
22h07 : Tout ça pour ça… Emmanuel Macron renomme Sébastien Lecornu comme Premier Ministre ce soir. Quelques instants après l'annonce de l'Élysée, Sébastien Lecornu a expliqué, sur X, "accepter - par devoir - la mission" "qui m'est confiée par le Président de la République de tout faire pour donner un budget à la France pour la fin de l’année et de répondre aux problèmes de la vie quotidienne de nos compatriotes".
Il est désormais chargé de trouver une solution pour ne pas être censuré à l’Assemblée nationale. Une tâche qui apparaît presque insurmontable tant le Palais-Bourbon est plus divisé que jamais.
Sébastien Lecornu estime que "celles et ceux qui entreront au gouvernement devront s’engager à se déconnecter des ambitions présidentielles pour 2027" et que "la nouvelle équipe gouvernementale devra incarner le renouvellement et la diversité des compétences".
19h01: Le président des Républicains Bruno Retailleau affirme que "l'expression 'socle commun' est morte dimanche soir, faute de confiance".
18h07: Le point sur ce que l'on sait
Emmanuel Macron nommera un Premier ministre « dans les prochaines heures », mais pas de gauche, ont rapporté vendredi des chefs de parti après une réunion de crise à l’Elysée qui a « sidéré » la gauche, déçue par l’absence de « réponse claire » notamment sur les retraites.
Après environ deux heures trente de huis clos, convoqué en urgence pour tenter de trouver un compromis gouvernemental face aux vetos croisés, le chef du groupe de députés centristes Liot, Laurent Panifous, a rapporté que le président annoncerait « dans les prochaines heures » le nom du Premier ministre.
Il n’a pas pu dire s’il pourrait reconduire le démissionnaire Sébastien Lecornu, un fidèle d’Emmanuel Macron, scénario qui circulait avec force dans la matinée, suscitant un tir de barrage jusque dans le camp présidentiel.
Ce ne sera pas un chef de gouvernement de gauche mais vraisemblablement un macroniste, ont ensuite dit l’écologiste Marine Tondelier, le socialiste Olivier Faure et le communiste Fabien Roussel, malgré leur demande conjointe d’accéder à Matignon.
M. Macron n’a apporté « aucune réponse claire » sur les retraites ou le pouvoir d’achat, a déploré le premier secrétaire du Parti socialiste, refusant de donner une « garantie de non censure » au futur exécutif, qui était pourtant le principal enjeu de la réunion.
« Tout ça va très mal se terminer » avec une possible « dissolution » de l’Assemblée nationale, a même lancé Marine Tondelier, « sidérée ».
La gauche a jugé décevantes les esquisses de concession sur la réforme des retraites, pourtant inédites dans la bouche du chef de l’Etat qui en avait fait un totem de son second quinquennat.
M. Macron a proposé « non pas de suspendre, mais décaler dans le temps » la mesure sur l’âge de départ à la retraite et non celle sur le nombre de trimestres cotisés, a expliqué la cheffe de leurs députés, Cyrielle Châtelain.
« Pas d’éclaircie », a renchéri Fabien Roussel, mettant en garde: si le Premier ministre est « dans le camp d’Emmanuel Macron », « nous ne pourrons pas l’accepter ».
Les chefs du parti de droite Les Républicains, Bruno Retailleau et Laurent Wauquiez, étaient sortis les premiers, ensemble, mais sans faire de déclaration, alors qu’ils étaient arrivés séparément.
Seuls absents à cette rencontre: le Rassemblement national et la France insoumise, qui n’ont pas été conviés car, contrairement aux autres, ils « ont tous les deux indiqué rechercher la dissolution », a justifié l’entourage d’Emmanuel Macron.
Une « rupture avec (...) la fonction » présidentielle, a protesté Marine Le Pen, dénonçant « une réunion de marchands de tapis » depuis le congrès des sapeurs-pompiers organisé au Mans où elle a joué à fond la contre-programmation, suivie au milieu de la foule par les caméras des chaînes info.
Les téléphones avaient bipé autour de 02H00 du matin: Emmanuel Macron a invité les autres chefs de parti et chefs de groupe à l’Assemblée nationale à 14H30 à l’Elysée.
