25/04/2017 20:51

Emmanuel Macron au 20h de France 2: "Je suis triste pour les électeurs de Jean-Luc Mélenchon, ils valent mieux que ça" - Regardez

Emmanuel Macron est revenu, dans le JT de France 2, sur le refus de Jean-Luc Mélenchon d'appeler à faire barrage au Front national au second tour.

Dimanche soir, Jean-Luc Mélenchon a refusé de donner une consigne de vote, ou même d'indiquer ce qu'il choisirait à titre personnel. 

Une attitude qu'Emmanuel Macron a regrettée sur le plateau du JT de France 2:

"Quant à Monsieur Mélenchon, je suis triste pour ses électeurs, je pense qu'ils valent beaucoup mieux que ce qu'il a dit dimanche soir", a-t-il lancé.

.

Ailleurs sur le web

Vos réactions

Portrait de Caramella
6/mai/2017 - 06h05
oiseaubleu a écrit :

Que ce soit Mélenchon ou Macron ils sont tous les deux des imposteurs! Chacun à leur manière!

Et les autres aussi
Portrait de Caramella
6/mai/2017 - 06h05
Et les électeurs de Macron smiley
Portrait de soly
26/avril/2017 - 09h13
Thx. a écrit :

Je vais citer Michel Onfray qui parle de la propagande pour la lessive Macron. 

"Macron a séduit tous les incultes, ça fait du monde." 

Michel Onfray est un intellectuel intelligent et réaliste. Ses analyses sont très percutantes et très justes.  

 

Portrait de cameron67
26/avril/2017 - 08h34
JEAMFREE a écrit :

Ça prouve une chose :

MÉLANCHON EST UN IMPOSTEUR
VOILÀ SON VRAI VISAGE !!
UN PETIT ARRIVISTE DÉÇU C'EST TOUT!

le seul imposteur c'est le morveux de MACRON

 

Portrait de FredBrian
26/avril/2017 - 08h28

Inconnu il y a peu encore, Emmanuel Macron est

sans nul doute une figure importante de la

présidentielle 2017. Il est celui que les médias

présentent comme l'homme de la situation. Ses

meetings sont retransmis par les grandes chaînes

d'information en temps réel. Bien que son bilan de

Ministre de l’économie et des finances ne plaide pas

en sa faveur (600 000 chômeurs de plus), ses

partisans voient en lui un modèle d'efficacité.

Dès ses premiers pas dans le monde politique il a

essayé de se présenter comme un leader “anti-

système”, alors qu'il est un pur produit du sérail. Il

plébiscite la réforme des

institutions qui, selon lui,

sont un frein à la modernité. Il est en France le

chef de file d'une doctrine économique qui prône la

déréglementation pour les entreprises

transnationales. Il est le grand responsable du

"scandale d'Etat Alsthom ". Pour rappel, Alsthom

Energie fut cédée en 2014 pour une bouchée de pain

à l’entreprise américaine General Electric. Bref,

Emmanuel Macron est l'incarnation du Traité

constitutionnel (libéral) qu'une majorité de français

ont rejeté au soir du 29 mai 2005.

Pourtant, à en croire les instituts de sondage,

Emmanuel Macron est la personnalité politique

préférée des Français. Ces derniers sont-ils devenusamnésiques au point d'oublier la caste de banquiers

dont il est issu ?... ou plus simplement bénéficie-t-il

d’une répétition de messages favorables dans les

médias ?

Aussi, pour appréhender au mieux le “phénomène

Macron”, plusieurs questions doivent trouver réponse.

Par exemple : Quels sont les réseaux qui le

soutiennent ? Qui le finance ? Au-delà des

apparences, que dit-il vraiment ? Son discours se

tient-il ? Est-il comme on nous le présente un

véritable “fer de lance” ?

Groupes de pression & réseaux du patronat

En avril 2016 le journal Mediapart écrivait dans l'une

de ses rubriques

: "En annonçant la création de

son mouvement « En marche ! », le Ministre de

l'économie a omis de préciser que l'adresse légale

de son association était le domicile privé du

directeur de l'un des principaux clubs patronaux,

l’Institut Montaigne".

Véritable officine au service de l'organisation

patronale (MEDEF), l'objectif de l'Institut

Montaigne est de promouvoir des idées néo-libérales

telles que la mise du gaz de schiste au service de la

compétitivité, la privatisation de l'assurance maladie,l'augmentation du temps de travail, ou encore le

départ à la retraite à 63 ans avec une durée de

cotisation de 43 ans. Il convient aussi de noter que

le président de l'Institut Montaigne Henri de

Castries fut président-directeur-général du groupe

d'assurance Axa de mai 2000 à août 2016, où il s’est

vu accorder un salaire annuel (hors revenus du

capital) oscillant entre 2,8 millions et 3,2 millions

d’euros. Quant à sa retraite (dorée), elle atteint un

confortable revenu annuel de 1 056 000 euros.

