23/03/2023 21:03

Scènes de chaos dans les rues de Paris - La porte de la Mairie de Bordeaux incendiée à 20h - Nouvelle journée de mobilisation annoncée pour le mardi 28 mars

21h01: Jean-Luc Mélenchon appelle à "multiplier" les actions et les blocages ce soir lors d'une interview au 20h de TF1. Le fondateur de la France insoumise a appelé à "multiplier" les actions et les blocages pour protester contre la réforme des retraites du gouvernement.

20h51: La porte de la Mairie de Bordeaux en feu ce soir après des actions de casseurs

 

20h08: Gérald Darmanin annonce que plusieurs dizaines de policiers et gendarmes ont été blessés en France que plus de 80 personnes ont été en marge des manifestations contre la réforme des retraites.

19h52: Nouvelle journée de mobilisation mardi 28 mars à l'appel de l'Intersyndicale

19h08 : Le Ministère de l'Intérieur annonce 1,09 million de manifestants en France aujourd'hui

19h01: La CGT annonce 3,5 millions de manifestants aujourd'hui à travers la France, soir un nombre qui égale le record du 7 mars dernier.

18h39 : La place de l'Opéra est noyée sous les lacrymogènes alors que des dizaines de manifestants attaque un joaillier qui est sur la place.

18h29: La police annonce que plus de 1.500 casseurs sont dénombrés en ce moment même à Paris

18h12 : Au lendemain de l'intervention d'Emmanuel Macron qui souhaitait rassurer les Français et calmer les esprits, les villes de Bordeaux, Strasbourg, Toulon et Rouen ont battu leur record de manifestants

 

17h59: Le calme petit à petit dans les rues de Paris

17h29: Plus de 850.000 manifestants étaient aujourd'hui dans les rues de France, sans compter Paris, annoncent les sources policières, soit une très forte mobilisation.

 

17h09: Plus de 800.000 personnes manifestent à Paris pour la neuvième journée de mobilisation contre la réforme des retraites, a annoncé la CGT à l'AFP, alors que le chiffre des autorités n'était pas immédiatement disponible. C'est le chiffre le plus élevé avancé par le syndicat depuis le début du mouvement, le précédent record dans la capitale remontant au 7 mars, avec 700.000 manifestants, selon la CGT (81.000, selon la préfecture).

17h08: Selon les premiers chiffres de la préfecture de police de Paris, 14 personnes ont été interpellées en marge de la manifestation contre la réforme des retraites.

16h43: Scènes de chaos dans les rues de Paris avec des voitures renversées et en feu, des magasins détruits, des explosions. Plus d'un millier de black blocks sont sur place d'après la Préfecture !

 

15h51: Des centaines de black blocks à Paris attaquent, pour la première fois, la police avec des cocktails Molotov obligeant les forces mobiles à reculer tout en s'en prenant à des enseignes de fast-foods.

 

15h44: Une manifestante a eu le pouce arrachée par une explosion à Rouen

15h30: Les grévistes de la raffinerie TotalEnergies de Normandie ont reconduit jeudi peu après 14h00 "le refus de relève", actant de fait le rejet d'éventuelles réquisitions, a déclaré à l'AFP Alexis Antonioli, secrétaire général CGT. "Nous en sommes à trois refus de relèves et l'équipe en place est à l'intérieur depuis 24 heures" a-t-il poursuivi, "hors une équipe ne peut plus prendre en charge les réquisitions passé 12 heures de travail".

15h20: Les premières tensions éclatent sur la place de la République à Paris. Des projectiles sont lancés en direct des forces de l'ordre, qui répliquent avec des sommations et du gaz lacrymogène.

 

 

15h18: Les grévistes des stockages souterrains de Storengy, filiale d'Engie, qui ont bloqué l'émission de gaz sur le réseau dans plusieurs sites depuis quelques jours, souhaitent désormais empêcher l'opération inverse et donc le remplissage des stockages pour l'hiver prochain, a-t-on appris jeudi de sources concordantes.

"La conjoncture gazière a totalement changé", a déclaré à l'AFP Frédéric Ben, responsable du secteur gaz à la CGT Energie, qui coordonne les actions de grève contre la réforme des retraites. Il a énuméré les températures clémentes, la reprise de l'activité pendant plusieurs jours au terminal méthanier de Dunkerque et les importations de gaz par pipeline "au maximum".

