02/05/2024 13:26

Sciences Po : La fin de la réunion à Paris se termine aux cris de "Israël assassin/Science Po complice" alors que l'administrateur évoque "un débat dur" - Plusieurs autres facs sont bloquées cet après-midi

13h23: Les Insoumis continuent à soutenir ceux qui bloquent les facs et Science Po

 

13h18: À l'issue du débat interne sur Gaza organisé à Sciences Po suite aux demandes des étudiants mobilisés la semaine dernière, Jean Bassères, administrateur provisoire de Sciences Po Paris évoque "un débat dur, avec beaucoup d'oppositions", mais explique avoir voulu "privilégier le dialogue avec les étudiants" et explique avoir "refusé la création d'un groupe de travail pour investiguer les liens avec des entreprises ou des universités israéliennes" avec lesquels Sciences Po Paris a des partenariats.

"Les derniers ponts à couper sont ceux avec les universités, c'est ce qui permet de vivre dans la pluralité", ajoute Arancha Gonzalez Laya, doyenne de l'école des affaires internationales à Sciences Po Paris. La fin des partenariats avec les universités israéliennes est l'une des revendications des étudiants mobilisés dans les différents IEP de France. 

 

12h08: Le gouvernement français a demandé jeudi aux présidents d'universités de veiller au "maintien de l'ordre" face aux mobilisations de soutien à Gaza sur les campus, en utilisant "l'étendue la plus complète des pouvoirs" dont ils disposent.

Plusieurs rassemblements et blocages ont lieu en France depuis la semaine dernière sur des sites de la prestigieuse école parisienne Sciences Po et dans des universités, entraînant dans certains cas l'intervention des forces de l'ordre, en écho à une mobilisation en cours sur plusieurs campus aux Etats-Unis.  

Jeudi, la ministre de l'Enseignement supérieur Sylvie Retailleau a demandé aux présidents d'universités "d’utiliser l’étendue la plus complète des pouvoirs que (leur) confère le Code de l’éducation", notamment en termes de sanctions disciplinaires ou de recours aux forces de l'ordre. "Les présidentes et les présidents sont responsables du maintien de l'ordre dans l’enceinte universitaire. Et la police ne peut y entrer que sur réquisition de l’autorité universitaire", a rappelé la ministre aux responsables des 74 universités publiques en France.

Sylvie Retailleau leur a également demandé de "garantir" la "pluralité des expressions" au sein des universités et de "renforcer (leurs) dispositifs pour permettre à tous les débats de se tenir dans (leurs) établissements, dans le respect de la loi, naturellement, mais aussi des personnes et des idées". La ministre a également rappelé qu'une "interdiction temporaire d’accès de l’établissement" était envisageable pour un étudiant qui en menacerait un autre. 

Par ailleurs, alors que des étudiants mobilisés pour la cause palestinienne à Sciences Po Paris remettent en question les "partenariats de l’école avec les universités et organisations soutenant l’Etat d’Israël", la ministre affirme qu'il est "hors de question que les universités prennent une position institutionnelle en faveur de telle ou telle revendication dans le conflit en cours au Proche-Orient".

09h45: L’ESJ Lille est bloqué depuis ce matin par desmilitants pro-palestiniens, comme le montre l'UNI sur X."Ces derniers ont aussi réussi à faire annuler les cours et les examens de la journée à Sciences Po Lille. Stop à la soumission de l’administration !", est-il indiqué.

 

 

08h28: Sciences Po organise donc ce matin un débat à Huis clos sur le conflit israélo-palestinien… Deux heures de discussions, à huis clos entre 10h15 et 12h15 dans le célèbre amphithéâtre Émile Boutmy, auxquelles seuls les étudiants et professeurs de l’école inscrits à la conférence pourront assister. Tour à tour, 16 personnes, membres de l’administration, de syndicats, d’associations de l’école, prendront chacune la parole pendant trois minutes…

07h13: La mobilisation étudiante doit se poursuivre aujourd'hui, dans les Sciences Po de France, avec des blocages prévus notamment dans les Instituts d'études politiques (IEP) de Saint-Etienne, Rennes, Strasbourg et Menton. Enfin, un débat se tiendra à Sciences Po Paris. 

07h08: A Toulouse, Science po a été évacué par les forces de l'ordre, à la demande de la direction de l'établissement

 

07h01: A Lille, un blocage de Science Po était également prévu ce matin, mais l'école a été fermée

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Vos réactions

Portrait de bruno.13
2/mai/2024 - 19h11

Pas moyen de virer tous ces étudiants pro-islamistes de Sciences Po et des autres universités où ils propagent leur merde islamique et leur antisémitisme ?

Portrait de Frederico
2/mai/2024 - 14h07
Archimede a écrit :

Ces "palestiniens" ont un ADN arabe, une culture arabe, une langue arabe, un drapeau arabe, ils veulent un pays arabe qui -comme tous les pays arabes- opprimera les femmes, les minorités, les opposants politiques, la presse, les homo...etc...  Ces palestiniens arabes doivent donc retourner dans les pays arabes d'où ils viennent, l'Egypte et le Jordanie. D'ailleurs le nom de famille le plus répandu à gaza est "al masri" qui veut dire "l'égyptien". 

De plus ce sont bien les juifs qui ont viré les britanniques. Cette terre appartient donc bien aux juifs.

Israel a gagné, les arabes ont perdu. Fin du débat.

Je me sens plus en accord avec les valeurs du peuple israélien qu'avec celles du peuple palestinien. Une affinité plus forte pour Israël, peu d'intérêt pour la création d'un Etat palestinien, soutenu par l'Iran, le Qatar, etc

Portrait de Greenday2013
2/mai/2024 - 13h09
Archimede a écrit :

Ces "palestiniens" ont un ADN arabe, une culture arabe, une langue arabe, un drapeau arabe, ils veulent un pays arabe qui -comme tous les pays arabes- opprimera les femmes, les minorités, les opposants politiques, la presse, les homo...etc...  Ces palestiniens arabes doivent donc retourner dans les pays arabes d'où ils viennent, l'Egypte et le Jordanie. D'ailleurs le nom de famille le plus répandu à gaza est "al masri" qui veut dire "l'égyptien". 

De plus ce sont bien les juifs qui ont viré les britanniques. Cette terre appartient donc bien aux juifs.

Israel a gagné, les arabes ont perdu. Fin du débat.

"les juifs qui ont viré les britanniques", hum hum, la formule est curieuse.