thomas legrand Une campagne de 4.000 CV tests pour lutter contre les discriminations à l'embauche est lancée lundi, a annoncé la ministre déléguée en charge de la Lutte contre les discriminations Aurore Bergé sur franceinfo TV.
"Je lance aujourd'hui une campagne massive avec l'envoi de 4.000 CV tests qui répondent à de véritables offres d'emploi, de manière à savoir concrètement s'il y a plus ou moins de difficultés en fonction du secteur d'activité", a-t-elle détaillé.
"Vingt secteurs" d'activité sont ciblés. Le sexe, les noms et prénoms et l'adresse vont être testés afin de "savoir ce que l'on doit combattre et réussir à bien le mesurer", a-t-elle précisé.
La ministre a rappelé "qu'un Français sur trois sur les cinq dernières années a subi une discrimination dans l'emploi: soit au moment de l'embauche, soit au moment de sa carrière, en fonction de de son âge, de son handicap, de son origine, de son nom de famille ou encore de son adresse".
Dans une étude menée avec l'Observatoire international du travail (OIT), la Défenseure des droits a souligné la semaine dernière l'ampleur des discriminations ressenties par les salariés tant à l'embauche qu'au cours de sa carrière. Selon ces travaux, "43% de la population pense qu'aujourd'hui en France, des personnes sont souvent traitées défavorablement ou discriminées lors d'une recherche d'emploi" et "52%" pensent qu'elles le sont "parfois".
La ministre avait indiqué en mai à l'AFP, lors de l'annonce de cette campagne de testing, que l'idée était que "l'on puisse, si besoin (...) changer la loi sur la question notamment de la sanction à l'encontre des entreprises".
Elle avait également évoqué la création de "mécanismes comparables" à l'index sur l'égalité professionnelle entre les femmes et les hommes.
Vos réactions
Dans ce cas, il faudrait aussi analyser les expériences de 4000 patrons ayant embauché des divers multiculturels pour voir la proportion d'entre eux regrettant leur ouverture d'esprit après des méfaits subis : vols, agressions verbales, revendications religieuses, non respect du règlement intérieur pour des tenues interdites/inappropriées. Et là on aura un tableau complet, pourquoi des chefs d'entreprise ne se risquent plus autant à l'ouverture au multiculturalisme : pour éviter le multiproblémisme.
Je suis à un stade de ma carrière où je suis contacté par des cabinets de recrutement afin d'aller régler des problèmes d'infrastructure dans de grands groupes.
J'enchaîne donc des missions d'un à deux ans chez divers employeurs et partout où je suis passé, les divers posent problème : exigences religieuses pendant le ramadan ou le shabbat, fausses accusations de racisme et d'antisémitisme, défense tribale de leurs intérêts au détriment des autochtones...
Dernier exemple en date : un blanc avec des responsabilités recrute une assistante arabe pour compenser l'absentéisme et l'inutilité d'un noir.
Il ne tarissait pas d'éloges sur elle.
Résultat : elle l'a dénoncé à la 1ère connerie, l'a fait virer et a pris sa place.
Moralité : n'en embauchez jamais.
Sous aucun prétexte.
Il faut bien que tous les petits hommes gris s’occupent à e**erder ceux qui recrutent
Alors que l'on va de records en records pour les défaillances d'entreprises et les plans de licenciements, pourquoi ne pas fliquer plus et sanctionner plus ceux qui oseraient encore embaucher ?
Dans ce cas, il faudrait aussi analyser les expériences de 4000 patrons ayant embauché des divers multiculturels pour voir la proportion d'entre eux regrettant leur ouverture d'esprit après des méfaits subis : vols, agressions verbales, revendications religieuses, non respect du règlement intérieur pour des tenues interdites/inappropriées. Et là on aura un tableau complet, pourquoi des chefs d'entreprise ne se risquent plus autant à l'ouverture au multiculturalisme : pour éviter le multiproblémisme.
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