 5 trains sur 10.

Provence-Alpes-Côte-d'Azur : 5 trains sur 10.

• Pour l'international : neuf Eurostar sur dix, huit Thalys sur dix, deux trains Lyria sur cinq et un TGV Inoui sur trois vers l'Italie.

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Vos réactions

Portrait de popeye55
2/janvier/2020 - 23h21

@ magnon et vévert1416

Deux mondes différents qui ne se comprendront jamais. L'un qui a travaillé dur dans le privé et qui a gravi tous les échelons pour arriver plus haut dans la la hiérarchie, et qui part à la retraite à 62 ans minimum 

L'autre qui travaille à la RATP ou SNCF qui considère que tout lui est dû, que les luttes sociales sont le seul moyen d'arriver à  ses fins sans trop bosser et en étant champion du monde de la grève et qui part à la retraite dès 52 ans avec 3000 euros par mois, soit le double du secteur privé !!!

Portrait de magnon
2/janvier/2020 - 22h31
vévert88 a écrit :

Grâce aux luttes sociales

non pas du tout, jamais greve

on peut faire une carriere professionnelle dans la meme entreprise commencant en bas de  l'echelle et finissant en haut

Portrait de B612
2/janvier/2020 - 22h31

Guerini ment dans son tweet. D'après la Préfecture de Police de Paris, il n'y aurait pas eu de tentative d'intrusion. Mais lui dit que les manifestants veulent "faire primer la violence sur la démocratie". D'où ? Il serait pas un peu fragile le Guerini, et il en profite pour nous refaire le coup de Casta(g)ner pour la Pitié Salpétrière. Par contre, quand le cortège est arrivé avenue de l'Opera, il s'est fait charger par les forces "de l'ordre", et nasser pendant un bon moment. C'est ça "faire primer la violence sur la démocratie". De l'art d'inverser les rôles.

Portrait de magnon
2/janvier/2020 - 21h10
vévert88 a écrit :

Message posté à 15H55. T'étais pas au boulot ???

non pas boulot cotise 42  ans retraite,

Portrait de magnon
2/janvier/2020 - 15h57
COLIN33 a écrit :

Un RÉFÉRENDUM.....

pour quoi faire,  ceux qui font greve et ne veulent pas travailler , laisse la place au autre ceux du prive seront heureux

Portrait de magnon
2/janvier/2020 - 15h55

mon voeux pour 2020 , que les fainasses de la cgt  aillent mendier, car bientot plus rien

Portrait de elisabeth 14
2/janvier/2020 - 10h11
COLIN33 a écrit :

Un RÉFÉRENDUM.....

si vous payer.......pourquoi pas

Portrait de Dédérinox
2/janvier/2020 - 08h42

Soyons sérieux , moins de 7% de la SNCF était en grève ces derniers jours. 

Peut-on affirmer qu'une entreprise est en grève quand 94% de ses employés bossent ? 

Portrait de nina83
2/janvier/2020 - 08h20

ils ont fait grève chaque année, et plusieurs fois dans l'année,  ils battent leurs propres records, tant mieux pour eux.