20/03/2023 21:28

La réforme des retraites est adoptée - Incidents à Paris et dans plusieurs villes de France après le rejet des motions de censure - Découvrez la liste intégrale des députés qui n'ont pas voté la motion contre Borne

21h26: Nouvelle manifestation sauvage cette fois près du Louvre à Paris

21h22: Violents incidents également à Brest ce soir comme le montrent ces images

 

21h21: Vers 20 heures, à Belfort, les forces de l'ordre mobilisées en nombre ont fait usage de gaz lacrymogène face à des jets de projectiles. Quelques dizaines de manifestants bien groupés et masqués ou casqués étaient déployés entre Jean Jaurès et la place de Belfort.

21h11: Les incidents se poursuivent dans la capitale avec des dégâts et des incendies parfois spectaculaires allumées dans certaines rues

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20h25: Découvrez la liste des députés qui n'ont pas voté la motion de censure

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20h20: Emmanuel Macron recevra demain matin la Première ministre et les chefs de la majorité

20h07: Manifestations et incidents ce soir dans plusieurs villes de France 

 

 

 

 

 

19h44: De plus en plus de monde à Paris réclamer la démission du gouvernement et du Président de la République

 

19h43 : La réforme des retraites est adoptée ce soir après le rejet des deux motions de censure

19h42 : La motion de censure du RN est rejetée à son tour et ne recueille que 94 voix

19h38: Incidents en cours à Paris après le rejet de la motion de censure

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19h17 : Marine Le Pen estime à son tour désormais que Marine Le Pen doit partir

 

18h58: Il n’aura manqué que 9 voix pour faire tomber le gouvernement et sa réforme", a annoncé Mathilde Panot : "Le gouvernement est déjà mort. La Première ministre doit évidemment démissionner en emportant sa réforme avec elle", a ajouté la présidente du groupe LFI.

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18h48: La motion de censure du Groupe  LIOT est rejetée faute de majorité avec 278 voix sur les 287 nécessaires. Il ne manque que 9 voix.

 

18h00: La Première Ministre  prend la parole : "Des chants, des hurlements, des invectives, des pupitres qui claquent : voilà le spectacle auquel se sont livrés jeudi dernier certains députés . Ce n'était pas un fait isolé mais le paroxysme de semaines entières où l'on a vu l'anti-parlementarisme sous toutes ses facettes. Interventions après interventions, j'ai constaté qu'il n'y a décidément pas de limites à la duplicité. Ce sont les mêmes qui ont tout fait pour limiter le débat qui viennent nous reprocher d'avoir limité le débat. Ces comportements sont graves. La haine et la brutalité ne devraient pas avoir leur place dans le débat parlementaire.

De nouveaux textes seront débattus au gouvernement dans les semaines qui viennent, il n'est jamais trop tard pour sortir des postures. Nous ne sommes jamais allés aussi loin dans la construction d'un compromis avec cette réforme.

17h58: Les députés Insoumis quittent l'hémicycle au moment où la Première Ministre Elisabeth Borne prend la parole

 

17h48: Adrien Quatennens, député non-inscrit, s'exprime à son tour. "C'est le 11e 49.3, soit un 49.3 tous les 28 jours en moyenne depuis le début de votre quinquennat. (...) C'est en fait une crise de régime."

16h55: Mathilde Panot cheffe de file des députés LFI : "Jamais un président n'a voulu gouverner avec autant d'aplomb, par la colère et le dégoût. Deux Français sur trois veulent que cette motion de censure aboutisse pour faire chuter le gouvernement et votre réforme. Oui, jeudi était le premier jour de la fin du quinquennat d'Emmanuel Macron.

Vous n'avez aucune légitimité à faire cette réforme et vous le savez. Depuis des semaines, des millions de personnes défilent dans leur pays, pas pour leur plaisir parce qu'elles y laissent des plumes, mais pour leur dignité. Ils prennent leur existence et celle des autres au sérieux. Ils tiennent à leur vie parce qu'ils n'en ont pas d'autres."

16h41: Aurore Bergé cheffe de file des députés Renaissance : "La question transpartisane elle se pose au moment du vote. Savoir avec qui ou non, on est prêts à lier son vote. Savoir avec qui on est prêts ou non à voter de part et d'autre de cet hémicycle.. Vous direz aux Français quel est prétendument la majorité alternative ? Vous direz aux Français quel est prétendument le gouvernement alternatif ? Avec Charles de Couson Premier ministre, avec Marine Le Pen à Bercy, avec Mathilde Panot en ministre de l'Intérieur et avec, à n'en pas douter, Aurélien Pradié en ministre des Relations avec le Parlement."

 

16h22 : Laure Lavalette députée RN : "Vous nous avez dit jeudi dernier, Mme Borne, en annonçant votre 11e 49.3 sur cette réforme des retraites. Ce compromis n'est pas le projet du gouvernement, c'est le texte du parlement'. Mais quel culot, quel culot, Mme la Première ministre !

