20/12/2019 18:13

Grève Jour 16 : Seulement 50% des TGV circulent aujourd'hui et 2/3 des voyageurs vont pouvoir prendre un train - La SNCF va finalement affréter 14 trains spéciaux pour les enfants dimanche

17h19: Selon BFM TV, 6000 enfants de 4 à 14 ans pourront finalement voyager seuls dimanche! Après avoir suspendu le service d'accompagnement des enfants Junior et Compagnie entre le 20 et le 24 décembre, la SNCF va finalement affréter des trains spéciaux ce dimanche, selon nos confrères. BFM TV précise que le Premier ministre Edouard Philippe et le secrétaire d'État aux Transports Jean-Baptiste Djebbari ont demandé à la SNCF de trouver une solution "pour permettre aux quelques milliers d'enfants de voyager". 

"On ne peut pas jouer avec la sécurité des enfants", a assuré Rachel Picard, directrice générale de Voyages SNCF. Avant de confirmer que seront affrétés 14 TGV spécialement pour les enfants, "cela fait plus de 5 000 places", a-t-elle indiqué. Les destinations au départ de Paris sont : Lyon, Marseille, Bordeaux, Nantes, Rennes, Lille et Strasbourg. "Il y aura bien sûr tous les accompagnateurs classiques qui seront mis à disposition et groupés sur ces trains et il y aura des volontaires SNCF qui ont choisi de s'associer à cette opération"., a-t-elle poursuivi.

Si ces 14 TGV assureront les allers dimanche et retours le dimanche 29 décembre, Rachel Picard précise que "pour des raisons de sécurité",  les gares intermédiaires ne seront pas desservies. 

17h12: La RATP annonce ses prévisions de trafic pour demain - 8 stations de métro fermées à Paris

17h10: La SNCF annonce les prévisions de trafic pour les journées de demain et dimanche. Le trafic est toujours "très perturbé" avec 1 Transilien sur 5 en moyenne et 1 TGV sur 2 en moyenne.

15h31: L’UNSA Ferroviaire a décidé de poursuivre le mouvement demain dans sept régions, annonce Didier Mathis, secrétaire général, sur BFMTV. La direction de l'UNSA Ferroviaire avait appelé hier à une trêve pour la période de Noël.

13h50: La SNCF a essuyé des critiques vendredi pour avoir supprimé le service «Junior et compagnie», qui prend en charge les enfants de 4 à 14 ans.

«Pour tenir les promesses des ministres (...) on a dégagé les enfants (non accompagnés, ndlr) pour assurer de la place pour les adultes, qui d’ailleurs paient leurs billets beaucoup plus cher», a réagi Philippe Martinez, secrétaire général de la CGT. Un «scandale» pour Xavier Bertrand, le président du conseil régional des Hauts-de-France.

12h06: La SNCF annonce qu'aujourd'hui le taux global de grévistes est de 9,5 %. Il y a 58,3 % de conducteurs en grève ce vendredi.

11h55: Le point sur la situation à la mi-journée

Au seuil d’un grand week-end de départs avant Noël, la France vit vendredi son 16e jour de grève dans les transports contre la réforme des retraites portée par Edouard Philippe, qui a affiché quelques «avancées» pour arracher une trêve d’ores et déjà compromise.

La situation à la SNCF s’est un peu améliorée par rapport aux jours précédents avec la moitié des TGV et un Transilien sur quatre «en moyenne» en circulation.

Petit mieux aussi pour les usagers de la RATP, avec six lignes de métro fermées et une «amélioration globale», selon la régie. A 07H45, le trafic était quasi normal pour les tramways et conforme aux prévisions pour les RER et le métro.

Pour les jours suivants, 59% des TGV et Intercités programmés les 23 et 24 décembre sont supprimés, et la moitié des voyageurs ayant réservé devront échanger leur billet. Les annonces de la SNCF vendredi sur les trains circulant le jour et le lendemain de Noël sont très attendues.

Une trêve complète pour les fêtes paraît hors de portée. La CGT-Cheminots et SUD-Rail, 1ère et 3e fédérations syndicales de la SNCF, ont décidé de continuer le mouvement. Et si le bureau de l’Unsa ferroviaire, 2e syndicat de la compagnie, a invité à «une pause pour les vacances», plusieurs de ses unions régionales et locales ne sont pas sur cette ligne.