En 1994, Henri de Castries était nommé à la French-

American Foundation, institution connue pour être un

Cheval de Troie du libéralisme américain dans la

société française, qui compte parmi ses anciens

disciples communément appelés « Young

Leaders », une ribambelle de journalistes et de

personnages politiques français. En septembre 2016,

sur le site de la French-American Foundation nous

pouvions lire "Breakfast avec Emmanuel Macron,

ministre de l'Economie".

Rappelons aussi que Henri de Castries a pris en 2012

la présidence du comité de direction du très opaque

groupe Bilderberg, où l'on discute uniquement entre

pairs, et qu'il a fini par rejoindre l'équipe de

campagne de François Fillon.De son côté, le directeur général de “Terra Nova”

Thierry Pech, un think tank proche du PS, réfute les

informations concernant sa participation active au

mouvement d'Emmanuel Macron "En Marche". Ceci-

étant, dans Libération Thierry Pech ne cache pas sa

« proximité intellectuelle » avec Emmanuel Macron.

Une proximité confirmée par le grand nombre de

membres et de contributeurs réguliers de “Terra

Nova” qui apportent un soutien sans faille à

Emmanuel Macron. En particulier, les

économistes Philippe Aghion, Élie Cohen, Gilbert

Cette, le Libéral-libertaire Daniel Cohn-Bendit,

l'homme d'affaires Henry Hermand, Jacques Attali,

le dirigeant d'entreprise Louis Gallois, et le

sénateur socialiste Gérard Collomb.

Homme de réseaux, Gérard Collomb soutient

ouvertement le mouvement "En Marche !" depuis sa

création. Pour preuve, ce dernier déclara par voie

de presse "Les 23 et 24 septembre 2016, nous

organiserons à Lyon un colloque des réformistes

européens et mondiaux avec l'Institut Montaigne, les

think tanks “Les Gracques” (un autre groupe de

pression) et “Terra Nova”. Il y aura aussi des think

tanks italiens, allemands, anglais et des membres de

l'équipe d'Hillary Clinton". Cependant, “Terra Nova”,toujours très proche du parti socialiste, décidera de

se retirer de l'événement.

Roger Lenglet et Olivier Vilain, tous deux auteurs

d'“Un pouvoir sous influence, quand les think tanks

confisquent la démocratie" nous démontrent que ces

think tanks ont pour point commun d'être soutenus

par des groupes industriels cotés en bourse et

favorables à la déréglementation économique. Leur

enquête comprend une étude qui mesure le nombre

de fois où les think tanks sont cités publiquement

par les parlementaires et dans les médias. Roger

Lenglet nous résume ici “qu’avec l'auréole de

l'expertise, on voit depuis les années 2010 se

multiplier l'influence des think tanks". Lenglet et

Vilain, dans leur travail de décryptage, reviennent

sur l'influence libérale des think tanks tels

que Terra Nova , l'Institut Montaigne ou

la Fondation Jean-Jaurès.

L'Institut Montaigne est financé entre autres par

des entreprises du CAC 40 telles que Veolia, Sanofi,

Rothschild & Cie, Michelin, Microsoft, Groupama, Bank

of America, Merrill Lynch, BNP Paribas, Bolloré,

Bouygues.Selon le journal en ligne Rue89, en 2013, Terra Nova

était financée à 80 % par le mécénat d'entreprise et

20% par la cotisation des adhérents. Parmi les

mécènes : Areva, EDF, Caisse des Dépôts,

Microsoft, Sanofi, Vivendi, Google, etc. En somme

du déjà-vu plus haut, et il n'est pas difficile de

comprendre que comme l'Institut Montaigne, Terra

Nova est plus un lobby au service du capital qu'un

cercle de réflexion.

Quant à la Fondation Jean-Jaurès, si l'on en croit

son dernier rapport, elle perçoit des subventions du

Premier ministre (31%), des subventions publiques sur

projet (28%), des fonds issus de partenariats

européens (17%), du Mécénat (14%), ses ressources

propres (publications, dons...) ne représentant que

10% de ses revenus.

Financements en eaux troubles

En novembre 2016, Europe 1 se fait le porte parole

d'”En Marche !” en titrant une chronique : "Macron

répond à Hamon sur le financement de “En

Marche !” : "Chez moi, on ne vit pas du

contribuable".Benoît Hamon lui avait posé la question suivante "Si

tu es hors système, acceptes-tu de rendre publique

et transparente [la liste des] donateurs de ta

campagne ?" Pour se défausser, Emmanuel Macron

évoque le secret fiscal qui protège l'identité des

donateurs. Il ajoute "Un ancien ministre devrait

savoir qu'il faut respecter la loi." Puis il conclut

"Je suis en effet hors système puisque j'ai créé un

mouvement en avril dernier et ce mouvement n'a

aucune subvention publique. Donc chez moi, on ne

vit pas du contribuable".

En premier lieu, nous sommes en droit de penser

que Benoît Hamon demande simplement à Emmanuel

Macron des indications sur les gros donateurs

(organismes financiers, Banques, etc). Et la moindre

des chose eût été que le candidat Macron fasse

preuve de transparence.

