Emmanuel Macron C'est un réalisateur qui a triomphé lors de la dernière cérémonie des César et cette fois, le réalisateur de "La Nuit du 12" recevait le 7 avril dernier le César des Lycéens, en présence du ministre de l'Éducation nationale, Pap Ndiaye.
Dominik Moll se met, à la surprise générale, dans son discours de remerciement à critiquer le chef de l'État sous les yeux du ministre qui ne réagit pas:
"Je pense que ça ne doit pas être facile tous les jours d’exercer cette fonction au sein d'un gouvernement et avec un président dont les paroles et les actes sont un peu le contraire de ce que devrait transmettre l’école.
C'est un gouvernement et un président qui préfèrent imposer plutôt que dialoguer, qui préfèrent donner des leçons plutôt que faire de la pédagogie, qui préfèrent parfois le mépris au respect et à l'écoute, qui préfèrent cliver et diviser plutôt qu'unir, qui préfèrent les intérêts particuliers au bien commun."
Grand vainqueur des César en février dernier, La Nuit du 12 raconte l'enquête impossible sur un féminicide. Le film a remporté en tout six prix dont celui du meilleur film, du meilleur espoir masculin, du meilleur acteur dans un second rôle et de la meilleure adaptation.
Dominik Moll a aussi reçu le César de la meilleure réalisation.
Vos réactions
On lui a demandé son avis à ce crétin ? Ce n'est pas parce qu'il a un soupçon de notoriété qu'il doit se croire obliger de cracher son fiel, tout comme tous ces "artistes engagés" de gauche voire désormais d'ultra-gauche, bien confortables dans leurs appartements parisiens et avec des comptes en banque bien garnis, qui se font de la pub en vociférant leur haine anti-Macron. Le ministre a eu tort de ne pas réagir, il aurait du quitter la salle
Il s'exprime comme vous vous exprimez sur ce site ! donc next . Le crétin n'est pas celui qu'on croit , n'est-ce pas Bruno 13
On lui a demandé son avis à ce crétin ? Ce n'est pas parce qu'il a un soupçon de notoriété qu'il doit se croire obliger de cracher son fiel, tout comme tous ces "artistes engagés" de gauche voire désormais d'ultra-gauche, bien confortables dans leurs appartements parisiens et avec des comptes en banque bien garnis, qui se font de la pub en vociférant leur haine anti-Macron. Le ministre a eu tort de ne pas réagir, il aurait du quitter la salle
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