Alors chiche monsieur Macron, allons à la dissolution et demain nous reviendrons plus nombreux encore pour donner un groupe plus puissant, voire majoritaire à Marine Le Pen, a harangué la députée. Car plus que jamais, je suis convaincue que nous sommes la véritable alternance ; convaincue qu’après vous, ce sera à nous."

16h10: Charles de Courson député Liot qui présente une motion de censure prend la parole : "Mme la Première ministre : Vous avez échoué à rassembler, vous avez échoué à convaincre, alors vous avez cédé à la facilité et évité la sanction du vote. Contrairement à ce que dit le président de la République, les Français ne l'ont pas élu pour repousser à 64 ou 65 ans l'âge légal de départ à la retraite, beaucoup d'entre nous ont voté pour lui par défaut. Vous avez très clairement détourné l'esprit de la Constitution", a avancé Charles de Courson, en s'adressant à Élisabeth Borne, l'accusant de "déni de la démocratie" "

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15h58: La Première Ministre Elisabeth Borne est arrivée à l'Assemble Nationale où elle va prendre la parole

15h49: La députée LFI Clémence Guetté a partagé sur son compte Twitter une photo de gilles anti-émeutes à l'entrée de la rue de l'Université qui mène à l'Assemblée nationale. "L'Assemblée barricadée, à quelques instants du vote de la motion de censure transpartisane. Entre la macronie et les gens, il y a les CRS", juge l'élue du Val-de-Marne.

 

14h26: De nombreuses stations-service étaient affectées aujourd'hui dans le sud-est de la France par des pénuries de carburants, sur fond de grèves des expéditions dans les raffineries contre la réforme des retraites, alors que la situation semblait globalement stable dans le reste du pays, selon des données publiques analysées par l'AFP.

Lundi, à 10H30, environ 8% des stations-service de France étaient à court d'essence ou de gazole, mais plusieurs départements connaissaient une situation beaucoup plus préoccupante, imputée par un syndicat professionnel à un effet de "panique", lié aux déclarations de leaders syndicaux appelant à faire le plein.

Dans les Bouches-du-Rhône, 50% des stations-service étaient affectées, des pourcentages à deux chiffres qu'on retrouvait dans les départements voisins du Gard (40,9%), du Vaucluse (33,33%), du Var (23,24%) et des Alpes-de-Haute-Provence (22,22%). Autre foyer d'"emballement" des pénuries, la Loire-Atlantique (29,05% des stations touchées), où la raffinerie de Donges, à l'arrêt pour des problèmes techniques, a cessé ses expéditions de carburants depuis de nombreux jours.

12h20: Le point sur ce que l'on sait à la mi-journée

L'Assemblée nationale va examiner cet après-midi deux motions de censure contre le gouvernement d'Élisabeth Borne qui ont peu de chances d'être votées, ouvrant la voie à l'adoption définitive de la réforme des retraites malgré la colère dans le pays qui ne faiblit pas.

Le déclenchement jeudi de l'arme constitutionnelle du 49.3 par la Première ministre pour faire passer sans vote la réforme n'a fait qu'attiser la contestation, qui dépasse souvent le sujet du recul de l'âge de la retraite de 62 à 64 ans. Dans une manifestation à Lille dimanche, David Duthoit, agriculteur de 54 ans, disait son "écœurement", avec "le 49.3, les parlementaires qui ne répercutent pas la parole du peuple".

Depuis jeudi, des rassemblements organisés ou spontanés se déroulent sur tout le territoire, dans le calme ou avec des débordements. Lundi matin, plusieurs manifestations provoquaient de grandes perturbations du trafic à Rennes. Des arrêts de travail de surveillants sont également redoutés dans les lycées, pour la première journée des épreuves de spécialité du bac 2023.

En cas de retard dû à une grève des transports, un aménagement du temps d'épreuve sera possible. En attendant une nouvelle journée d'actions jeudi à l'appel de l'ensemble des syndicats, la grève s'est durcie dans les raffineries et les éboueurs poursuivent leur mouvement à Paris, Rennes ou Nantes.

Environ 20% des vols seront annulés mardi et mercredi à Paris-Orly et Marseille-Provence, a annoncé la Direction générale de l'aviation civile. Face à cette situation, Emmanuel Macron a demandé dimanche que la réforme "puisse aller au bout de son cheminement démocratique dans le respect de tous". Le président a rappelé les "mois de concertations politique et sociale" et les "plus de 170 heures de débat qui ont abouti sur le vote d'un texte de compromis" entre sénateurs et députés en commission mixte.

11h32: Deux motions de censure seront présentées aux députés: une transpartisane du groupe Liot et une autre du RN. Cosignée par des députés de la Nupes, la motion Liot (Libertés, Indépendants Outre-mer et Territoires) a davantage de chances d'être votée par des élus de droite défavorables à la réforme des retraites. Mais la barre de la majorité absolue de 287 voix paraît difficile à atteindre.