Nous pouvons également constater qu’Emmanuel

Macron ne manque pas de toupet quand il déclare

qu'un ancien ministre devrait savoir qu'il faut

respecter la loi. Rappelons-nous en effet qu'à

l'époque où il était ministre, Emmanuel Macron avait

sous-évalué la valeur de la maison de son épouse

de 200 000 €.

Emmanuel Macron nous dit ensuite "chez moi, on ne

vit pas du contribuable". Sur ce fait, il ometsimplement d'expliquer qu'il n'a pas d'aide

directe car pour l'heure “En Marche !” n'a tout

simplement pas d'élus. Mais la loi permet à tout

donateur de dons ou cotisations à un parti politique

de bénéficier d'une réduction d'impôt. Donc par

voie de conséquence “En Marche !” bénéficie d'une

aide indirecte de l'Etat.

Et concernant les aides directes, En marche

présentera 577 candidats aux législatives qui suivront

l'élection présidentielle. Dès lors la loi prévoit un

financement public accordé aux différents partis en

fonction de deux critères : premièrement leurs

résultats aux élections législatives, pour ceux qui ont

présenté des candidats ayant obtenu au moins 1% des

voix dans au moins 50 circonscriptions, et

deuxièmement leur nombre de parlementaires. Pour

vous faire une idée plus précise, sachez qu'en 2013

le montant global versé aux partis et formations

politiques de métropole et d’outre-mer s’est élevé à

70 083 332,15 € dont notamment : 28 480 742,50 €

pour le PS ; 19 870 309,79 € pour l’UMP ; 5 543 646,41

€ pour le FN ; 3 521 792,11 € pour Europe Écologie-

Les Verts ; 3 222 320,99 € pour le PCF (décret

n°2013-430 du 27 mai 2013).D’autre part nous avons vu dans le paragraphe

précédent que les think tanks qui soutiennent Macron

bénéficient d'une aide publique directe. Des think

tanks qui peuvent êtres soutenus par des entreprises

qui sont elles-mêmes liées à l'Etat. Enfin, il ne faut

pas négliger le fait que “En Marche !” est très

probablement soutenu aussi par des banques. Or

comment oublier qu'en 2008 l'Etat a déposé 360

milliards sur la table pour sauver les banques ? Et

là, n'en déplaise à l'ancien Ministre de l'économie,

il fut question de l'argent des contribuables. Ce

rappel prend encore plus d'importance à la lumière

de la réforme du 1er janvier 2016 : Les banques

peuvent désormais ponctionner les comptes des

déposants. Cette directive européenne fut

transposée dans le droit français en toute discrétion

quelques jours avant la Noël 2015, et à cette

époque monsieur Macron était toujours ministre de

l'économie.

Autre adversaire d'Emmanuel Macron : l'ex ministre

de la Culture Aurélie Filippetti. Elle qualifie Emmanuel

Macron de "candidat du grand capitalisme financier".

Le député PS Richard Ferrand, secrétaire général du

mouvement “En Marche !”, rétorque "Je laisseMme Filippetti à ses saillies nauséabondes et à ses

arguments qui sont dignes du Front national". En

bref, du déjà-vu des dizaines de fois sur ce blog.

Pour la énième fois Richard Ferrand a recours à la

méthode par l'amalgame qui consiste à fusionner ses

contradicteurs avec le Front national. Ainsi donc,

le point Godwin est atteint. Si vous demandez des

comptes à Emmanuel Macron sur ses liens avec la

finance, c'est que sans aucun doute vous avez des

idées proches du FN. Cependant, nous verrons plus

bas en détail que les idées putrides ne gênent pas

Emmanuel Macron quand il est question de siphonner

des voix.

En janvier 2017 une polémique fait rage. Après deux

ans d’investigations, les journalistes Frédéric Says et

Marion L’Hour viennent de publier "Dans l'enfer de

Bercy". Si on en croit cet ouvrage, Emmanuel

Macron à l'époque où il était encore ministre a

utilisé à lui seul 80% de l'enveloppe annuelle des

frais de représentation accordée à son ministère par

le Budget. Une somme estimée à 120 000 euros. Des

crédits du ministre à Bercy auraient donc été utilisés

pour le lancement du mouvement "En Marche",

écrivent Frédéric Says et Marion L'Hour. Depuis

le Liban où il était en déplacement, Emmanuel

Macron réagit "Aucun centime du budget duministère de l’Économie (...) n’a jamais été utilisé

pour En Marche !. Toute affirmation du contraire

est purement et simplement diffamatoire. Celles et

ceux qui continueront à écrire et à dire des

contre-vérités seront poursuivis". “Peut-être”...

dirons-nous après coup, mais que penser

d'Emmanuel Macron qui crie à la diffamation, sans

toutefois porter plainte contre les auteurs d'un

livre qui lui est très défavorable ?

Emmanuel Macron à la pêche aux voix dans le fief

de l'anti-républicanisme

Dans un billet précédent, nous sommes revenus sur

la visite au Puy-du-Fou de celui qui était il y a

encore quelques temps le Ministre de l’économie

d'un pouvoir dit “socialiste”. Là, Emmanuel Macron a

rencontré l’une des figures de proue de l’ultra

droite islamophobe française Philippe de Villiers.

