amsterdam
Depuis le mois de janvier, la famille de Lucas Hunter s'est battue sans relâche pour obtenir sa libération, alors qu'elle n'avait aucune preuve de vie. En mars, sa sœur Sophie s'est même rendue à Washington pour s'entretenir avec les autorités américaines. "Il n'a rien fait de mal, il n'est pas militant politique, n'a aucune affiliation militaire…
Il était juste au mauvais endroit au mauvais moment", confiait-elle alors à nos confrères de l'AFP. Les arrestations arbitraires se sont multipliées au Venezuela depuis la dernière élection présidentielle, selon la Coalition pour les droits humains à RFI(nouvelle fenêtre).
"Notre compatriote Lucas Hunter est libre !", s'est réjoui Jean-Noël Barrot, ministre des Affaires étrangères, sur ses réseaux sociaux, tout en saluant "les efforts du Département d’État des États-Unis pour parvenir à sa libération".
Les États-Unis ont conclu un accord avec le Venezuela et avec le concours du président du Salvador, Nayib Bukele. Celui-ci garantissait la libération de dix détenus américains et de 80 prisonniers politiques vénézuéliens contre celle de dizaines de migrants expulsés des États-Unis vers le Salvador.La plupart d'entre eux ont été extradés pour leur lien supposé avec des gangs vénézuéliens, comme cet homme pris en exemple par Donald Trump au printemps.
Notre compatriote Lucas Hunter est libre !
— Jean-Noël Barrot (@jnbarrot) July 19, 2025
Ressortissant franco-américain, il était détenu au Venezuela depuis janvier 2025.
Je salue les efforts du Département d’État des États-Unis pour parvenir à sa libération. pic.twitter.com/zKaccLfYDC
Vos réactions
Quand LFI aura instauré la chariah en Frankistan, ils auront oublié leurs idées d'ouverture des frontières à tous. Ce sera la fermeture des frontières pour éviter que Nicolas qui paie s'échappe et pour empêcher d'entrer un touriste (espion forcément) arrivant de pays démocratique.
Réagissez
Nouveau ?
Inscrivez-vousDéjà membre ?
Mot de passe oublié ?