L'agence de presse américaine Associated Press (AP) a annoncé qu'elle avait procédé cette semaine au licenciement de 90 de ses journalistes dans un souci d'économie budgétaire.
Selon Paul Colford, un porte-parole d'AP, cette mesure, couplée à d'autres licenciements, un plan de départs volontaires, un arrêt des embauches et des départs en retraite anticipée permettra à l'agence de réduire sa masse salariale de 10% avant la fin de cette année, remplissant ainsi l'objectif fixé l'an dernier par Tom Curley, le patron d'AP.
M. Colford n'a pas énuméré les catégories de personnel touchées par cette nouvelle vague de licenciements. Mais selon la News Media Guild, un syndicat dont 1.300 salariés d'AP sont membres aux Etats-Unis, il s'agit de responsables éditoriaux, de reporters, de photographes et d'assistants éditoriaux.
AP, coopérative de 1.500 journaux américains, emploie environ 4.000 personnes, dont 3.000 journalistes. Elle est l'une des trois principales agences mondiales d'information avec Reuters et l'Agence France-Presse.
La donne a changé, les infos vont plus vite que la lumière sur le net et certaine agences qui on connu l'age de pierre se voit confronté au "buz mondial" de l'info qui tue plus vite que son ombre et au passage devant cette impuissance a réagir on saigne la bête par des licenciements.Reuters et l'AFP suivront la même sanction.Désormais le nouveau métier de journaliste"nouvelle génération" née et biberonné aux nouvelles technologies, aux emails, aux logiciels libres, à Google, Facebook, Twitter etc...
Et ce n'est pas fini arrivera l'info avant l'évènement lui même, mais ce n'est plus de l'info...
c'est vrai que le monde du travail est devenu tellement dégoutant que ça donne pas envie d'aller travailler !
On a cas faire la grêve du travail !
Demain on reste au lit !
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D'où l'expression '' Se tuer au travail'' qui prend toute son ampleur avec orange !
La donne a changé, les infos vont plus vite que la lumière sur le net et certaine agences qui on connu l'age de pierre se voit confronté au "buz mondial" de l'info qui tue plus vite que son ombre et au passage devant cette impuissance a réagir on saigne la bête par des licenciements.Reuters et l'AFP suivront la même sanction.Désormais le nouveau métier de journaliste"nouvelle génération" née et biberonné aux nouvelles technologies, aux emails, aux logiciels libres, à Google, Facebook, Twitter etc...
Et ce n'est pas fini arrivera l'info avant l'évènement lui même, mais ce n'est plus de l'info...
c'est vrai que le monde du travail est devenu tellement dégoutant que ça donne pas envie d'aller travailler !
On a cas faire la grêve du travail !
Demain on reste au lit !
Et bien, moi personnellement je préfère ne pas travailler, comme ça au moins je risque pas d'être viré !
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