À titre de rappel, la spécialité de Monsieur de

Villiers est d’entrelacer sa lecture fantasmée de

l’Histoire avec des concepts politiques paranoïaques

tels qu’Eurabia et le Choc des Civilisations. Ce

porte-parole paranoïaque n'a pas la moindre analyse

sociale. Pour Philippe de Villiers, les musulmans

pauvres et les musulmans riches sont “du même bois”.Et pour scénariser sa petite histoire, il surajoute une

dose d’eschatologie, c’est-à-dire des manifestations

des signes de la fin des temps. Ce raisonnement

fallacieux fait de Philippe de Villiers le théoricien de

la conspiration type.

A l'occasion de cette rencontre Macron - de

Villiers, Emmanuel Macron déclara "je ne suis

pas socialiste". D’ailleurs ne se situe-t-il pas “par-

delà la gauche et la droite”, cher au criminel de

guerre Tony Blair ? En avril 2016, quand Andrew

Marr, chroniqueur vedette de la BBC, compara

le ministre de l’Economie français à Tony Blair,

Emmanuel Macron rétorqua “Je vais prendre ça

comme un compliment”. Pour Emmanuel Macron, il

manque un roi à la France : « Dans la politique

française, cet absent est la figure du roi, dont je

pense fondamentalement que le peuple français n’a

pas voulu la mort » (extrait

d’une interview accordée à LeUn Hebdo, du 8 juillet

2015). A Orléans le 8 mai 2016, Emmanuel Macron a

salué Jeanne d’Arc qui « a su rassembler la

France ». Si pour certains, Jeanne d’Arc est un

symbole de courage et de résistance, nous sommes

malgré tout en droit de nous interroger sur lesréelles motivations d’Emmanuel Macron qui dans un

laps de temps très court vient de créer un parti

politique, déclarer qu’un roi manque à la France,

qu’il admire Jeanne d’Arc, et qui pour finir part en

vacances chez le vicomte Philippe de Villiers.

En ce qui concerne le volet économique et social,

les objectifs de celui qui fut Ministre de l’économie

du gouvernement Valls sont quasi-identiques à ceux

de l’ex-secrétaire d’Etat du gouvernement Chirac.

Le ministre de l’Économie s’est prononcé en

novembre 2015 pour une rémunération «

mérite

au

» des agents de la fonction publique,

soulevant un tollé chez les syndicats. Le candidat

Philippe de Villiers à la présidentielle de 2007 avait

proposé « la rémunération au mérite pour les

fonctionnaires ». En 2016 Emmanuel Macron suggère

de supprimer l’impôt sur les grandes fortunes

(ISF). En 1995 Philippe de Villiers insistait fermement

sur ses intentions de supprimer l’impôt sur les

revenus. En janvier 2016, Le Monde Économique

titrait l’une de ses chroniques « Emmanuel Macron

prêt à mettre fin « de facto » aux 35 heures ».

Philippe de Villiers a toujours été hostile à la

réduction du temps de travail. Donc à quelques

années d’intervalle, les deux hommes nous ont

proposé des services publics a minima, unedéréglementation des lois du travail, et l’acceptation

du principe de l’inégalité. Cela s’appelle

le Thatchérisme. D’ailleurs, M. Macron a confessé en

mars 2015 à la BBC qu’il aurait fallu une Margaret

Thatcher à la France. Il suffit d'ailleurs de voir le

coordinateur du programme d'E. Macron, Jean

Pisani-Ferry incapable de cacher que, contrairement

aux promesses, les retraites subiront une cure

d'austérité.

De l'arrogance au « racisme social »

Le mépris de classe est un travers qui refait

surface à intervalle régulier chez Emmanuel Macron.

Sur Europe1 en face de Jean-Pierre Elkabbach en

septembre 2014, pour sa première interview en tant

que ministre de l’économie, M. Macron s'est fait

connaître du grand public avec ses propos sur les

employés des abattoirs Gad. Précisément, Emmanuel

Macron a dit :" Il y a dans cette société (Gad),

une majorité de femmes, il y en a qui sont pour

beaucoup illettrées, pour beaucoup on leur

explique : 'Vous n'avez plus d'avenir à Gad ou aux

alentours. Allez travailler à 50 ou 60 km !' Ces

gens-là n'ont pas le permis de conduire, on va leur

dire quoi ?" Le ministre s’exprimait au microd'Europe 1, regrettant le coût et les délais

nécessaires pour ce permis.

En avril 2016, face à des syndicalistes qui simplement

(voir ici la vidéo) lui demandent des comptes,

M. Macron s'énerve en direct. Vexé, le “gendre

idéal” se transforme très vite en “loup-garou” « Je

n'ai pas de leçons à recevoir. » Et sans la moindre

pudeur il ajouta "Le meilleur moyen de se payer un

costard, c'est de travailler."