18h04: Le nouveau Premier ministre sera nommé avant 20 heures, indique BFMTV
17h39: "Il n'y a aucune réponse claire de la part du président", affirme Olivier Faure (PS) à la sortie de la réunion avec Emmanuel Macron. "Comme nous n'avons obtenu aucune garantie, il n'y a aucune garantie de non censure de notre part", ajoute-t-il.
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Olivier Faure, premier secrétaire du PS, déplore «aucune réponse claire d’Emmanuel Macron» à l’issue de la réunion de crise, dans #PunchlineWE pic.twitter.com/qb7AHJzqHG
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17h30: "Depuis le début, on réclame un changement de politique. Les Français veulent que ça change", déclare Fabien Roussel à la sortie de l'Elysée. "Nous sommes venus ici le dire au président de la République". "Si le nouveau Premier ministre reste dans le camp d'Emmanuel Macron, nous ne pourrons pas l'accepter".
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Fabien Roussel, secrétaire national du PCF, sur les choix décisifs d’Emmanuel Macron : «Nous avons en face de nous un mur», dans #PunchlineWE pic.twitter.com/z1XdwlXUEq
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17h18: Les Ecologistes sortent « sidérés » de la réunion et « avec aucune réponse ». Le futur Premier ministre "ne sera pas" issu de la gauche, affirme Marine Tondelier. "S’il [Emmanuel Macron] renomme, comme il a l’intention de le faire, quelqu’un de la majorité qui n’est plus majoritaire, ça se terminera comme les fois précédentes".
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Marine Tondelier prend la parole en direct à l’issue de la réunion de crise avec Emmanuel Macron : «Nous sortons de cette réunion sidérés», dans #PunchlineWE pic.twitter.com/00fmQ2Yip7
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17h13: Laurent Wauquiez et Bruno Retailleau ont quitté la réunion à l’Elysée sans un mot aux journalistes, tout comme Gabriel Attal.
17h11: Emmanuel Macron n'a pas dévoilé son choix pour Matignon à l'occasion de la réunion à l'Elysée avec les responsables des partis cet après-midi, selon LCI
17h03: Emmanuel Macron annoncera le nom du Premier ministre "dans les prochaines heures", selon le chef du groupe Liot
16h53: Fin de la réunion avec Emmanuel Macron. Les chefs de parti quittent l'Elysée.
15h24: La cheffe de file du Rassemblement national, Marine Le Pen, a dénoncé vendredi la réunion de crise avec les forces politiques en cours à l’Elysée où le RN et LFI n’ont pas été invités, fustigeant une « rupture » avec la fonction présidentielle.
« La volonté » d’Emmanuel Macron « de recevoir l’ensemble des partis politiques, sauf le Rassemblement national et accessoirement La France insoumise, m’apparaît être en rupture avec (...) la fonction qui est la sienne », a déclaré à la presse Marine Le Pen au congrès des sapeurs-pompiers organisé au Mans.
Mme Le Pen, qui a déambulé entre les stands durant deux heures retransmises en direct sur les chaînes d’information en continu, a de nouveau plaidé pour une dissolution de l’Assemblée.
Les responsables des partis présents à l’Elysée « sont prêts à tous les abandons pour surtout ne pas être obligés de subir la sanction des électeurs », a-t-elle fustigé, dénonçant « une réunion de marchands de tapis ».
Interrogée au sujet d’un éventuel gouvernement technique -- l’une des options possibles alors que l’Elysée a annoncé sa volonté de nommer un Premier ministre d’ici vendredi soir -- Mme Le Pen a répondu qu’un tel gouvernement « n’exist(ait) pas ».
« Le gouvernement technique, ça n’existe pas. Pourquoi? Parce qu’un gouvernement prend des décisions politiques », a-t-elle déclaré.
« Si le pays est dans le mur, c’est peut-être précisément parce qu’il n’y a pas eu, dans les dernières années, assez de politique, assez de directions données aux technocrates, aux sachants et aux experts », a ajouté la responsable d’extrême droite.
Mercredi, en visite au sommet de l’élevage à Cournon-d’Auvergne, Mme Le Pen avait prévenu qu’elle « censurerait tous les gouvernements jusqu’à obtenir la dissolution ».