"Les réseaux étant pleins, on n'est plus en mode soutirage, Storengy est passé en mode injection" pour stocker le gaz en vue de l'hiver prochain, a-t-il ajouté.

En conséquence, les salariés du terminal méthanier de Dunkerque, opéré par le groupe belge Fluxys, ont de nouveau rejoint les trois autres terminaux méthaniers de France, opérés par Elengy, filiale d'Engie, pour une grève de 24 heures, a indiqué la CGT, une information confirmée par la direction.

Les grévistes ont "baissé de 80% la production de gaz sur le réseau" de ce terminal, selon Frédéric Ben.

La CGT souhaite aller plus loin et empêcher directement l'injection de gaz dans les stockages souterrains, selon M. Ben, qui indique que le site de stockage d'Etrez (Ain) a été mis à l'arrêt.

Une information que ne confirme pas la direction, qui indique qu'"il n'y a pas de sites où l'injection est rendue impossible par des blocages", malgré la présence de piquets de grève sur l'ensemble des 11 sites de Storengy.

Compte tenu de la grève du terminal méthanier de Dunkerque, le groupe ne va "plus pouvoir injecter" de gaz très longtemps, a estimé M. Ben.

14h12: Le commissariat de Lorient et la sous-préfecture ont été dégradés, annonce le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin. "Inacceptables attaques et dégradations contre la sous-préfecture et le commissariat de Lorient. Pensées aux fonctionnaires blessés. Ces actes ne peuvent rester impunis", a-t-il déclaré sur son compte Twitter.

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14h09: Le cortège parisien s'élance depuis la place de la Bastille

14h01: Le point sur ce que l'on sait

Voies de chemin de fer bloquées, trafic perturbé, grèves: pour cette neuvième journée d'action contre la réforme des retraites, les syndicats tablent sur une forte mobilisation, au lendemain d'une intervention du président de la République qui a hérissé les opposants.

Cette journée est la première organisée au niveau national après l'adoption de la loi via l'arme constitutionnelle du 49.3, le 16 mars.

"Un déni de démocratie et un mépris du peuple", pour Clélia Megoz, enseignante de 24 ans qui manifestait jeudi matin à Clermont-Ferrand, estimant que "le gouvernement a réussi à fédérer tout le monde contre lui".

Les critiques visent particulièrement le président de la République, qui "prend plaisir à attiser les flammes" selon Hugues Lecat, 49 ans, rencontré sur un barrage filtrant dans la zone industrielle d'Amiens-Nord. Cet employé d'une entreprise de peinture prévient: "S'il ne nous écoute pas, on ira plus loin".

Pour l'heure, les syndicats appellent de nouveau à une mobilisation "massive", après la journée en demi-teinte du 15 mars (1,5 million de manifestants selon les organisateurs, 480.000 d'après les autorités). La police attend cette fois-ci "entre 600 et 800.000 personnes sur environ 320 actions", dont 40 à 70.000 à Paris, où le cortège s'élancera à 14H00 de la place de la Bastille, en direction de la place de l'Opéra.

Environ 500 gilets jaunes et 500 éléments radicaux sont attendus dans la capitale, et "en province plus d'une dizaine de villes verront des démonstrations de l'ultra gauche". Après une semaine marquée par des échauffourées quotidiennes, la crainte de débordements est amplifiée par la fermeté de l'exécutif.

13h31: Blocage total ou partiel, rassemblements, manifestations : des dizaines de lycées et établissements universitaires sont le théâtre jeudi d’actions de protestation contre la réforme des retraites dans toute la France, à l’appel de différentes organisations de jeunesse, a constaté l’AFP.

A Paris, l’accès à plusieurs lycées était barré par des jeunes, souvent juchés sur des poubelles, notamment à Louis-le-Grand (Ve arrondissement), Rodin (XIIe), Jules Ferry (IXe), Racine (VIIIe), Bergson ou Brassens (XIXe).

Contacté par l’AFP, le ministère de l’Education nationale faisait état jeudi midi de « 77 incidents dans les lycées en France: 27 blocages, 37 blocages filtrants, neuf tentatives de blocages et quatre autres formes de perturbation telles que des rassemblements ou une coupure de courant localisée sur un établissement ».