Un complexe de supériorité une fois de plus

démontré après sa visite dans le Pas-de-Calais au

début de cette année 2017. Là, Emmanuel Macron

officiellement candidat à l’élection présidentielle

déclare « Dans ce bassin minier, les soins se sont

moins bien faits, il y a beaucoup de tabagisme et

d’alcoolisme, l’espérance de vie s’est réduite, elle

est de plusieurs années inférieure à la moyenne

nationale. (...) Il faut traiter cela en urgence afin

de rendre le quotidien de ces personnes meilleur. »

Au regard oblique de l'ancien Ministre, il nous

semble prépondérant d'opposer quelques études

factuelles émanant de services spécialisés, qui au

demeurant concernent directement la catégorie

socio-professionnelle d'où est issu M. Macron.Décryptage d'une rhétorique

Juillet 2016, Emmanuel Macron est en marche vers la

campagne présidentielle. A La Mutualité (Paris),

devant un large public, notre ministre sûr de son

fait pose les bases de ce que l'on pressent déjà

comme étant l'assise institutionnelle de “l'entreprise

Macron”. Que doit-on retenir de cette première ?

Tout d'abord, avec son « entre les progressistes et

les conservateurs », notons que globalement,

Emmanuel Macron s'intercale entre le discours

d'investiture de Nicolas Sarkozy en 2007 et celui

de François Hollande au Bourget en 2012. M. Macron

est aussi libéral que le Nicolas Sarkozy de 2007 sur

les questions économiques, et très proche du

François Hollande de 2012 sur les questions de

société. Ainsi, sur la question économique et sociale,

nous pourrions presque nous risquer à une analogie

entre la nouvelle coqueluche d'aujourd'hui Emmanuel

Macron, et le comédien Yves Montand qui en 1984

fut mandaté pour faire accepter la contrainte

budgétaire aux français. Yves Montand anima une

émission de télévision spéciale intitulée “Vive la

crise”. Avec le recul, cette émission « Vive la crise »

semble avoir été l’un des signes avant-coureurs del’hégémonie du libéralisme, mais aussi de la politique

« bling-bling » qui engendra les Bernard Tapie,

Nicolas Sarkozy, et à présent Emmanuel Macron.

Concernant les relations internationales, M. Macron

reste pour l'heure plutôt énigmatique, néanmoins

nous connaissons certaines de ses références, en

particulier le trio va-t-en-guerre Obama, Blair,

Hillary Clinton. Logiquement, l'actuel porte-parole

de “En Marche !”, Benjamin Griveaux, pour se

soustraire par la diversion à une question qui

concernait les liens de "En Marche !" avec la

finance, affirma sur RMC que la plupart des candidats

autres que M. Macron étaient des agents du

Kremlin. La preuve de cette vision pour le moins

manichéenne est apportée, insista Benjamin Griveaux,

puisque -selon lui- “les sites d'information russes

RT et Sputnik écrivent uniquement sur Emmanuel

Macron". Cette russophobie n'est pas sans rappeler

la stratégie de communication qui consiste à utiliser

des mots épouvantails, en l'occurrence ici “Kremlin”,

afin de diaboliser les adversaires. Ce type de

sophisme nous vient tout droit d'une période de

l'Histoire américaine appelée "Peur rouge", qui est

qualifiée fréquemment de chasse aux sorcières. Et il

est certain qu'il y a toujours chez les atlantistes,

des réminiscences de cette période. Par conséquentces derniers ne peuvent appréhender le monde qu'à

travers le prisme d'un rapport de force. Une

résurgence de la guerre froide tout à fait

visible chez M. Macron lorsqu’il déclare "Je veux

réancrer monsieur Trump dans le camp de

l’Occident".

Nous avons aussi remarqué que sa rhétorique

s'appuie pour l'essentiel sur des formules qui se

suffisent à elles-mêmes, par exemple : (Discours de

La Mutualité, 12 juillet 2016) "Il faut changer le

pays" - "Il n'y a pas de plus belle chose que de

servir son pays” - “Ce monde est ancien, il est usé,

il est fatigué, il faut en changer” - “Nous vivons

une refondation" - “Il faut un souffle nouveau” -

“Le moment est venu de faire des choix clairs”

- “Cette histoire, elle dérange. Ça arrive, j’en sais

quelque chose. Parce qu’elle vient contrarier l’ordre

établi, parce qu’elle inquiète le système“. Ce type de

petites phrases représente bien les deux tiers de

son discours. L'argumentation de M. Macron n'est

jamais avare de confusion et de non-sens,

notamment « révolution démocratique »... Cela ne

veut pas dire grand chose et c'est pourtant le titre

de son dernier ouvrage.Nous pouvons également affirmer que la contradiction

est une prérogative dans le “process” Macron. Il

chante, nous venons de le voir, les louanges de la

Révolution et de la Démocratie, mais nous avons vu

en exergue qu'il considère qu'il manque un Roi à la

France... De même, il a pris ses distances avec le

gouvernement Valls sur le dossier de la déchéance

de nationalité, néanmoins six mois plus tard il vanta

les mérites de l'islamophobe Philippe de Villiers. “Je

suis pour le renouveau démocratique", dit-il à qui

veut l'entendre, pourtant il y a un an sa loi

travail fut imposée par le recours à l’article 49-3 de

notre Constitution. Cela alors que les trois quarts

des Français (74%) se disaient opposés à cette Loi.