Les regards sont maintenant tournés vers la CFDT-Cheminots, 3e chez les conducteurs, qui doit se positionner vendredi sur la suite du mouvement. «Je souhaite évidemment qu’elle puisse aussi appeler à une pause», a souligné la ministre de la Transition écologique Elisabeth Borne. «J’espère que la CFDT-Cheminots aura une avancée positive dans la journée», a abondé la porte-parole du gouvernement Sibeth Ndiaye.

A la RATP, l’Unsa (1er syndicat), qui estime «incomplètes» les réponses à ses revendications, préfère laisser les assemblées générales, «souveraines, se positionner».

Le Premier ministre a de son côté «appelé à la responsabilité de chacun pour permettre très vite aux millions de Français qui le souhaitent de rejoindre leurs familles en cette fin d’année».

Edouard Philippe «n’a pas, lui, décrété la trêve puisqu’il maintient son projet», a critiqué vendredi le numéro un de la CGT Philippe Martinez, estimant que «le gouvernement jette de l’huile sur le feu» avec une «communication» qui «met les cheminots en porte-à-faux».

Prise en compte «plus généreuse» de la pénibilité, main tendue sur la retraite progressive pour les fonctionnaires, «améliorations» concernant le minimum de pension, «marges de manoeuvre» pour parvenir à l’équilibre financier, progressivité de la réforme des régimes spéciaux... Après deux jours de rencontres à Matignon avec les syndicats et le patronat, Edouard Philippe a relevé jeudi soir des «avancées concrètes», et promis de nouvelles réunions dans «les premiers jours de janvier» sur le projet, qui doit être transmis au Conseil d’État avant Noël et présenté en Conseil des ministres le 22 janvier.

Mais le chef du gouvernement est loin d’avoir convaincu tous les partenaires sociaux.

Même pour les syndicats favorables à la réforme, le compte n’y est pas. La CFDT, a rappelé son numéro un Laurent Berger, reste «fermement opposée» à l'«âge d’équilibre» assorti d’un bonus-malus que le gouvernement veut introduire dès 2022 et fixer à 64 ans en 2027 pour inciter chacun à travailler plus longtemps et assainir les comptes.

«Le Premier ministre a dit qu’on pouvait imaginer un cocktail de mesures et il a évoqué notamment cette possibilité de cotisations (patronales). C’est encore sur la table», a affirmé le dirigeant du premier syndicat français vendredi sur France Inter.

- Bataille de l’opinion indécise -

«La seule chose de concrète, c’est que le Premier ministre n’a pas entendu la rue», a dit Philippe Martinez qui, au nom de l’intersyndicale CGT, FO, FSU, Solidaires et quatre organisations de jeunesse, appelle à une nouvelle «puissante» journée de grèves et de manifestations interprofessionnelles le 9 janvier.

Emmanuel Macron «doit prendre la parole pour dire +on fait pause, on appuie sur le bouton stop, on revient autour de la table sans préalables+», a estimé vendredi Yves Veyrier, le numéro un de Force ouvrière.

Certains secteurs d’activités commencent à souffrir de la grève, notamment le commerce parisien avec des baisses de chiffre d’affaire de 25% à 30% la semaine dernière, selon Procos, la fédération du commerce spécialisé.

La bataille de l’opinion, elle, reste indécise entre le gouvernement et les grévistes, au regard de récents sondages desquels n’émerge pas encore de gagnant. C’est surtout le projet d’instaurer un âge pivot ou d’équilibre, plus que le projet d’un système universel, qui cristallise les mécontentements.

10h30: Edouard Philippe «n’a pas, lui, décrété la trêve puisqu’il maintient son projet», a critiqué vendredi le numéro un de la CGT Philippe Martinez, estimant que «le gouvernement jette de l’huile sur le feu» avec une «communication» qui «met les cheminots en porte-à-faux».

10h12: Une trêve complète pour les fêtes paraît hors de portée. La CGT-Cheminots et SUD-Rail, 1ère et 3e fédérations syndicales de la SNCF, ont décidé de continuer le mouvement.

