voiture C'est au choix un camouflet ou une claque donnée au gouvernement par le Conseil d'Etat. Saisi en référé par le mouvement écologiste "Les Soulèvements de la Terre", le Conseil d'État a suspendu ce vendredi sa dissolution prononcée par l'exécutif fin juin
Les juges de la plus haute juridiction administrative ont débattu mardi du référé suspension déposé par le mouvement écologiste fin juillet pendant une audience de trois heures, et avaient mis leur décision en délibéré. Ce recours d’urgence, qui ne présage pas du jugement définitif, visait à suspendre la dissolution ordonnée par le gouvernement le 21 juin s’il existait des «doutes sérieux» sur la légalité du décret pris en Conseil des ministres. Les juges devront donc encore se prononcer sur le fond, ce qui devrait prendre plus d’un an.
Fin mars, quelques jours après les violents affrontements entre des militants et les forces de l'ordre contre le projet des mégabassines à Sainte-Soline (Deux-Sèvres), le gouvernement avait annoncé sa volonté de dissoudre le mouvement. Avec la confirmation par le décret de dissolution trois mois plus tard, jamais l'Etat n'avait dissous un mouvement d'une telle ampleur. En effet, près de 150.000 personnes se sont déclaré membres, réparties dans quelque 190 comités locaux sur tout le territoire.
Du côté des Soulèvements de la terre, on se défend de toute incitation à la violence sur des personnes et on agite le drapeau de l'urgence climatique pour justifier les actions militantes. « Il y a un constat d'urgence climatique, on a besoin de ce soulèvement sociétal pour attirer l'attention et que ces projets (les mégabassines) soit immédiatement arrêtés », a déclaré au cours de l'audience Benoît Biteau, député européen (EELV) et requérant dans l'affaire.
Des arguments immédiatement balayés par Pascale Leglise : « On ne discute pas du bien-fondé sur le sujet des bassines, on est en train de discuter des moyens d'action de ce groupement de fait », lui a rétorqué Pascale Léglise.
Vos réactions
OK Benjamin, on fait pareil avec Génération Identitaire.
Exactement car GI n'a jamais fait d'appel à manifestation violente, n'a jamais été condamné, n'a jamais provoqué de trouble à l'ordre public, n'a jamais blessé de policier, et ne pouvait pas être à l'origine de problématique de santé publique non plus avec des cheveux propres.. tout le contraire des éco-terroristes visés ici.
Ce sont les flics et les anti-manifestants qui viennent avec des armes , et se tapent dessus et évidemment se sont les manifestants pacifistes qui récoltent toute la violence de tout ça .
Quels anti- manifestants s’il vous plait ? Sur les champs élizées probablement. Mais à Sainte Soline ?? Bonne nouvelle les fantasmes sont autorisés.
Quelles personnes siègent au Conseil d'Etat...??
Génération identitaire a été dissout pour des propos et événements qui véhiculaient la haine , ce ne sont pas les propos d'un individus mis en cause mais celui de l'association . Et puis pour ce qui est de Civitas ça reste à voir , le type tiens des propos discriminatoire envers les juifs donc il doit être sanctionné lui mais de la a faire peser tout sur l'association , il faut voir ce qu'il en est de plus près mais en tant que président il a une responsabilité énorme .
Venir a une manif avec des armes, lancer des objets lourds a la tête des policiers, leur envoyer des cocktail molotoff dans le jambes, détruire leurs véhicules, ce n’est pas de la haine, c’est simplement une façon d’exprimer son désaccord.
A force d'avaler des couleuvres de plus en plus grosses, darmanin doit avoir un estomac en béton. Et je ne parle pas de la résistance de sa joue, au vu des gifles qu'elle reçoit.
1/ Ce n'est pas un camouflet, et Gérard Darmanin va revoir sa copie.
2/ Je suis plutôt contre cette dissolution.
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