
Les chiffres sont sans équivoque : pour ce Mondial, les primes prévues pour les 24 sélections s'élèvent à 26,6 millions d'euros.
Le double d'il y a quatre ans, mais loin des 354 millions d'euros distribués lors de la Coupe du monde masculine, en 2018 en Russie.
L'écart entre les deux équipes de France est aussi conséquent : 400.000 euros par joueur pour les Bleus de Didier Deschamps, 15.000 euros par joueuse en cas de victoire finale pour les Bleues de Corinne Diacre.
Ces écarts sont également présents au niveau du championnat de France : la Fédération française de football (FFF) a indiqué à franceinfo que le salaire mensuel moyen d'une footballeuse pro dans l'Hexagone était de 2.494 euros brut par mois, contre 73.000 euros en Ligue 1.
Vos réactions
Si le football féminin continue d'avoir autant de succès, espérons que cette immense différence, en toute justice, s'atténuera peu à peu.
SI les footballers touchent des salaires aussi indécents c'est parce qu'ils rapportent des sommes encore plus indécentes à ceux qui paient les salaires. Le football féminin est loin d'être aussi populaire, ça rapporte moins d'argent et elles sont moins payées. Logique.
CQFD !
SI les footballers touchent des salaires aussi indécents c'est parce qu'ils rapportent des sommes encore plus indécentes à ceux qui paient les salaires. Le football féminin est loin d'être aussi populaire, ça rapporte moins d'argent et elles sont moins payées. Logique.
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