chessy Le maire de Chessy en Seine-et-Marne, Olivier Bourjot, et l’ensemble de ses adjoints ont démissionné de leurs fonctions exécutives plutôt que de célébrer un mariage d'un OQTF que la justice leur avait ordonné d’organiser. Cette décision fait suite à une ordonnance rendue le 10 décembre 2025 par le tribunal judiciaire de Meaux, qui contraignait la municipalité à unir civilement un couple dont le futur époux était étranger et faisait l’objet d’une obligation de quitter le territoire français (OQTF).
Les faits remontent au dépôt d’un dossier de mariage par un couple dont l’un des futurs époux faisait l’objet d’une OQTF.
Lors de l’audition préalable prévue par le Code civil, la municipalité a exprimé des doutes sur la sincérité de l’union, soupçonnant un possible mariage de complaisance. Le maire a alors décidé de saisir le procureur de la République afin d’obtenir un sursis à célébration, comme la loi l’y autorise en cas de soupçon de fraude.
Une enquête a été diligentée par les services compétents pour vérifier la réalité du projet matrimonial. À l’issue de cette procédure, le tribunal judiciaire a estimé que les éléments réunis ne permettaient pas d’établir l’existence d’un mariage frauduleux.
La justice a également considéré que la situation administrative de l’homme ne faisait pas obstacle à la célébration du mariage civil.
Une ordonnance a donc été rendue, enjoignant au maire de procéder à la cérémonie dans les plus brefs délais. Refusant d’exécuter cette décision judiciaire, l’élu a annoncé sa démission de ses fonctions de maire, suivi par l’ensemble de ses adjoints. En se retirant de l’exécutif municipal, ils ont conservé leur statut de conseillers municipaux, mais ont empêché toute célébration de mariage en l’absence d’officier d’état civil habilité.
Le maire a justifié son choix par des raisons de conscience et par sa volonté de ne pas cautionner une situation qu’il juge incompatible avec le sens de la loi et de l’action publique. Cette démission collective soulève des interrogations juridiques, notamment sur le respect des décisions de justice par les élus locaux.
Le parquet a rappelé que le refus d’exécuter une décision judiciaire pouvait exposer ses auteurs à des poursuites pénales.
Vos réactions
Oui, et connaître leurs noms !!! c'est si facile de juger "en catimini" sans avoir aucun compte à rendre !!!
Bravo Prendre exemple sur les USA ou les juges sont élus, connus.
Il faudrait que les juges soient élus par le peuple.
Oui, et connaître leurs noms !!! c'est si facile de juger "en catimini" sans avoir aucun compte à rendre !!!
Il faudrait que les juges soient élus par le peuple.
Un nouveau maire va être élu et il pourra marier L'OFTF avec son écervelée gauchiste.
Bravo !!! Ne serait il pas temps que cette justice ultra-politisée pense à la France ? C'est inoui... ces gens n'auront JAMAIS de comptes à rendre et qui sont les victimes des OQTF ? Les français... cela devient insupportable et cela va mal se terminer...
Bravo a cette équipe municipale
on marche sur la tête... j'espère qu'un jour la justice retrouvera du "bon sens"...
On voit le niveau de la France......
Un jour il faudra juger ces juges
Non ce sont les députés et gouvernement qui doivent être jugés pour avoir créé ces lois qui le permettent.
Un jour il faudra juger ces juges
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