
Selon les informations du Journal du Dimanche, les circonstances dans lesquelles le sinistre a eu lieu restent à élucider. Notamment la date, qui ne peut correspondre à celle du dépôt de plainte, vendredi dernier.
"Ce n'est pas dans la journée de vendredi, ni dans la nuit précédente. Cela peut remonter à plusieurs jours", indique le procureur de la République de Brest, Jean-Philippe Récappé, au JDD.
Le mobile, lui aussi, fait l'objet d'interrogations de la part du parquet. Surtout dans une période de fortes turbulences politiques, durant laquelle de nombreux élus ont été pris pour cible.
"Il n'y a aucune revendication, aucun signe sur les façades, comme on a pu le voir sur les permanences de certains députés depuis le début du mouvement des gilets jaunes", explique le procureur. Auprès du Parisien, il ajoute que l'acte "ressemble à une forme de menace ou d'intimidation". D'après Jean-Philippe Récappé, "personne ne semble être entré dans le domicile" pour y déclencher l'incendie. "Si quelqu'un avait vraiment voulu que tout s'embrase, il lui suffisait de jeter la torche à travers la vitre", précise-t-il.
Vos réactions
macron a été elu pour installer le soft-fachisme, une "republique" policiere.
depuis le debut , par ses petites phrases ile c'avait de cesse de declencher un incendie
des que cela a commencé (gilets jaunes), il a entretenu par d'autres petites phrases la braise qui couvait (RV tele + medias à sa botte)
il ne lui suffit maintenant, qu'a manœuvrer pour que les français demandent d'eux mêmes de l'ordre, toujours plus d'ordre ! pour les européennes ça devrait être fait.
Et si nous revivions une « affaire des paillotes« ? Qui sait les gens sont prêts à tout.. Mais attendons les suites de l’enquete !!
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