L’entourage d’Emmanuel Macron a justifié l’exclusion du Rassemblement national et de La France insoumise de la réunion par le fait qu’ils avaient « indiqué rechercher la dissolution ».
Le Premier ministre démissionnaire, Sébastien Lecornu, « ayant indiqué qu’il existait une majorité de formations politiques opposées à la dissolution, qui est un pouvoir constitutionnel présidentiel, le chef de l’Etat a souhaité les recevoir. Cela excluait de facto le RN et LFI qui ont tous deux indiqué rechercher la dissolution », a détaillé l’entourage présidentiel.
15h01: Les chefs des forces politiques sont arrivés vendredi à l’Elysée pour une réunion convoquée en urgence par le président de la République, au pied du mur pour désigner un Premier ministre face aux vetos croisés.
Aucun d’entre eux, ni les dirigeants de la droite et du centre arrivés séparément ni ceux de la gauche arrivés groupés dans la cour d’honneur du palais présidentiel, devant les caméras, n’ont fait de déclaration, alors que l’hypothèse d’une reconduction de Sébastien Lecornu quatre jours après sa démission suscite l’irritation jusque dans le camp du chef de l’Etat.
Les téléphones ont bipé autour de 02H00 du matin: Emmanuel Macron a invité les chefs de parti et chefs de groupe à l’Assemblée nationale, sauf le Rassemblement national et La France insoumise, à 14H30 à l’Elysée.
Cette réunion doit être « un moment de responsabilité collective », s’est borné à commenter laconiquement la présidence plusieurs heures plus tard, semblant dramatiser ce rendez-vous et faire planer la menace d’une dissolution.
Le président n’a pas pris la parole depuis la démission fracassante de Sébastien Lecornu. Une prochaine expression est cependant évoquée par ses proches.
Le chef de l’Etat a promis de nommer un Premier ministre d’ici vendredi soir, après deux jours de négociations supplémentaires pour tenter d’arracher, en l’absence de toute majorité à l’Assemblée, un accord de non-censure du futur gouvernement.
Le scénario qui revenait le plus en force était la reconduction du Premier ministre démissionnaire, un fidèle macroniste qui a pris la lumière depuis son arrivée à Matignon.
« Je ne comprendrais pas qu’il y ait une renomination d’un Premier ministre macroniste », a toutefois prévenu Agnès Pannier-Runacher, macroniste de la première heure, résumant un état d’esprit répandu dans le camp présidentiel. Le chef du parti présidentiel Renaissance, Gabriel Attal, a lui demandé à nouveau à Emmanuel Macron de « partager le pouvoir ».
14h31: De Olivier Faure à Edouard Philippe en passant par Laurent Wauquiez, les chefs de parti arrivent à l'Elysée, sans faire de commentaire aux journalistes
14h25: Les chefs de parti commencent à arriver progressivement à l'Elysée pour leur rencontre avec Emmanuel Macron
13h45: Le Président Emmanuel Macron envisage bien de reconduire Sébastien Lecornu comme Premier ministre, confirme une nouvelle fois Le Parisien.
Après un dîner avec Sébastien Lecornu, Emmanuel Macron « s’est enfermé avec son carré de fidèles pour travailler à ce scénario Lecornu 2 et réfléchir à la composition d’un gouvernement qui serait composé pour moitié de représentants de la société civile, puis de l’autre de figures du monde politique », précisent nos confrères.
13h04: Le Président Emmanuel Macron et Sébastien Lecornu ont dîné ensemble hier soir, selon des informations de CNews
12h52: La réunion avec les chefs de parti "doit être un moment de responsabilité collective", déclare l'Élysée
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12h30: Si le nom de Jean-Louis Borloo a beaucoup circulé ces dernières heures, il semble peu probable que ce soit le choix final du président. Au bal des paris, d’autres noms continuaient aussi à être cités, de l’ex-Premier ministre socialiste Bernard Cazeneuve au premier président de la Cour des comptes, Pierre Moscovici, lui aussi issu du PS.
Avec un double défi pour le chef de l’État: repousser le plus tard possible la menace d’une censure et a fortiori d’une dissolution.
