
L'Etat ne va pas "se substituer aux actionnaires défaillants" de Libération, en graves difficultés financières, a averti la ministre de la Culture et de la Communication Aurélie Filippetti mercredi sur iTELE.
"Il y a des actionnaires, ce sont eux qui sont responsables aujourd'hui de la situation dans laquelle est le journal", a affirmé la ministre.
Le ministère de la Communication "accompagne" les journaux en difficulté, notamment au travers du fonds de soutien au pluralisme, a-t-elle rappelé.
"On a accompagné jusqu'à présent, mais ce n'est pas l'Etat qui va se substituer aux actionnaires défaillants", a ajouté Mme Filippetti. Le sort du journal, déficitaire et endetté, sans trésorerie, se jouera dans les prochaines semaines.
Vos réactions
Je ne suis pas étonné
Ha on aide pas ses copains :
Libération n'est pas un journal de gauche, depuis longtemps.
De plus le gouvernement est libéral, comme l'était l'ancien président.
Rien de changé.
ils peuvent en profiter pour récupérer l'argent laissé à l'Humanité.
(le gouvernement Ayrault a annulé une dette de l'Humanité pour qui ne suivrait pas)
On pourrait supprimer la dotation au Figaro pour la donner à Libération vu que son propriétaire a dépensé 7 millions d'euros pour acheter les voix des électeurs..
Oui, le Figaro est mieux géré que Libé, tu as raison
Etonnant... N'est-ce pas le même gouvernement qui a effacé la dette de 4 millions d'euros du Journal l'humanité ????? Hum, peut-être parce que sans le front de gauche et les communistes, ils n'auraient pas étés élus ? Mais je suppute...
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