Et si le bureau de l’Unsa ferroviaire, 2e syndicat de la compagnie, a invité à «une pause pour les vacances», plusieurs de ses unions régionales et locales ne sont pas sur cette ligne.

Les regards sont maintenant tournés vers la CFDT-Cheminots, 3e chez les conducteurs, qui doit se positionner vendredi sur la suite du mouvement

09h43: Invité ce matin de la matinale de France Inter, Laurent Berger, secrétaire général de la CFDT, a indiqué "souhaiter que la CFDT cheminots appelle à la trêve pour Noël. Il faut que chacun puisse circuler librement". "Ils sont en train de consulter leurs équipes ce matin. Il y aura des réponses dans la journée", a-t-il précisé.

09h40: En Ile-de-France, le pic de trafic routier, qui a été observé plus tôt dans la journée, est passé. Il y a actuellement près de 250 kilomètres de bouchons.

09h33: Quelque 400 syndicalistes de la CGT ont tenté de perturber le fonctionnement du marché de Rungis dans la nuit mais la police les a empêchés d’entrer.

09h29: Le point sur la situation ce matin en ce 16ème jour de grève dans les transports

Au seuil d’un grand week-end de départs avant Noël, la France vit vendredi son 16e jour de grève dans les transports contre la réforme des retraites portée par Edouard Philippe, qui a affiché quelques «avancées» pour arracher une trêve d’ores et déjà compromise.

La situation à la SNCF s’est un peu améliorée par rapport aux jours précédents, avec la moitié des TGV et un Transilien sur quatre «en moyenne» en circulation. Seul bémol, une coupure de circulation entre Saint-Etienne et Lyon à la suite d’une chute d’arbre sur une caténaire.

Petit mieux aussi pour les usagers de la RATP, avec six lignes de métro fermées et une «amélioration globale», selon la régie. A 07H45, le trafic était quasi normal pour les tramways et conforme aux prévisions pour les RER et le métro. Près d’un bus sur deux circulaient à cette heure, mais la fin des blocages de dépôts de bus vers 08H00 devrait permettre une amélioration, selon la RATP.

Conséquence des perturbations dans les transports publics: le cumul de bouchons atteignait près de 375 km peu avant 9H00 en région parisienne.

Quelque 400 syndicalistes de la CGT ont par ailleurs tenté de perturber le fonctionnement du marché de Rungis dans la nuit mais la police les a empêchés d’entrer.

Pour les jours suivants, 59% des TGV et Intercités programmés les 23 et 24 décembre sont supprimés, et la moitié es voyageurs ayant réservé devront échanger leur billet. Les annonces de la SNCF vendredi sur les trains circulant le jour et le lendemain de Noël sont très attendues.

Une trêve complète pour les fêtes paraît hors de portée. Si l’Unsa ferroviaire, 2e syndicat de la SNCF, a invité jeudi à «une pause pour les vacances», la CGT-Cheminots et SUD-Rail, 1ère et 3e fédérations syndicales de la compagnie, ont décidé de continuer le mouvement.

A la RATP, l’Unsa (1er syndicat), qui estime «incomplètes» les réponses à ses revendications, préfère laisser les assemblées générales, «souveraines, se positionner».

Le Premier ministre a de son côté «appelé à la responsabilité de chacun pour permettre très vite aux millions de Français qui le souhaitent de rejoindre leurs familles en cette fin d’année».

Prise en compte «plus généreuse» de la pénibilité, main tendue sur la retraite progressive pour les fonctionnaires, «améliorations» concernant le minimum de pension, «marges de manoeuvre» pour parvenir à l’équilibre financier, progressivité de la réforme des régimes spéciaux... Après deux jours de rencontres à Matignon avec les syndicats et le patronat, Edouard Philippe a relevé jeudi soir des «avancées concrètes», et promis de nouvelles réunions dans «les premiers jours de janvier» sur le projet, qui doit être transmis au Conseil d’État avant Noël et présenté en Conseil des ministres le 22 janvier.

Mais le chef du gouvernement est loin d’avoir convaincu tous les partenaires sociaux.