En revanche, le scénario d’un Premier ministre de gauche s’éloignait, malgré l’appel à nouveau jeudi soir des chefs de parti socialiste, communiste et écologiste, à « entendre le pays ». « La fable d’un Premier ministre de gauche n’a aucune réalité aujourd’hui », a moqué vendredi Manuel Bompard (LFI). La gauche hors LFI a prévu de se concerter avant de se rendre à l’Élysée.
11h40: Selon Le Figaro, le président du Sénat, Gérard Larcher, a envoyé ce matin un SMS à Emmanuel Macron pour lui demander de convier cet après-midi les présidents de groupe du Sénat. « Il invoque notamment, dans son message, le rôle des sénateurs dans l’examen du budget, qui doit normalement commencer au plus tard la semaine prochaine si l’on s’en tient aux délais prévus par la Constitution », précisent nos confrères.
11h20: Le point sur ce que l'on sait
Reconduction de Sébastien Lecornu ou nomination d’un nouveau locataire à Matignon ? Emmanuel Macron doit mettre fin vendredi à cinq jours de suspense et tenter une nouvelle fois de désamorcer une crise politique qui ne cesse de s’aggraver.
Le président de la République a convié dans la nuit les chefs de parti et chefs de groupe à l’Assemblée nationale à 14H30 à l’Élysée, sauf le Rassemblement national et La France insoumise, selon des sources concordantes.
Il a promis de nommer un Premier ministre d’ici « vendredi soir » après la démission fracassante lundi de Sébastien Lecornu, ponctuée par deux jours de négociations supplémentaires pour tenter d’arracher, en l’absence de toute majorité à l’Assemblée, un accord de non-censure du futur gouvernement.
Le temps presse. Si le dépôt du projet de budget pour 2026 n’est pas déposé lundi, ce dernier risquerait de ne pas pouvoir être adopté avant le 31 décembre.
Rien n’a filtré sur l’heure et les modalités d’une annonce présidentielle. Une prochaine prise de parole du chef de l’État est évoquée par son entourage. Il ne s’est pas exprimé sur la situation intérieure depuis la dernière déflagration politique.
A quelques heures d’une nomination, un scénario revenait en force, la reconduction de Sébastien Lecornu. A ce stade le plus éphémère Premier ministre de la Ve République, il assure ne pas « courir après le job ».
Et Agnès Pannier-Runacher, ministre macroniste démissionnaire de l’Écologie, a vivement rejeté cette hypothèse vendredi. « Je ne comprendrais pas qu’il y ait une renomination d’un Premier ministre macroniste », a-t-elle prévenu. « Il faut partager le pouvoir », a également commenté le chef du parti présidentiel Renaissance Gabriel Attal sur France 2.
09h51: La ministre de la Transition écologique du gouvernement démissionnaire, Agnès Pannier-Runacher, a affirmé vendredi qu’elle n’était « pas candidate » à sa propre succession.
« Pour vous répondre très directement, non, je ne suis pas candidate au prochain gouvernement », a-t-elle déclaré sur franceinfo.
Interrogée pour savoir si elle redeviendrait députée du Pas-de-Calais, au cas où elle ne participerait pas à ce gouvernement, elle a répondu: « Tout à fait. Pour le coup, cela n’enlève rien au combat politique que je souhaite porter ».
« Je suis très engagée sur la réindustrialisation, sur la souveraineté énergétique, sur l’écologie, très engagée sur mon territoire du Pas-de-Calais et je continuerai. Et a fortiori dans un moment où le Rassemblement national engrange les voix », a-t-elle indiqué.
Agnès Pannier-Runacher, 51 ans, qui était cadre dirigeante d’entreprises privées, est entrée pour la première fois au gouvernement en 2018 comme secrétaire d’État chargée de l’Industrie et de l’Artisanat auprès de Bruno Le Maire.
Nommée ministre de la Transition écologique par Elisabeth Borne en mai 2022, elle l’est restée depuis, dans les gouvernements de Michel Barnier, de François Bayrou et de Sébastien Lecornu.
Elle s’apprêtait à défendre la position de la France lors d’une réunion, à Brasilia lundi et mardi, pour préparer les négociations climatiques des Nations unies (COP30, 10-21 novembre) à Belém, au Brésil.