Devant Louis-le-Grand, 150 à 200 personnes étaient rassemblées, avec des pancartes « Macron démission » ou « La retraite avant l’arthrite », scandant « Paris, Paris soulève-toi », selon une journaliste de l’AFP.  Le syndicat étudiant L’Alternative comptabilisait quelque 80 écoles et universités mobilisées en France, dont une soixantaine bloqués au moins partiellement ou occupés.

13h23: Philippe Martinez, le secrétaire général de la CGT, accuse Emmanuel Macron d'avoir "jeté un bidon d'essence sur le feu"

12h48: A Lyon, des affrontements se sont produits entre les manifestants en tête du cortège et les policiers, comme le rapporte Lyon Mag. Une banque a été dégradée, précisent nos confrères.

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12h45: Tensions en ce moment à Rennes entre des manifestants et les forces de l'ordre qui font usage de gaz lacrymogène

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11h59: Des manifestants envahissent les voies de la gare de Lyon à Paris - Le trafic est perturbé

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11h46: La neuvième journée d’action contre la réforme des retraites se traduit par un taux d’enseignants grévistes de 21,41%, dont 23,22% dans le primaire et 19,61% dans le secondaire (collèges et lycées), selon les chiffres du ministère de l’Education.

Ces taux sont en-deçà de ceux annoncés par les syndicats: le Snuipp-FSU, première organisation dans les écoles maternelles et élémentaires, évalue qu’entre 40 et 50% des professeurs du primaire sont en grève et le Snes-FSU, premier syndicat du secondaire (collèges et lycées), a donné jeudi un taux de 50% de grévistes chez les professeurs et autres personnels de l’éducation.

Le taux de grévistes le plus élevé chez les enseignants date du 19 janvier, lors de la première journée d’action, avec 42,35% dans le primaire et 34,66% dans le secondaire, selon les chiffres du ministère. Ce 19 janvier, les syndicats avaient eux recensé jusqu’à 70% d’enseignants grévistes dans le primaire et 65% dans les collèges et lycées.

Pour le Snes-FSU, « la très grande colère de la profession a été nourrie par l’utilisation du 49.3 et les dernières déclarations du président de la République: jouant la carte de la provocation et du déni de réalité, Emmanuel Macron souffle sur les braises de la crise sociale et démocratique ».

Le syndicat assure qu’il « soutiendra toutes les actions de reconduction ». « L’expérience a montré qu’il était possible de gagner face à un texte passé en force par un gouvernement qui foule au pied la démocratie sociale, à l’image du CPE en 2006 », ajoute-t-il dans un communiqué.

Jeudi matin, des dizaines de lycées et établissements universitaires ont été le théâtre d’actions de protestation, avec des blocages totaux ou partiels, des rassemblements ou encore des manifestations contre la réforme des retraites dans toute la France, à l’appel de différentes organisations de jeunesse.

11h30: Les premières manifestations se déroulent ce matin en France, comme à Marseille ou encore à Reims

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11h24: La Direction générale de l’Aviation civile demande aux compagnies d’annuler à nouveau 30% de leurs vols à Paris-Orly vendredi et 20% dans d’autres aéroports en raison de la grève de contrôleurs aériens contre la réforme des retraites, a annoncé jeudi cette administration.

Les aéroports concernés en région par la suppression d’un vol sur cinq seront Marseille-Provence, Bordeaux-Mérignac et Lyon-Saint-Exupéry, et ce aussi bien vendredi que samedi, a précisé la DGAC dans un communiqué. A Orly, la situation s’améliorera samedi pour les voyageurs avec 15% des vols annulés, selon la même source.

« En dépit de ces mesures préventives, des perturbations et des retards sont néanmoins à prévoir », a mis en garde la DGAC, invitant « les passagers qui le peuvent à reporter leur voyage et à s’informer auprès de leur compagnie aérienne pour connaître l’état de leur vol ».

Ces demandes de l’administration semblent traduire une poursuite au même niveau de la mobilisation des contrôleurs aériens contre la réforme des retraites, dans la foulée du recours du gouvernement au 49.3 pour la faire adopter.

Pour jeudi, la DGAC avait déjà demandé aux compagnies de renoncer à 30% de leur programme de vols à Orly et dans trois autres aéroports français, déjà Marseille et Lyon, mais aussi Toulouse-Blagnac. Bordeaux n’était pas concerné, ni le plus grand aéroport français, Paris-Charles-de-Gaulle.

