Jordan Bardella La brigade financière mène une perquisition au siège du Rassemblement national à Paris aujourd'hui "depuis 8h50", a annoncé Jordan Bardella. Le président du parti dénonce "un acharnement" et une "nouvelle opération de harcèlement".
Sur le réseau social X, il écrit : "Depuis 8h50 ce matin, le siège du Rassemblement National - y compris les bureaux de ses dirigeants - font l’objet d’une perquisition menée par une vingtaine de policiers de la Brigade financière, armés et en gilets pare-balles, accompagnés de deux juges d’instruction."
Et d'ajouter: "Tous les mails, documents et éléments de comptabilité du premier parti d’opposition sont saisis, sans que nous sachions à ce stade quels sont précisément les griefs qui en sont le fondement. " "Tout juste savons nous que l’intégralité des dossiers qui concernent les dernières campagnes régionales, présidentielles, législatives et européennes - soit toute l’activité électorale du parti - sont aujourd’hui entre les mains de la justice.", a-t-il écrit. Et de fustiger: "Cette opération, spectaculaire et inédite, s’inscrit clairement dans une nouvelle opération de harcèlement. C’est une atteinte grave au pluralisme et à l’alternance démocratique. Jamais un parti d’opposition n’a subi un tel acharnement sous la Ve République."
Cette perquisition a lieu dans le cadre d'une information judiciaire qui "porte sur des faits susceptibles de recouvrir les qualifications d’escroquerie", a appris franceinfo auprès du parquet de Paris. Elle a été ouverte en juillet 204 après des "signalements reçus portent notamment sur le financement des campagnes présidentielle de 2022, législative de 2022 et européenne de 2024". "L’information judiciaire doit permettre de déterminer si ces campagnes ont été notamment financées grâce à des prêts illégaux de particuliers bénéficiant au parti ou à des candidats du Rassemblement National", ajoute cette source.
Depuis 8h50 ce matin, le siège du Rassemblement National - y compris les bureaux de ses dirigeants - font l’objet d’une perquisition menée par une vingtaine de policiers de la Brigade financière, armés et en gilets pare-balles, accompagnés de deux juges d’instruction.
— Jordan Bardella (@J_Bardella) July 9, 2025
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Vos réactions
Alors voici le plan de la macronie : après avoir rendu Marine Le Pen inéligible avec des juges complices, rendons Bardella inéligible, n'importe quel prétexte sera bon, de toutes façon nous avons déjà comme allier ; le conseil constitutionnel,le conseil d'etat,la cours européenne des droits de l'homme et quelque autres. Faisons tout pour précipiter la France sous tutelle du FMI ; ainsi nous serons dédouanés de toute responsabilité pour les futurs votes de lois (réduction des retraites, baisse des salaires, augmentation des prix de l’énergie,fin définitive de la secu, etc.). Pour les prochaines élections de 2027, mettons un pantin à von der Leyen comme candidat. Le choix ne manque pas : Attal, de Villepin, Édouard Philippe… Peu importe. Faisons monter les néofascistes LFIstes et socialistes pour être sûrs que notre candidat passera. Quant aux LR, ils sont morts depuis longtemps : aucun risque qu’ils dépassent les 5 %. Nous conserverons ainsi le pouvoir. Voilà....la France n'est elle pas un beau pays démocratique ?
Tout est fait pour couper le financement de ce parti. Refus de prêt par les banques, problèmes lorsqu'il emprunte à l'étranger, et restriction des financements par les entreprises et les particuliers. Mais il paraît qu'on est en démocratie, qu'il n'y a pas de discrimination en fonction des idées, etc. ...
Assieds-toi, respire et rappelle toi que c'est Bardella qui a des liens forts avec le GUD, groupuscule néonazi.
Et que des études de la Commission nationale consultative des droits de l’homme soulignaient qu’il existait en France un antisémitisme d’extrême gauche, mais que celui-ci était "sans comparaison" avec celui observé à l’extrême droite.
Quand aux perquisitions, il n'y a pas de fumée sans feu. Le RN a déjà montré sa malhonnêteté, il a même déjà été condamné. Donc pas de surprise!
OK, respire aussi : brandir le GUD pour disqualifier un parti soutenu par des millions d’électeurs, c’est pratique mais paresseux. Ah, la photo avec le GUD… l’argument recyclé à l’infini, brandi comme une preuve irréfutable, alors que Bardella n’a jamais été membre ni proche de ce groupuscule. Ce qui fait courir des risques aux Juifs en France aujourd’hui: ce sont les cortèges où l’on crie "mort à Israël", les élus qui relativisent le 7 octobre, les alliances complaisantes avec les islamistes. C’est là que l’antisémitisme est violent, assumé, décomplexé — et dangereux. Sur les perquisitions, l’argument du "pas de fumée sans feu" est commode, mais dangereux. Et alors ? On interdit le PS pour les affaires Cahuzac et Urba ? LREM pour l’affaire Kohler ?
Cest là que l'on voit ce que la France est devenue lorsque l'on est obligé de chercher à noircir un parti qui ne convient pas.... Cela ne changera rien, au contraire...
Bardella a été vu avec Sarkozy... Il ne faut pas que ce parti devienne fréquentable, alors tuons-le.... C'est affligeant !!!
tout çà piloter par le parti néofasciste LFI et leurs amis macronistes et socialistes.
Opération destruction de Marine Le Pen : mission accomplie. Nouvelle cible : Jordan Bardella. Tous les leviers sont activés, aucun scrupule. Et cette fois encore, pas question d’échouer
Que le RN s'occupe donc de la France, plutôt que de se disperser dans l'UE où il ne sert à rien.
S'il arrive, par les élections présidentielles et législatives, à diriger la France, de là il pourra agir sur l'UE et pousser au renvoi d'Ursula et des autres
tout çà piloter par le parti néofasciste LFI et leurs amis macronistes et socialistes.
Si tu as la conscience tranquille tu laisses travailler tranquillement la police et la justice et tu patientes. Et si tu n'as pas la conscience tranquille, tu fais pareil.
Ils passeront de toute façon en 2027 et alors les traîtres paieront.
Ils n'arrivent pas à abattre le Rassemblement National dans les urnes, alors ils sortent l'artillerie lourde : contrôles fiscaux ciblés, justice aux ordres, demandes d’inéligibilité, sanctions financières, et même menaces de prison. La démocratie ? Ils s’en torchent, tant qu’ils peuvent l’éliminer à coups de procédures, en France comme à Bruxelles
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