Même pour les syndicats favorables à la réforme, le compte n’y est pas. La CFDT, a rappelé son numéro un Laurent Berger, reste «fermement opposée» à l'«âge d’équilibre», assorti d’un bonus-malus, que le gouvernement veut introduire dès 2022 et fixer à 64 ans en 2027 pour inciter chacun à travailler plus longtemps et assainir les comptes.

- Bataille de l’opinion indécise -

«La seule chose de concrète, c’est que le Premier ministre n’a pas entendu la rue», a dit pour sa part Philippe Martinez qui, au nom de l’intersyndicale CGT, FO, FSU, Solidaires et quatre organisations de jeunesse, appelle à une nouvelle «puissante» journée de grèves et de manifestations interprofessionnelles le 9 janvier.

Les discussions sont «sans issue dans un cadre d’équilibre budgétaire contraint», a souligné dans un communiqué l’intersyndicale, pour laquelle «la seule solution est de retirer sans délai» un projet de réforme «régressif».

Emmanuel Macron «doit prendre la parole pour dire +on fait pause, on appuie sur le bouton stop, on revient autour de la table sans préalables+», a appuyé Yves Veyrier, le numéro un de Force ouvrière, vendredi sur France 2.

Certains secteurs d’activités commencent à souffrir de la grève, notamment le commerce parisien avec des baisses de chiffre d’affaire de 25% à 30% la semaine dernière, selon Procos, la fédération du commerce spécialisé.

La bataille de l’opinion, elle, reste indécise entre le gouvernement et les grévistes, au regard de récents sondages desquels n’émerge pas encore de gagnant. C’est surtout le projet d’instaurer un âge pivot ou d’équilibre, plus que le projet d’un système universel, qui cristallise les mécontentements.

08h34: A Caen (Calvados), le réseau de tramway est à l'arrêt car le dépôt est bloqué. Le trafic de certaines lignes de bus est également touché, explique le réseau Twisto sur Twitter.

08h29: Invitée de la matinale de RTL, Sibeth N'Diaye s'est montrée optimiste quant à une possible trêve de Noël avec la CFDT: «On a eu un premier signal positif avec l'UNSA ferroviaire, et la CFDT elle-même a appelé à réserver ce moment des fêtes de fin d’année, si important pour nos compatriotes (...) j'espère que la CFDT-Cheminots aura une avancée positive dans la journée" a t-elle déclaré. La porte parole du gouvernement a caressé les syndicats réformistes dans le sens du poil tout au long de l'interview, notant le contraste entre la CGT et «des syndicats avec qui on peut discuter» et saluant «l'esprit de responsabilité de ces organisations». "Le premier ministre, hier, a témoigné d'avancées considérables de la part du gouvernement pour continuer à travailler (...) le projet du gouvernement en juillet n'est pas le même du tout qu'aujourd'hui» s'est-elle défendu.

08h08:Alors que le Premier ministre a précisé ce jeudi une hausse des rémunérations pour les enseignants au 1er janvier 200, Jean Michel Blanquer, le ministre de l'Education nationale a indiqué que "lorsqu’on commencera à voir les montants, chacun verra qu’on est dans des niveaux inédit, des montants importants sont en jeu". "Nous sommes à la veille d'une revalorisation historique des professeurs" a martelé Jean-Michel Blanquer Le ministre prévoit 6 mois de négociations et une loi de programmation pour prévoir les augmentations à venir. Ces augmentations représenterait une enveloppe globale de 500 millions d'euros par an selon les premières déclarations. Elles seraient notamment ciblées sur les plus jeunes enseignants. "Il y aura aussi une nouvelle organisation dans le travail des enseignants", a indiqué Jean-Michel Blanquer, évoquant le travail en équipe et la cessation progressive d'activité. "Tout est sur la table, je souhaite qu'on ait une vision systémique des choses sans brandir de chiffons rouges" a -t-il souligné.