L’accès en voiture au Terminal 1 de cet aéroport a en revanche été bloqué jeudi matin par des manifestants, selon son gestionnaire, le Groupe ADP, sans conséquence sur les départs des avions. Les perturbations semblent relativement limitées jeudi matin dans le transport aérien, au-delà des annulations demandées par la DGAC.

10h30: Le point sur ce que l'on sait ce matin

Une intervention qui n'a rien apaisé: les syndicats organisent jeudi une neuvième journée de grèves et de manifestations contre la réforme des retraites, convaincus que "l'entêtement" du président de la République va renforcer la détermination des opposants.

Cette journée est la première organisée au niveau national après l'adoption de la loi via l'arme constitutionnelle du 49.3, le 15 mars. La RATP et la SNCF ont annoncé un trafic fortement perturbé: le syndicat FO-RATP, premier chez les conducteurs de métro, a appelé, après l'activation du 49.3, à faire de jeudi "une journée noire" dans les transports.

A la SNCF, seule la moitié des TGV Inoui et Ouigo et le tiers des TER roulent. A la gare RER de Nanterre préfecture, Bébélle Iyaba, 38 ans, explique jeudi matin qu'elle prend toujours un train très tôt, en raison de ses horaires de travail --elle est femme de ménage. Elle ne va pas manifester car elle "travaille très tôt". "Et quand je rentre, je suis trop fatiguée, mais je comprends les grévistes, je ne suis pas du tout énervée contre eux. 64 ans, c'est très tard", dit-elle à l'AFP. Paul Kantola, menuisier, levé à 5H00, "pour être prévoyant", se dit "en accord avec les grévistes".

"Aujourd’hui, ils veulent repousser à 64 ans, mais après ils vont faire quoi? Repousser à 65, 66, 67 ans ? J’ai 57 ans et ça fait peur de vieillir dans ces conditions, déjà que la retraite, quand on l’a, ce n’est pas assez pour vivre", ajoute-t-il, à la même station de RER. La veille, des déambulations spontanées de quelques centaines de personnes se sont déroulées dans plusieurs villes, comme tous les soirs depuis bientôt une semaine, mais les incidents ont été limités.

09h33: Des militants de la CGT ont envahi ce matin l'aéroport Charles-de-Gaulle. Des bouchons se sont formés à proximité, des voyageurs obligés de rejoindre leur terminal à pied.

 

07h48: A Marseille, la gare Saint-Charles a été occupée ce matin et le trafic des bus interrompu en sortie de gare routière. La centaine de manifestants présents a investi la gare avant de très brièvement occuper les voies sans toutefois interrompre ou perturber le trafic selon la Provence, puis ils sont repartis en cortège pour une destination inconnue.

07h18: Le dépôt de bus de la ville de Pantin, en Seine-Saint-Denis, est bloqué par plusieurs dizaines de manifestants. Parmi eux, plusieurs dizaines de délégués syndicaux de la CGT qui tentent également d'investir la route voisine.

07h03: Un dispositif de sécurité record a été mis en place pour cette nouvelle journée de mobilisation. 12.000 policiers et gendarmes seront sur le terrain aujourd'hui dans toute la France, dont 5.000 à Paris. Ce sera la plus forte mobilisation de forces de l'ordre depuis le début des manifestations contre la réforme des retraite, a indiqué Gérald Darmanin.

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06h28: La SNCF ne sera en mesure de faire rouler que la moitié de ses TGV Inoui et Ouigo et le tiers de ses TER ce jeudi. Le réseau de RER et de métro sera lui aussi perturbé. Pour ce dernier, seules les lignes automatisées (1 et 14) circuleront normalement, et la 4 (partiellement automatisée) presque normalement, tandis que les autres rouleront à des horaires variables pendant la journée, avec des fréquences comprises entre 1 train sur 2 ou 3

.06h01: La Direction générale de l'Aviation civile (DGAC) a demandé aux compagnies aériennes d'annuler 30% de leurs vols ce jeudi à Paris-Orly et 20% dans d'autres aéroports en raison de la grève de contrôleurs aériens contre la réforme des retraites. Un vol sur cinq au départ ou à l'arrivé est annulé à Marseille-Provence, Toulouse-Blagnac et Lyon-Saint-Exupéry. 

