Pour la deuxième fois en quelques heures, la femme du très médiatique Dr Jimmy Mohamed accuse son mari de pressions psychologiques, affirmant être arrivée "au bout du rouleau"

C'est la deuxième charge en 24h de l'épouse du Dr Jimmy Mohamed contre son mari, avec un chaque fois des textes qui ressemblent à des appels u secours. Si la première story sur Instagram avait été retirée très rapidement, Souailla Mohamed a décidé cette nuit de revenir à la charge. Dans une nouvelle story, non seulement elle ne retire rien de ses premiers propos mais elle en rajoute même, comme vous pouvez le voir ci-dessous.

Elle évoque une fois de plus ce qu'elle appelle le double discours du médecin, mais également les pressions psychologiques qu'elle subirait évoquant même un "manque de décence" dans la situation actuelle, qu'elle ne détaille pas vraiment.

Dans sa première story, Souailla Mohamed reproduisait un extrait d'une séquence de RTL dans laquelle Jimmy Mohamed évoque les bienfaits d’un chien sur la santé mentale des adolescents.

Mais où les choses se compliquent c'est qu'elle a accompagné le post d’un message accusateur:

"Super intéressant ! Moi, je me demande comment aider une personne victime de violences psychologiques par son mari un médecin ? Qui va jusqu’à essayer de faire croire qu’elle a des hallucinations ?".

Aqababe  précise que Souailla Mohamed savait ce qu'elle faisait en postant ces captures même si aujourd'hui elles semblent avoir été retirées des réseaux sociaux.

Ces publications se poursuivent avec d'autres accusations, moins graves, affirmant que le médecin qui donne des conseils de nutrition au quotidien ferait en réalité le contraire dans la vraie vie, consommant des sodas ou des produits transformés, le tout accompagné de plusieurs photos :

"Tu passes le diplôme de nutrition, tu décodes les listes d’ingrédients, tu fais les courses, tu cuisines. Tu bassines ton mari avec l’intérêt de la prévention par la nutrition pendant qu’il achète des cochonneries qu’il cache dans sa voiture parce que interdit que ça rentre à la maison".

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