07h22: Près de 300 km de bouchon en Ile de France, la situation reste tendue en Ile de France mais moins que les jours précédents

06h51: Le point sur la négociation avec Edouard Philippe «souscrit totalement» à l'extension aux fonctionnaires du dispositif de retraite progressive existant dans le privé, a annoncé jeudi le Premier ministre à l'issue de discussions avec les syndicats sur la réforme des retraites. «Plusieurs organisations syndicales ont demandé l'ouverture de la retraite progressive à la fonction publique, en particulier aux enseignants et aux personnels hospitaliers, idée à laquelle je souscris totalement», a déclaré le chef du gouvernement, précisant qu'une concertation à ce sujet débutera en janvier «pour aboutir rapidement».

Le leader de la CFDT, Laurent Berger, a de son côté salué l'ouverture d'Edouard Philippe et a annoncé que le syndicat ne prendrait pas part à la journée de mobilisation du 9 janvier. Le syndicaliste a toutefois indiqué qu'il y avait «toujours un point dur» dans la discussion sur la réforme des retraite, «la recherche de l'équilibre à court terme» à travers la mise en oeuvre d'un âge pivot dès 2022.

Edouard Philippe «souscrit totalement» à l'extension aux fonctionnaires du dispositif de retraite progressive existant dans le privé, a annoncé jeudi le Premier ministre à l'issue de discussions avec les syndicats sur la réforme des retraites. «Plusieurs organisations syndicales ont demandé l'ouverture de la retraite progressive à la fonction publique, en particulier aux enseignants et aux personnels hospitaliers, idée à laquelle je souscris totalement», a déclaré le chef du gouvernement, précisant qu'une concertation à ce sujet débutera en janvier «pour aboutir rapidement».

«La grève continue» à la SNCF, a déclaré la CGT-Cheminots. Le leader de la CFDT, Laurent Berger, a de son côté salué l'ouverture d'Edouard Philippe et a annoncé que le syndicat ne prendrait pas part à la journée de mobilisation du 9 janvier. Le syndicaliste a toutefois indiqué qu'il y avait «toujours un point dur» dans la discussion sur la réforme des retraite, «la recherche de l'équilibre à court terme» à travers la mise en oeuvre d'un âge pivot dès 2022.

05h49: Les prévisions pour ce vendredi en un seul coup d'oeil

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Vos réactions

Portrait de Claire OGrosse
20/décembre/2019 - 14h37
Angelussauron a écrit :

Le 9 janvier.... Vu qu'ils font grève pendant les vacances de noel, pourquoi ne pas faire une manif le 24 et 31 decembre ?

Car là c'est encore plus impopulaire de faire ça. Les syndicats et les grévistes vont etre tranquillement chez eux pendant les fêtes alors les non grévistes ne vont pas pouvoir rejoindre leur famille.

Bref les syndicats font n'importe quoi et à cause d'eux cette réforme va finir par passer... Une réforme qui emmènera beaucoup plus de pauvreté chez les français mais également un cout énorme pour l'état... (Et de tout manière pour les aigris il y  aura toujours des privilèges pour la sncf et la ratp c'est encore les autres qui en souffriront le plus)

cette date du 9 janvier est une ânerie, vous avez raison.

Portrait de legaulois2009
20/décembre/2019 - 13h16

cela ne m'etonne pas de lui, que lui a promis macron?

 

Portrait de Helena91
20/décembre/2019 - 11h34 - depuis l'application mobile

Ah oui c’est vrai que ça va empêcher les gros Bourges de partir au ski ! C’est surtout ça qu’il fait chié de ne pas pouvoir partir en vacances mdrrrr

Portrait de Angelussauron
20/décembre/2019 - 09h30

Le 9 janvier.... Vu qu'ils font grève pendant les vacances de noel, pourquoi ne pas faire une manif le 24 et 31 decembre ?

Car là c'est encore plus impopulaire de faire ça. Les syndicats et les grévistes vont etre tranquillement chez eux pendant les fêtes alors les non grévistes ne vont pas pouvoir rejoindre leur famille.

Bref les syndicats font n'importe quoi et à cause d'eux cette réforme va finir par passer... Une réforme qui emmènera beaucoup plus de pauvreté chez les français mais également un cout énorme pour l'état... (Et de tout manière pour les aigris il y  aura toujours des privilèges pour la sncf et la ratp c'est encore les autres qui en souffriront le plus)