Meurtre de Charlie Kirk - Très grosses tensions dans "Morandini Live" entre Jean-Marc Morandini et Mathias Leboeuf: "C’est une honte absolue de parler d'accident et pas de meurtre ! Votre discours est insupportable" - VIDEO

Ce matin, dans "Morandini Live" sur CNews, Jean-Marc Morandini a évoqué avec ses invités le meurtre de Charlie Kirk aux Etats-Unis, dont l'assassinat a choqué un pays divisé en proie à un regain de violence politique. Au cours de l'émission, un échange tendu s'est produit entre Jean-Marc Morandini et le journaliste et docteur en philosophie Mathias Leboeuf.

"Il a toujours prôné le dialogue, il allait rencontrer ses opposants. Vous avez suivi, est-ce que vous avez travaillé ? Vous avez vu pourquoi il traversait les Etats-Unis ?", lui a demandé Jean-Marc Morandini.

"Ce que vous dites est faux ! Il faisait aussi l’apologie de la violence. C’est la vérité ! La vérité quand elle vous dérange, vous ne voulez pas l’entendre", a réagi Mathias Leboeuf.

Des propos qui ont fait réagir les invités sur le plateau. "La vérité, c’est que vous ne connaissez pas Charlie Kirk et que vous ne l’avez jamais écouté", a lancé André Bercoff à destination du philosophe. 

"Est-ce que ce qui l’a fait connaitre, c’est justement d’aller dans l’affrontement verbal. C’était le roi là-dessus. Ce n’est pas de la violence. Ne me sortez pas des citations !", a rappelé Jean-Marc Morandini à destination de Mathias Leboeuf.

"J’aimerais comprendre l’objectif de Mathias de faire ça", s’est demandé Christine Kelly avant que Mathias Leboeuf précise que "c’est la vérité". "Qu’est-ce que vous voulez nous montrer ?", a renchéri Jean-Marc Morandini.

"Je dis que, quand on exacerbe la violence et quand on la justifie, ce genre d’accident arrive…", a répondu le docteur en philosophie. "C’est un accident ? C’est insupportable ce discours ! C’est honteux ce que vous dites. C’est une honte absolue !", a réagi Jean-Marc Morandini.

Quelques minutes plus tard, Mathias Leboeuf a finalement "retiré le mot accident" et précisé que "rien ne justifie un meurtre. Tuer quelqu'un parce qu'il n'a pas vos idées, c'est la fin de la démocratie. Se réjouir de la mort de quelqu'un parce qu'il n'a pas vos idées, c'est la fin de la démocratie".