05h06: Les syndicats appellent aujourd'hui  à une neuvième journée de grèves et de manifestations contre la réforme des retraites, convaincus que "l'entêtement" du président de la République va renforcer la détermination des opposants. Cette journée est la première organisée au niveau national après l'adoption de la loi via l'arme constitutionnelle du 49.3, le 15 mars.

"Cette manifestation, ce n'est pas un baroud d'honneur, au contraire, c'est la mobilisation qui passe à un degré supérieur après ce qui s'est passé, le 49.3, le passage en force du gouvernement, et jusqu'aux dernières déclaration d'Emmanuel Macron (...) Cette prise de parole, c'est tout sauf de l'apaisement", déclarait la veille à Strasbourg Amaury Cullard, psychologue de 42 ans.

Interviewé sur TF1 et France 2 mercredi, le président de la République n'a pas dévié de son cap, réaffirmant que la réforme est "nécessaire" et égratignant au passage les syndicats, et particulièrement la CFDT, accusés de ne pas avoir su "propose(r) un compromis".

Alors que depuis le déclenchement du 49.3 les manifestations sont quotidiennes à travers le pays, et parfois émaillées de tensions, le chef de l'Etat a dit ne pouvoir accepter "ni les factieux ni les factions" et risqué une comparaison avec les événements du Capitole lors de l'élection de Joe Biden aux Etats-Unis.

Les syndicats ont dénoncé à l'unisson le "mépris" et le "déni" du chef de l'Etat, attendu jeudi en début d'après-midi à Bruxelles pour un conseil européen.

"Cette intervention va attiser la colère", a affirmé sur RTL le secrétaire général de la CGT, Philippe Martinez, qui quittera la semaine prochaine la direction de la Confédération, lors du 53e Congrès de l'organisation.

"La provocation vient de la part du pouvoir", a-t-il dit, dénonçant une comparaison "scandaleuse" avec les émeutes du Capitole et la volonté de l'exécutif de "casser la grève" en envoyant la police sur les piquets de grève.

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Vos réactions

Portrait de Azrael68
24/mars/2023 - 06h17 - depuis l'application mobile

Melanchon aura le sang des grévistes et des policiers sur les mains en appelant au chaos comme il le fait ! Il faut le mettre en tôle cet abruti ! Il y a un an il appelait tous les français à voter pour Macron qui prévoyait cette réforme dans son programme ! Ce type est dangereux pour la France !!

Portrait de Lunesoleil
24/mars/2023 - 02h45

C'est bien de manifester, mais pas une fois par semaine. Il faudrait un mouvement continu autrement à mon avis cela ne va pas servir à grand chose.

Portrait de Jarpy
24/mars/2023 - 00h28
Koikilencoute a écrit :

Il faut un nouveau de Gaulle pour ramener l'ordre : Éric Zemmour ! smiley

Montebourg ou Asselineau ou un autre De Gaulle 

Portrait de Angelussauron
23/mars/2023 - 21h41

C'est trop tard il a perdu il va céder il ne peut pas laisser le pays dans ce chaos. Il n'a pas respecté les Français, il a réveillé ces malades et il en a crée d'autres.

Les manifestants pacifiques comme moi ont perdu aussi car même si il retire sa réforme on sait très bien que les extrêmes vont prendre le pouvoir derrière ça a été trop loin...

Il a été irresponsable et on le paye tous... Quand tu ne respecte pas 80% des français tu ne peux pas gouverner...

On en parle pas mais à Orléans plus de 20 000 personnes ont manifesté pacifiquement, les médias s'en foutent et ils ont une part de responsabilité aussi.

 

Portrait de Romynette12
23/mars/2023 - 21h12

Qui sème le mépris récolte le chaos... 

Portrait de SnakePlissken
23/mars/2023 - 20h28

Il va falloir aller le chercher le poudré et lui faire une khadafi 

Portrait de Koikilencoute
23/mars/2023 - 20h28

Il faut un nouveau de Gaulle pour ramener l'ordre : Éric Zemmour ! smiley

Portrait de Lunesoleil
23/mars/2023 - 20h07

Macron va attendre tranquillement que tout cela se calme au bout de quelques semaines comme pour les gilets jaunes. 