”Fillon, c'est Thatcher dans les années 80, la France

mérite mieux que ça !” s'exclame Emmanuel Macron,

et pourtant dans le préambule nous avons vu qu'il

confiait à la BBC que selon lui il aurait fallu

Margaret Thatcher à la France. A Alger il déclare

« La colonisation française est un crime contre

l’humanité ». Mais cette première proposition qui

rendrait la France passible du TPI est annihilée par

cette injonction : « je ne regrette rien, la France a

installé les droits de l’homme en Algérie, mais elle a

oublié de les lire

». De fait, l'esprit néocolonialrevient au galop. Dès lors comprenons une fois de

plus, qu’en moins de deux minutes Emmanuel Macron

est capable de changer son discours du tout au

tout. Lire “Macron philosophe : ces intellectuels qui

n'y croient pas”.

Enfin, l'auto-glorification est un ingrédient

incontournable dans ses discours. Dans un premier

temps il flatte son auditoire, avec des phrases

consensuelles telles que "notre histoire inquiète le

système", ou encore "vous êtes exceptionnelles".

Toutefois, quand nous écoutons attentivement ses

discours, nous percevons très vite qu'il y a toujours

l'idée d’un “retour sur investissement” chez le

banquier Macron. Si au préalable, il est aussi

généreux avec son public, c'est pour mieux se

glorifier par la suite. En somme, dès que nous

actionnons le décodeur, nous obtenons l’image

suivante : "vous êtes supers parce que vous suivez

un super leader". Alors bien sûr, on nous

rétorquera que tout cela est le lot de nombreux

hommes politiques. Certes, à ceci près que chez

Emmanuel Macron, cette autoglorification voilée

relève pratiquement du messianisme. D'ailleurs

dernièrement sur RMC Gérard Filoche n’a-t-il pas

comparé Emmanuel Macron à un prêcheur américain ?Et à y regarder de près, nous ne pouvons

qu'adhérer à cette idée qui est corroborée par

M. Macron lui-même lorsque, à ceux qui lui

reprochent de ne pas avoir de programme,

il répond "c'est une erreur de penser que le

programme est le coeur d'une campagne électorale,

car la politique c'est une magie mystique". Et il

ajoute "La dimension christique, je ne la renie pas”.

... au point que son obsession du pouvoir tourne

quelquefois au ridicule. Souvenez-vous ici, lors de

son premier meeting parisien le 12 décembre

dernier, de cet Emmanuel Macron surexcité,

exubérant, soucieux de satisfaire ses ambitions.

Voyez aussi son discours de Quimper du 16 janvier,

où M. Macron sermonne Donald Trump... Pourquoi pas

nous direz-vous, mais alors à vous de juger les

mots qu'il emploie : "Monsieur Trump” ou

« l’Américain », “N’oubliez jamais que si vous êtes

une nation libre, c’est parce que des ambitieux sont

partis de ces terres avec l’amour de la liberté, avec

le même rêve, le rêve français, le rêve européen.

Monsieur Trump, n’oubliez jamais ce que vous nous

devez. La liberté, votre existence, c’est celle de

Lafayette, c’est la nôtre". Bref, cela se passe de

commentaire.Bien qu’il soit présenté par ses soutiens comme un

esprit brillant, il n'y a jamais de rigueur dans les

démonstrations d'Emmanuel Macron, en aucune façon

notre homme ne prend la peine de partir d’un point

A pour aller vers un point B. Il faut donc oublier

la précision et la notion de logique avec Emmanuel

Macron. A ce jour, seule l'exaltation de la course

au pouvoir semble le combler.

Conclusion

Face à cette tentative de synthèse, il est indéniable

qu'Emmanuel Macron bénéficie du soutien sans faille

de beaucoup de grands médias. D'une part,

certains patrons de la presse nationale affichent

clairement leur préférence, d'autre part un très

grand nombre de chroniqueurs vedette prennent le

relais de leurs patrons en louant les mérites du

candidat Macron, ce qui oriente forcément l'opinion

publique. Cette quasi-unanimité dans la presse n'est

pas sans rappeler le rôle que joua cette même

presse à l'occasion du référendum sur le traité

constitutionnel européen en 2005. Nous avons écrit

en introduction qu’Emmanuel Macron “est l'incarnation

de ce traité libéral", un point de vue conforté ici

qui n’annonce rien de nouveau sous le soleil. Defacto, cette propagande est donc surtout conforme

aux attentes d'une minorité de gens liés par la

richesse. Et Emmanuel Macron n’y apparaît alors que

pour ce qu’il est : le faire-valoir d'une ploutocratie

qui a pour objectif d'assurer ses avantages en

contrôlant autant que possible le débat politique.

