Hier matin sur RTL, dans sa chronique économique de 7h20, le journaliste Christian Ménanteau s'est attaqué aux people de "seconde zone" qui faisaient partie du jury chargé de désigner les Palace en France.
Un jury dans lequel on trouve la journaliste de «Point de vue» Adélaïde de Clermont-Tonnerre, l’académicien Dominique Fernandez, l'écrivain Gonzague Saint-Bris ou encore... Carole Rousseau de TF1 !
Quatre hôtels ont été retenus à Paris - Le Bristol, le Meurice, le Park Hyatt
Vendôme et le Plaza-Athénée - et quatre en province dont deux à Courchevel - les
Airelles et Cheval Blanc -, un à Biarritz avec l'Hôtel du Palais et un à
Saint-Jean-Cap-Ferrat avec le Grand-hôtel du Cap-Ferrat.
Remarquant que ni le George V ni le Ritz n’ont été retenus dans cette catégorie, Christian Ménateau a expliqué que "tout cela était le résultat d'un mauvais choix dans ce jury dans lequel ne figuraient qu'un seul professionnel et des people de seconde zone".
Le journaliste n'est pas le seul a exprimé son malaise depuis hier. François Delahaye, patron du groupe Dorchester dont deux des hôtels (Meurice
et Plaza-Athénée) ont reçu la précieuse distinction, a parlé à l'AFP de
"victoire amère". "Le jury s'est décrédibilisé en ne sélectionnant pas le Ritz et surtout le
George V", a-t-il expliqué.
Gabriel Matar, directeur France du cabinet spécialisé Jones Lang LaSalle,
juge, lui, que "les jurés ont sonné le deuil du titre".
Les jurés ont été nommés pour trois ans par le gouvernement.
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