Sa participation à cette réunion était a priori prévue, sans être certaine, indiquait son entourage à l’AFP en début de semaine.
« Je pense que ceux qui nous écoutent se fichent de savoir quel est le destin d’Agnès Pannier-Runacher. Ce qu’attendent les Français, c’est un budget de la stabilité », a lancé la ministre démissionnaire.
« Ce que les Français attendent, c’est une rupture. Et donc il faut que ce (nouveau, NDLR) Premier ministre soit en rupture avec les gouvernements précédents, et qu’il porte cette capacité à négocier, et avec le Parti socialiste et les autres composantes républicaines du Nouveau Front populaire, et avec les Républicains », a encore avancé Mme Pannier-Runacher.
« Ça doit être une personnalité qui n’est pas du camp macroniste (...) Ça doit être une personnalité qui est au-dessus de la mêlée, qui est capable de parler à la droite et à la gauche », selon elle.
09h36: "La responsabilité du chaos n'est pas à l'Assemblée, elle est à l'Élysée", estime Jean-Luc Mélenchon ce matin
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"La responsabilité du chaos n'est pas à l'Assemblée, elle est à l'Élysée", estime Jean-Luc Mélenchon pic.twitter.com/oltq6Sjj9U
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06h14: Emmanuel Macron va recevoir les chefs de partis à 14h30 à l'Elysée, mais ni le RN, ni LFI. Gabriel Attal, Marine Tondelier, Bruno Retailleau, Olivier Faure... Tous les chefs de parti ont reçu une invitation à l'Élysée pour un entretien avec Emmanuel Macron ce vendredi à 14h30. Seuls le RN et LFI n'ont pas été invités par le président de la République
05h45 : Le nom de Jean-Louis Borloo revient avec insistance. L’ancien ministre de Nicolas Sarkozy est perçu comme un homme d’expérience, au-dessus des partis, et apprécié pour son image de rassembleur. Mais son retour dans l’arène politique reste incertain.
Autre hypothèse : Sébastien Lecornu lui-même pourrait être reconduit. Le chef de l’État apprécie sa loyauté et son sens de l’organisation, et son maintien assurerait une forme de continuité dans une période tendue.
Parmi les profils évoqués, celui de Bernard Cazeneuve séduit une partie de la majorité. L’ancien Premier ministre socialiste incarne une gauche modérée, rassurante et républicaine, susceptible de calmer les tensions politiques.
Enfin, certains conseillers de l’Élysée plaident pour une personnalité technique, issue de la société civile, afin de sortir de la logique partisane et redonner du souffle à l’action gouvernementale.
Vos réactions
Il n'a pas honte il perd sa crédibilité il est influençable
pour gouverner : il faut être Droit il ne faut pas Mentir être Juste Honnête et ne pas revenir sur ses Paroles et malheureusement ils sont tous comme ça ils ne pensent qu'à eux ils se moquent des Français pourvu qu'ils est leur confort
Et Bruno Lemaire ministre des armées
? (ou de l'économie, peut-être...)
Encore plus fort que l'immobilisme : le retour en arrière
Rappel : Macron est nul.
Mais qu'avons nous fait pour avoir des incompétents pareil ?
Je doute qu'ils soient incompétents. Ce sont des arrivistes qui œuvrent pour leur intérêt personnel et ils y arrivent très bien. Quand à Macron on sait pour qui il bosse.
Pas de nouveau premier ministre aujourd'hui... encore un mensonge de Macron.
bon je me suis trompé.
Au suivant.
Lecornu hier Ma mission est terminée
Aujourd'hui il accepte de nouveau a etre premier ministre
Ces mecs sont a gerber
DEHORS TOUS ET VITE
Pas de nouveau premier ministre aujourd'hui... encore un mensonge de Macron.
On a complètement perdu Macron.
À un moment, va falloir s'en aller...
il faut qu'ils mettent des mec de la société civile économiste... arrêter avec ces politiques gauche droite et macroniste on n'en veux plus depuis 30 ans la même politique
Ce nouveau 1er Ministre va rester combien de temps ??????