Le problème pour notre oligarchie hexagonale au

demeurant atlantiste, c'est que le monde est encore

en train de changer, et vite. La politique sécuritaire

et militaire qu'a menée l'Occident s’est avérée

plutôt décevante. Elle affiche un passif meurtrier et

dévastateur, et nous pouvons nous risquer à penser

que l'OTAN pourrait bien vivre son crépuscule dans

les années à venir.

A partir de ce constat, l'escroquerie Macron ne

fonctionne que si elle s'appuie sur une autre

escroquerie nommée “Front national”. Grâce à la

magie du “rassemblement républicain” qui se profile

face à Marine Le Pen, Emmanuel Macron est ainsi

pratiquement sûr de remporter l'élection

présidentielle. Aussi comprenons bien que la grande

force de notre système politique est de favoriser au

préalable le monstre FN, de le nourrir afin qu'il soit

le plus effrayant possible, et ainsi de nous offrir un

chevalier blanc qui abattra la bête au printemps

prochain. “Nous sommes en pleine mystique“ nous ditM. Macron. Il est donc décidément très compliqué

de lutter efficacement contre Emmanuel Macron. Qui

plus est, il est à cette heure difficile d’imaginer

comment un candidat de gauche pourrait dépasser

Emmanuel Macron sans le concours du Parti socialiste.

Or sur le plan de notre politique étrangère, le Parti

“socialiste” a toujours été colonialiste et américanisé,

et sur le plan intérieur le pouvoir socialiste a

favorisé l'émergence d'Emmanuel Macron, tandis

qu'il faut bien reconnaître que les différents

gouvernements de François Hollande ont sans

vergogne trahi leur électorat. Un constat d'autant

plus amer que malgré les résultats de la primaire,

les apparatchiks Hollande, Valls, Ayrault ou encore

Cambadélis, sont toujours les maîtres de la maison

socialiste.

Portrait de popo47
26/avril/2017 - 06h21 - depuis l'application mobile

Triste que Macron peut devenir président!!!!

Portrait de Kahbby
26/avril/2017 - 00h55
Thx. a écrit :

Je vais citer Michel Onfray qui parle de la propagande pour la lessive Macron. 

"Macron a séduit tous les incultes, ça fait du monde." 

Non c'est exagéré ,  on ne peut pas en vouloir au père de famille  lambda de ne pas avoir vu le piège Macron , c'est extrêmement bien fait  et sa petite gueule de mec bien  sous tous rapports  n’engage pas à la suspicion systématique  surtout si tu as peu de temps pour l'analyse  , Onfray lui n'a que ça  à faire 

Portrait de carino
26/avril/2017 - 00h10
blue92 a écrit :

Comment un électeur de mr Mélenchon qui prône la tolérance, l'ouverture vers les autres, l'accueil des migrants etc. peut aller voter Mme Le Pen ensuite ....incompréhensible!

car ils en ont  marre du systeme

tant qu'on obligera pas les etats a organiser 1 referendum chaque trimestre , on aura une democratie du systeme qui en definitive n'est qu'une illusion ....  

le dernier referendum date de 2005 ..... incroyable non ? 

nb on pourrait poser la question dans l'autre sens est ce queles electeurs fn auraient pu voter melenchon si celui ci etait qualifié pour contrer macron ?

 

Je pense que oui ( suffit de voir les resultats dans le sud de la France pour s'en rendre compte ) 

 

...... 

Portrait de oiseaubleu
26/avril/2017 - 00h05

Que ce soit Mélenchon ou Macron ils sont tous les deux des imposteurs! Chacun à leur manière!

Portrait de JEAMFREE
25/avril/2017 - 23h46 - depuis l'application mobile

Ça prouve une chose :

MÉLANCHON EST UN IMPOSTEUR
VOILÀ SON VRAI VISAGE !!
UN PETIT ARRIVISTE DÉÇU C'EST TOUT!

Portrait de visionnary
25/avril/2017 - 23h36 - depuis l'application mobile

A vomi

Portrait de oralsf1
25/avril/2017 - 23h08
pierjean a écrit :

si les gens qui ont votés pour Macron avaient lu son programme il aurait fait un pourcentage moins élevé . je suis un retraité de 67 ans et croyez moi je me fais du soucis CSG augmentée et TVA  et la finance en premier plan .

Vous oubliez la mesure la plus importante et dévastatrice pour une majorité de français : la taxe de 30% sur les contrats d'assurance vie. Pour info : nombre de petites gens ont ou auront un contrat d'assurance vie, même petit, donc c'est une mesure terrifiante. Mais bon, les français sont gourouifiés et rien ne pourra arrêter cela. Il ne faudra pas râler après (et qu'on n'interprète pas mon avis comme disant qu'il faut voter son adversaire, il y a aussi la possibilité de s'abstenir ou voter blanc).

Portrait de Isette
25/avril/2017 - 23h00 - depuis l'application mobile

Macron un guignol, un pantin, un super mondialiste, il fait la fete au premier tour et assume sans complexe, perso le 7 Mai : à la pêche

Portrait de brems
25/avril/2017 - 22h55

il est futé Mélanchon pour ce 1er tour il a eu quelques voix des électeurs habituellement FN il ne va pas se fâcher avec eux. De plus le FN n'a jamais donné de consignes de vote il fait pareil ça me semble normal.