Portrait de seb2746
23/mars/2023 - 18h54
NOWHERE MAN a écrit :

Je ne suis pas certain que nous regardons le même film. Moi je vois surtout des flics qui prennent des pavés et cocktails Molotov sur la gueule. Tant qu'on n'aura pas collé quelques années de prison ferme a ces  criminels, ça continuera. Tout cela devient totalement incontrôlable. Je ne vois aucune raison pour que ça s’arrête. La bateau France est devenu un bateau ivre.

Et vous ne voyez pas les milliers de vidéos d'agressions sur les civils par les "crs", les centaines de blessés qui étaient là pacifiquement, les arrestations arbitraires, les faux et usages de faux lors des déclarations... (et là on parle pas des GJ, là on parle de maintenant car rien n'a changé).

Portrait de Iwillsurvive
23/mars/2023 - 17h31

La bonne chose, c'est qu'on ne parle plus des doigts d'honneur du gardes des sceaux

Portrait de seb2746
23/mars/2023 - 17h16
Palmade au mitard a écrit :

"Pas une voix du monde du travail pour l'extrême droite"

Philippe Martinez

Tu ne connais aucun ouvrier.

MLP proposait la retraite à 60 ans.

Tu as voté Macron.

Pleure.

Vouloir un parti xenophobe/homophobe avec des anciens SS (à sa création et d'autres encore fanatique toujours bien là) au pouvoir, avec les mêmes soutient bancaire que macron (non, rien là ? aucune réaction sur ce "point de détail de l'histoire" ?), quelle bonne idée.

émile louis à l'enfance avec polanski aussi, pkoi pas vu les idées lumineuses.

Ce fut un vote "contre" comme avec Jean-Marie.

Et de plus, elle n'avait AUCUNE solution financière pour avoir les fameux "60 ans" à proposer donc ça ne reste qu'un discours de campagne comme un autre.

Portrait de Cfoutoutca
23/mars/2023 - 16h57

Dites Merci à votre president !

Portrait de Caro3ine
23/mars/2023 - 16h21

Certains se demandaient que voulait dire le Président quand il parlait de "factions et de factieux",  ça doit être plus clair maintenant ils ont leur réponses.

Les extrêmes dans la rue et leurs coktails molotov.

Portrait de seb2746
23/mars/2023 - 16h10

De la violence, "enfin" pour certains après n'avoir plus rien à perdre smiley

A vouloir massacrer son propre peuple, à force il y aura rébellion au même niveau de violence que "certains" policiers.

Et ce n'est QUE le début, les milliers de travailleurs qui perdent tout du jour au lendemain sans RIEN pour les soutenir et surtout à cause de ce gouvernement, ils ne peuvent plus rester silencieux.

Comment ne pas rester insensible face au matraquage des civils pacifistes, des arrestations arbitraires, des tirs sur des civils à bout portant alors que c'est totalement illégal et d'un autre coté, RIEN contre les black bloc, peu d'arrestations, peu de violence contre eux... à croire qu'il faut surtout pas violenter des gens qui peuvent RÉPONDRE sans hésitation (certainement + simple contre des pacifistes, c'est logique)

Portrait de Iwillsurvive
23/mars/2023 - 14h52

Le ministre condamne la chose... allez au suivant !

Portrait de djelloul
23/mars/2023 - 13h37

par chez moi, plus d essence .....les gens ont fait le plein et........... des reserves ....J ai vu une dame pleurer car pas d essence pour aller au boulot..........ce monde est trop dur

Portrait de djelloul
23/mars/2023 - 13h35

les manifestants s en prennent aux crs ....gm....et tout le reste...Bin voyons faut bien qu ils se defoulent un peu......le probleme  c est qu en bloquant les raffineries  les pompes en bloquant les ronds points ....bin .c est pas les bonnes personnes qu ils touchent.....comme d hab.....

Portrait de PhilRAI
23/mars/2023 - 10h30

La CGT commence sérieusement à nous les gonfler . Ils ont appelé à voter Macron, insulté Marine Le Pen alors qu'elle proposait un programme bien mieux adapté à leurs revendication, et maintenant ils aident Macron à détruire notre pays.

Portrait de djelloul
23/mars/2023 - 10h24

C est pas bien grave.............Nagui arrive en tete avec son emission ,la guerre en Ukraine , c est du passé et le covid , on  en parle plus...........J oubliais / K M est capitaine de l Edf   

Portrait de Electro
23/mars/2023 - 08h21

Qui sème le vent....