Ce Gouvernement est dangereux
Les Français sont inquiets de voir ce qui se passe
C'est panique à bord !!!!!!!!!
Mais qu'avons nous fait pour avoir des incompétents pareil ?
On a voté pour eux.
Manuel Vals, ni de droite, ni de gauche et aimant les blancos.
Le monde politique est aussi ridicule que l'était l'équipe de France de football en 2010 en Afrique du Sud. On doit être la risée de tout le monde à l'étranger.
Bien dommage qu'on n'ait pas eu les Guignols de l'Info en ce moment, ça aurait été fabuleux car depuis 3 jours même sans eux on rigole.
........ le (bis)cornu ?
encore une grave erreur, qui va continuer de plonger la France dans les abysses !
un, deux, trois, plouf, plouf, plouf, ce sera toi qui sera le...... Mais comme le roi ne le veux pas, ce ne sera pas toi !
Ce qui il a de bien c'est que Lecornu a déjà une copie de lettre de démission ,il a juste à changer la date dans un mois !
Quelle mascarade !!!! c'est un anti démocrate !!!
ça va donner quoi ????????
A prolonger le temps jusqu'à Noël le budget et ensuite 2026 les élections municipales puis arrive 2027
On va rester avec un Président absent de la France jusqu'en 2027 ?????
Ils ne pensent qu'à leur place TOUS TOUS
Lecornu s'il accepte et bien il est comme les autres aucune dignité puisqu'il avait dit qu'il abandonnait le poste
Ils me déçoivent TOUS !!!!!!!!!!!
On est la risée du monde entier
Notre Président va se promener un clin d'oeil par ci un clin d'oeil par là à l'étranger alors qu'il n'est rien sa voix ne porte pas les pays se moquent de lui
On l'aime ou on ne l'aime pas mais Trump protège son peuple LUI !!! Il agit avec fermeté il n'a pas peur
D'avoir diviser comme a fait le Président : aux Elections municipales ça va faire mal les gens vont se venger
Mais qu'avons nous fait pour avoir des incompétents pareil ?
L’excuse des « représentants de la société civile » n’a aucun sens.
personne ne connaît la moitié des ministres des derniers gouvernements…
le chef sera toujours Macron, l’anti-démocrate
Macron veut rassembler les français , mais n’invite pas le plus grand parti politique de France.
La démocratie selon Macron, on exclus LFI et RN qui font presque 45% d'électeurs, Macron méprise le peuple LFI-RN et reçoit les communistes et les écolos qui ont soutenue le Hamas avec LFI en partie, de plus le PC a soutenue au 20ème siècle les millions de morts engendrée par ce parti... en Russie et autres.
Les personnalités techniques ont a des exemples au Gouvernement !!! on voit ce que ça donne !!! ils ne sont pas proches du peuple ils ne connaissent pas ce que vivent les Français , la rue , l'insécurité , le pouvoir d'achat , etc ... ces gens là ne sont pas touchés ils ont leurs chauffeurs ils ne prennent pas le métro ils ne rentrent pas , la nuit , dans la rue , pour rentrer à leur domicile ils ne connaissent pas ne pas pouvoir faire les courses à partir du 15 du mois ils font 1. repas sur 2 Comment voulez vous qu'ils comprennent ils ont une vie dorée
Il faut mettre au gouvernement des gens de la base pourquoi pas des maires qui connaissent les gens
quel cirque
Bien triste de voir que les partis qui ont fait le plus de voix ne soient pas conviés, le Président est perdu il doit quitter le bateau qui coule.
Pitoyable...
Ces partis ont fait au maximum 5% et on va faire des additions pour avoir une majorité?
Si LR ou le PS rentre dans la combine ils ne feront pas plus de 1℅ à la prochaine présidentielle
Le président n'applique pas la Démocratie c'est de la dictature !!!!
J'avais estimé Lecornu par son comportement il avait pris beaucoup de points
s'il revient il va vite redescendre il n'a aucune dignité c'est le toutou à Macron Tous les mêmes ils pensent qu'à eux , pas au peuple : des manges m.... !!!!!!!
Une mise en scène Brigitte et Emmanuel gestes amoureux c'est d'un ridicule !!!! ça sonne faux !!
Réagissez
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