Le nouveau gouvernement a été dévoilé par Claude Guéant ce dimanche soir.
Le voici:
Alain Juppé, ministre d’Etat en charge de la Défense et Anciens combattants
Michèle Alliot-Marie, ministre d’Etat des Affaires étrangères et européennes
Nathalie Kosciusko-Morizet, ministre de l’Ecologie, du Développement durable, des Transports et du Logement
Michel Mercier, Garde des sceaux, ministre de la Justice et des Libertés
Christine Lagarde, ministre de l’Economie, des Finances et de l’Industrie
Brice Hortefeux, ministre de l’Intérieur, de l’Outre-mer, des Collectivités territoriales et de l’Immigration
Xavier Bertrand, ministre du Travail, de l’Emploi et de la Santé
Luc Chatel, ministre de l’Education nationale, de la Jeunesse et de la Vie associative
Valérie Pécresse, ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche
François Baroin, ministre du Budget, des Comptes publiques et de la Fonction publique ; porte-parole du gouvernement
Bruno Le Maire, ministre de l’Agriculture, de la Pêche, de la Ruralité et de l’Aménagement du territoire
Frederic Mitterrand, ministre de la Culture et de la Communication
Maurice Leroy, ministre de la Ville
Patrick Ollier, ministre chargé des relations avec le Parlement
Roselyne Bachelot, ministre des Solidarités et Cohésion sociale
Chantal Jouanno, ministre des Sports
Eric Besson, ministre en charge de l’Industrie, de l’Energie et de l’Economique numérique
Philippe Richert, ministre en charge des Collectivités territoriales
Nadine Morano, minsitre en charge de l’Apprentissage et de la Formation professionnelle
Pierre Lellouche, ministre en charge du Commerce extérieur
Henri de Raincourt, secrétaire d’Etat chargé de la Coopération
Laurent Wauquiez, secrétaire d’Etat chargé des Affaires européennes
Marie-Luce Penchard, secrétaire d’Etat chargé de l’Outre-mer
Nora Berra, secrétaire d’Etat chargée de la Santé
Benoît Apparu, secrétaire d’Etat en charge du Logement
George Tron, secrétaire d’Etat chargé de la Fonction publique
Thierry Mariani, secrétaire d’Etat chargé des Transports
Marie-Anne Montchamp, secrétaire d’Etat en charge de la Cohésion sociale
Jeanette Bougrab, secrétaire d’Etat en charge de la Jeunesse et de la Vie associative
Frédéric Lefebvre, secrétaire d’Etat chargé du Commerce, de
l’Artisanat, des PME, du Tourisme, des Services, des Professions
libérales et de la Consommation
tu dis qu'il n'y a pas d'enrichissement mais gagner des postes à la mairie de Paris ou des salaires pour le RPR c'est un enrichissement..surtout s'il s'agit d'emplois fictifs
Une petite mise au point.
En ce qui concerne les emplois fictifs de la mairie de Parie, Alain Juppé en tant que membre du conseil national du RPR, adjoint à la direction des finances et des affaires économiques de Paris, il a payé pour un système qui a été mis en place par le RPR, pour son financement.
De même dans le cas URBA, Henri Emmanuelli, en tant que membre du secrétariat national du PS, chargé du Budget, de l'Administration et de la Trésorerie, a payé pour un système qui a été mis en place par le PS, pour son financement.
Dans un cas, comme dans l’autre, il n’y a pas eu enrichissement personnel et tout ceci se passait avant que le parlement ne vote une loi pour le financement des partis politiques.
Le parcours politique et professionnel d’Alain Juppé et Henri Emmanuelli démontrent que ce sont des gens intègres.
Et dans le cas d’Alain Juppé, il a toujours géré les dossiers politiques en technocrate, sans tenir compte de la dimension politique, humaine et sociale des décisions qu’il prend.
Et c’est peut être là son point faible car il apparaît comme un être « froid » qui est insensible aux problèmes de la population.
A titre d’exemple, il avait raison pour son projet de réforme de la Sécurité sociale présenté à l’Assemblée nationale le 15 novembre 1995.
Mais le retrait de ce projet était dû en parti, du fait de son côté technocrate, alors qu’avec un peu de pédagogie, ce projet était maintenu, enfin c’est mon point de vue.
Conséquence, en 2010, le trou de la Sécurité sociale ne fait s’amplifier et personne ne propose une solution à ce problème de peur de déclencher une révolution.
Vos réactions
tu dis qu'il n'y a pas d'enrichissement mais gagner des postes à la mairie de Paris ou des salaires pour le RPR c'est un enrichissement..surtout s'il s'agit d'emplois fictifs
bravooooooooooo, ils nous ont fatigués, ni droite ni gauche, encore moins le modem, et pourquoi pas le papa noél
Une petite mise au point.
En ce qui concerne les emplois fictifs de la mairie de Parie, Alain Juppé en tant que membre du conseil national du RPR, adjoint à la direction des finances et des affaires économiques de Paris, il a payé pour un système qui a été mis en place par le RPR, pour son financement.
De même dans le cas URBA, Henri Emmanuelli, en tant que membre du secrétariat national du PS, chargé du Budget, de l'Administration et de la Trésorerie, a payé pour un système qui a été mis en place par le PS, pour son financement.
Dans un cas, comme dans l’autre, il n’y a pas eu enrichissement personnel et tout ceci se passait avant que le parlement ne vote une loi pour le financement des partis politiques.
Le parcours politique et professionnel d’Alain Juppé et Henri Emmanuelli démontrent que ce sont des gens intègres.
Et dans le cas d’Alain Juppé, il a toujours géré les dossiers politiques en technocrate, sans tenir compte de la dimension politique, humaine et sociale des décisions qu’il prend.
Et c’est peut être là son point faible car il apparaît comme un être « froid » qui est insensible aux problèmes de la population.
A titre d’exemple, il avait raison pour son projet de réforme de la Sécurité sociale présenté à l’Assemblée nationale le 15 novembre 1995.
Mais le retrait de ce projet était dû en parti, du fait de son côté technocrate, alors qu’avec un peu de pédagogie, ce projet était maintenu, enfin c’est mon point de vue.
Conséquence, en 2010, le trou de la Sécurité sociale ne fait s’amplifier et personne ne propose une solution à ce problème de peur de déclencher une révolution.
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