Rémy Pflimlin, nouveau PDG de France Télévisions, s'est déclaré lundi
"raisonnablement optimiste" quant au sort des journalistes de France 3 Hervé
Ghesquière et Stéphane Taponier, otages en Afghanistan depuis fin
décembre.
"Il me semblerait d'après les indications que j'ai, que l'on
peut être raisonnablement optimistes", a-t-il déclaré sur France 3, dans sa
toute première interview en tant que PDG de France Télévisions.
"En
tout cas, je vais tout faire pour que ces deux confrères nous retrouvent le
plus rapidement possible", a-t-il ajouté. Il a en outre précisé que lui et
le PDG sortant Patrick de Carolis avaient téléphoné aux familles des deux
journalistes dans la matinée. "Je vais développer les contacts dans les
prochains jours pour, à l'image de ce qu'a fait Patrick de Carolis,
mobiliser la maison", a-t-il promis.
Les deux journalistes de France 3
travaillant pour le magazine "Pièces à conviction", ainsi que leurs trois
accompagnateurs afghans, ont été enlevés en décembre 2009.
Pour la simple et bonne raison qu'à notre niveau on penserait à nos collègues victimes "des risques du travail", les journalistes le font à leur échelle.
Pour un collègue, on placarderait une affiche sur un tableau d'information ou autres, les journalistes, eux, se servent de leur tableau d'info : les médias.
Bien sur que la mort de soldats est tragique. Mais être retenu en otage est aussi horrible :
Ils n'ont surement pas de nouvelles de leurs proches, ils sont certainement détenus dans des conditions insupportables (je serai étonné qu'ils soient enfermés dans une suite royale d'un grand hotel). Ils doivent se douter que leurs familles s'inquiète pour eux. On ne sait même pas s'il sont encore vivants, et si oui, s'ils sont en bonne santé et s'ils sont traités "dignement".
Il faut se mettre dans leurs peaux quelques instants. A quoi pensent ils actuellement ? Savent-ils ce que leurs ravisseurs ont l'intention de leur faire ?
Ils ne faut pas les oublier. C'est la moindre des choses à faire.
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Pour la simple et bonne raison qu'à notre niveau on penserait à nos collègues victimes "des risques du travail", les journalistes le font à leur échelle.
Pour un collègue, on placarderait une affiche sur un tableau d'information ou autres, les journalistes, eux, se servent de leur tableau d'info : les médias.
Bien sur que la mort de soldats est tragique. Mais être retenu en otage est aussi horrible :
Ils n'ont surement pas de nouvelles de leurs proches, ils sont certainement détenus dans des conditions insupportables (je serai étonné qu'ils soient enfermés dans une suite royale d'un grand hotel). Ils doivent se douter que leurs familles s'inquiète pour eux. On ne sait même pas s'il sont encore vivants, et si oui, s'ils sont en bonne santé et s'ils sont traités "dignement".
Il faut se mettre dans leurs peaux quelques instants. A quoi pensent ils actuellement ? Savent-ils ce que leurs ravisseurs ont l'intention de leur faire ?
Ils ne faut pas les oublier. C'est la moindre des choses à faire.
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