J'ai voté Fillon parce qu'il avait un bon programme pour mon pays mais je ne vais pas suivre les consignes de vote car je voterai Marine Le Pen bien meilleure pour mon pays que l'inexpérimenté Macron. On essaie de nous faire peur avec la sortie de l'union européenne. Etrangement les pays nordiques (Suede et Norvege) ne sont pas dans l'europe et ils n'ont pas eu la crise ils vivent très bien alors il faut arrêter avec l'union européenne. l'argent qu'on ne donnera plus à l'union européenne sera utilisé dans notre pays donc faut arrêter de faire peur. Les anglais ont fait ce choix il doit bien y avoir une raison...

Portrait de pierjean
25/avril/2017 - 22h41

si les gens qui ont votés pour Macron avaient lu son programme il aurait fait un pourcentage moins élevé . je suis un retraité de 67 ans et croyez moi je me fais du soucis CSG augmentée et TVA  et la finance en premier plan .

Portrait de soly
25/avril/2017 - 22h37
verocilaptor a écrit :

Il ratisse large, le Macron...

Allez, rendez-vous dans 5 ans. 2012, bis repetita. Les français ont chialé pendant 5 ans et ils en redemandent en 2017.

La force des médias sur le cerveau des citoyens français est impressionnante !

 

Exact !

Dire que quasi 24 % ont voté pour lui c'est incompréhensible... Le Macron a déjà compris qu'une partie des français était très manipulable.  

Portrait de Anakin_skywalker
25/avril/2017 - 22h30

J'ai voté Melenchon au premier tour.. Vu le manque de respect de Macron, sa façon d'être si hautaine et déjà se voir président, je crois que je vais changer mon choix. Je ne compter pas voté pour Macron au second tour. Pour moi c'était #SansMoiLe7Mai. Mais je crois sincèrement que je  voterais Le Pen, même si ça me fait mal. Enfin, je ferrais mon choix de façon définitive dans l'isoloir.

Portrait de verocilaptor
25/avril/2017 - 22h26

Il ratisse large, le Macron...

Allez, rendez-vous dans 5 ans. 2012, bis repetita. Les français ont chialé pendant 5 ans et ils en redemandent en 2017.

La force des médias sur le cerveau des citoyens français est impressionnante !

 

Portrait de soly
25/avril/2017 - 22h25

Il est surtout triste pour lui.

il essaye la manipulation et prend les électeurs pour des imbéciles qui ne verront pas clair dans son jeu.

Ce type est lamentable et minable.

 

Portrait de Kahbby
25/avril/2017 - 22h18
Thx. a écrit :

Vu le nombre de gens autour de moi qui disent aller à la pêche ce sera un jour noir pour les poissons.   

Malheureusement dans tous les cas je crains que ce soit un jour noir pour tous les français de très modestes à moyennement modestes !

Portrait de Filoû02
25/avril/2017 - 22h13

Visiblement il ne vous a pas convaincu ? 

Portrait de Kahbby
25/avril/2017 - 21h44
SUPERTOMATE2013 a écrit :

Ha la la ! !

Quel beau parleur !!

Le mec bouffe à tous les râteliers 

En disant ça il veut simplement  gagner des votes de Melenchon

Prendre les électeurs de Melenchon pour des demeurés  incapables de se faire une opinion personnelle et attendant la parole de leur gourou  , pas certain que ça marche !

Une consultation citoyenne est en cours  dans la base d’électorat  de JML , pour quelqu'un qui veut gouverner par ordonnances  on peut comprendre qu'il soit destabilisé

Portrait de Isette
25/avril/2017 - 21h38 - depuis l'application mobile

Et ce type pense pouvoir récupérer facilement les votes des personnes n ayant pas votés pour lui au premier tour. Et cela sans mouiller la chemise. il reve. #SansMoiLe7Mai Ni Macron Ni Le Pen

Portrait de Isette
25/avril/2017 - 21h33 - depuis l'application mobile

Macron a ete ridicule, vide, sûr de ce fait, un pantin minable

Portrait de Kas18
25/avril/2017 - 21h29 - depuis l'application mobile

Pourquoi en regardant TF1 ce soir écouter L émission politique l image est en 4/3

Portrait de soly
25/avril/2017 - 21h08

C'est sûr les électeurs de Mélanchon valent mieux que d'avoir un président comme Macron.

Le libéralisme qu'il propose, l'accueil des émigrants en masse à l'instar de l'Allemagne (il a félicité Merkel pour sa politique concernant les migrants...)...

Ce type est dangereux et n'est pas à la hauteur de la fonction.

 

Portrait de Isette
25/avril/2017 - 20h59 - depuis l'application mobile

Ce Macron sur France a été minable, du vent, rien de consistant dans ces propos. On va souffrir durant les 5 années à venir avec ce pantin.