
Le Centre national de la cinématographie et de l'image animée (CNC) veut se "préparer à toute hypothèse" face à "une possible offensive américaine contre notre modèle" culturel, a déclaré le nouveau président de l'institution française.
"Il est dit depuis quelques semaines que le modèle européen serait pénalisant ou déloyal pour les acteurs américains", a constaté Gaëtan Bruel, interrogé devant la commission de la Culture du Sénat, pour l'une de ses toutes premières prises de parole publiques depuis sa nomination à la tête du CNC début février. Alors que l'administration Trump pousse son offensive protectionniste dans de nombreux domaines, il faut "continuer de renforcer nos liens avec les Américains, si l'opportunité s'en présente, mais aussi se préparer à toute hypothèse", en accélérant "la structuration d'une Europe du cinéma et de la création audiovisuelle" et en étant "à l'écoute de nouvelles opportunités", notamment en Asie, a-t-il ajouté.
Le modèle français allie chronologie des médias pour protéger les cinémas (les chaînes de télévision et plateformes de streaming devant attendre plusieurs mois avant de diffuser les films) et financement des productions audiovisuelles par les entrées en salles et les contributions des télés et des plateformes. "Je veux rappeler avec le calme des vieilles troupes la vocation de notre régulation qui s'applique à tous de la même façon (...) et vise à créer de la valeur pour tous", a poursuivi M. Bruel.
Ce modèle "est le moteur d'un marché (que les Américains) dominent largement, dont ils bénéficient fortement", avec une part de marché des films en salles élevée, a-t-il argué. "Un certain nombre d'acteurs américains sont très conscients de l'intérêt de notre modèle et sont dans une démarche de renforcement de leurs engagements avec la France. C'est le cas avec Disney", qui vient d'augmenter son soutien à la création française, a-t-il souligné.
Cependant, "il demeure une très grande incertitude dans ce nouveau contexte international qui nous oblige à clarifier nos priorités", a estimé le dirigeant M. Bruel, soulignant que la transposition de la directive européenne SMA qui encadre le secteur en Europe et prévoit des obligations d'investissement pour les plateformes créait de la "fébrilité".
Le président Trump souhaiterait également relocaliser aux Etats-Unis les tournages de films.
Vos réactions
C'est sûr faut sacrément le protéger, pour produire des films qui rendent jaloux les américains
Comme Toutes pour une, ou le enième film sûr un migrant ou des migrants. ou encore Rodeo ce chef d'œuvre, sur ces jeunes de cités, roulant comme des dingues en motos, ou comédie pas drôle.
Faire tourner des Debouze, et autres qui font pratiquement pas d'entrées, et les fils ou filles de.
Une petite caste qui se met bien, et se partagent l'argent des citoyen pour financer leur train de vie.
D'accord avec vous.
Point commun de tous les films que vous avez cité : la présence d'arabes au casting. Quelle coïncidence !
Moi je me rappel juste avoir été traîté de raciste, comme des millions de français, ou francophones, par les actrices de Toutes pour une, parce que personne ne voulait aller voir leur film.
Car évidemment si cela ne fait pas d'entrées, c'est forcément la cause principale, oser imaginer que ça vient de la qualité de son film, et qu'on s'est foiré est impossible. Non non on met ses origines en avant et cela explique tout. ( Excuse facile d'ailleur utilisée de plus en plus souvent, quand c'est pas l'homophobie également. Mais bon ça va là ça passe, on peut stigmatiser)
Visiblement là Cineberry vous l'avez pas noté ?
Quand au film Rodéo, c'est surtout sa réalisatrice complêtement perchée qui m'a marqué et son discours tentant de faire passer les rodéos sauvages de racailles pour de l'art et imaginer que ce truc a pu être financer.
Que ça fasse des victimes innocentes, emmerdes les gens qui vivent dans ces cartiers, ( Oh ben tien ! Des magrébins entre autres, ces pauvres personnes devant le subir et pas assez riches pour partir) pfff rhooo c'est bon...Tu peux pas comprendre, faut les laisser s'exprimer ces petits anges, et on est limite facho si on apprécie pas. ( Et au cas ou racailles, je parle d'un comportement, pas une couleur ou une ethnie, je préfère préciser vu vos sous-entendus rapides)
Bon là encore une fois, Cineberry, étrange que desuite, vous pensiez directement aux arabes et pas à la réalisatrice. Et en plus ça voudrait dire que vous pensez inconsciemment, que tous les gens qui font du rodéo sauvage en soit.
Quand à Debouze, ben malheureusement c'est un peu comme Dubosc, Semoune ( voilà Mr ou Mme sera content(e), j'ai mis un blanc et un juif carrément ! ) des acteurs qui arrivent difficilement à jouer autre chose que leur personnage et cela gâche souvent tout.
Voilà, voilà, vu qu'il fallait préciser c'est fait. Vous voyez c'est pas les arabes, comme vous dites le soucis, mais bien la qualité, le comportement et celle d'une caste,s' autofinançant, en partie avec l'argent des français, pour nous produire des bouses, parfois idéologique, qui font pratiquement pas d'entrées, mais leurs permettent de continuer à vivre comme des princes et princesses.
C'est sûr faut sacrément le protéger, pour produire des films qui rendent jaloux les américains
Comme Toutes pour une, ou le enième film sûr un migrant ou des migrants. ou encore Rodeo ce chef d'œuvre, sur ces jeunes de cités, roulant comme des dingues en motos, ou comédie pas drôle.
Faire tourner des Debouze, et autres qui font pratiquement pas d'entrées, et les fils ou filles de.
Une petite caste qui se met bien, et se partagent l'argent des citoyen pour financer leur train de vie.
Point commun de tous les films que vous avez cité : la présence d'arabes au casting. Quelle coïncidence !
C'est sûr faut sacrément le protéger, pour produire des films qui rendent jaloux les américains
Comme Toutes pour une, ou le enième film sûr un migrant ou des migrants. ou encore Rodeo ce chef d'œuvre, sur ces jeunes de cités, roulant comme des dingues en motos, ou comédie pas drôle.
Faire tourner des Debouze, et autres qui font pratiquement pas d'entrées, et les fils ou filles de.
Une petite caste qui se met bien, et se partagent l'argent des citoyen pour financer leur train de vie.
Lisez : « Main basse sur le cinématographe ».
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