Il faudrait qu'une trentaine de LR, soit la moitié du groupe d'Olivier Marleix, joignent leurs suffrages à ceux de la gauche, du RN et de Liot. Or le parti de droite a soutenu la réforme et ne veut pas "rajouter du chaos au chaos" en faisant tomber le gouvernement.

Une poignée de députés LR pourraient néanmoins voter la censure. Farouchement opposé à la réforme, Aurélien Pradié a annoncé lundi qu'il voterait le texte Liot pour provoquer "un électrochoc" au gouvernement. Selon lui, "une quinzaine" de députés de son groupe le suivront.

Réclamant "un peu de courage" aux députés de droite, Marine Le Pen leur a promis lundi qu'ils n'auraient pas de candidat du RN face à eux en cas de législatives à la suite d'une dissolution.

"Cette réforme est nécessaire", avait martelé jeudi à la tribune Élisabeth Borne, en déclenchant sous les huées son 11e 49.3. Elle est "la pierre d'angle de la transformation économique de la France", a complété lundi le ministre de l'Économie Bruno Le Maire.

10h51: Des perturbations en raison de manifestations ont eu lieu ailleurs en Bretagne, comme dans le Morbihan sur la RN 165, important axe de communication qui relie Brest à Nantes. « Une centaine de manifestants sont présents dans le secteur de Lorient », a précisé la préfecture du Morbihan à l’AFP.

10h29: Le régime des retraites sera à l'équilibre en 2030 grâce à la lutte contre la fraude et à des transferts entre branches de la sécurité sociale, a affirmé le ministre de l'Economie Bruno Le Maire. Malgré sept milliards d'euros de "mesures d'accompagnement social", "je garantis qu'en 2030, le régime des retraites sera à l'équilibre financier", a assuré sur RMC/BFM TV le ministre.

"Le financement sera garanti pour qu'en 2030 il y ait l'équilibre financier, soit par la lutte contre les fraudes soit par le transfert de la branche des accidents du travail vers la branche vieillesse", a détaillé Bruno Le Maire, qui s'est exprimé quelques heures avant la mise au vote de deux motions de censure à l'Assemblée nationale, le gouvernement ayant choisi de ne pas soumettre la réforme au vote des députés.

Le budget de sept milliards alloués aux mesures d'accompagnement est "généreux" et "nécessaire", a insisté Bruno Le Maire. "Nous ne baisserons pas les pensions de retraites, et nous n'augmenterons pas les cotisations, donc les impôts des Français", a-t-il promis.

Pour le ministre, la réforme des retraites, annoncée par Emmanuel Macron mais très impopulaire auprès des Français et vivement contestée dans la rue et par l'ensemble des syndicats, est "la pierre d'angle de la transformation économique de la France". "C'est une réforme qui est à mon sens vitale", a encore déclaré Bruno Le Maire.

10h18: La Direction générale de l'aviation civile (DGAC) a demandé aux compagnies aériennes d'annuler mardi et mercredi 20% de leurs vols à Paris-Orly et à Marseille-Provence, en raison du mouvement de grève des contrôleurs aériens contre la réforme des retraites.

"En dépit de ces mesures préventives, des perturbations et des retards sont néanmoins à prévoir", souligne l'autorité de l'aviation civile lundi dans un communiqué, invitant "les passagers qui le peuvent à reporter leur voyage et à s'informer auprès de leur compagnie aérienne pour connaître l'état de leur vol"

09h41: Le point sur ce que l'on sait ce matin

A quitte ou double: les deux motions de censure contre le gouvernement d'Élisabeth Borne vont être mises au vote lundi de l'Assemblée nationale et la réforme des retraites pourrait être adoptée définitivement, malgré la colère dans le pays qui ne faiblit pas. Le déclenchement jeudi de l'arme constitutionnelle du 49.3 par la Première ministre pour faire passer sans vote la réforme n'a fait que redoubler la contestation, qui dépasse souvent le sujet du recul de l'âge de la retraite de 62 à 64 ans.

Depuis jeudi, des rassemblements organisés ou spontanés se déroulent sur tout le territoire, dans le calme ou avec des débordements. Face à cette situation, Emmanuel Macron souhaite que la réforme "puisse aller au bout de son cheminement démocratique dans le respect de tous", a indiqué dimanche l'Élysée à l'AFP. Le président a rappelé les "mois de concertations politique et sociale" et les "plus de 170 heures de débat qui ont abouti sur le vote d'un texte de compromis" entre sénateurs et députés en commission mixte.

Le numéro un de la CGT Philippe Martinez estime lui que "c'est de la responsabilité" d'Emmanuel Macron "si la colère est à ces niveaux-là". Deux tiers des Français (68%) assurent ressentir de la colère devant l'utilisation du 49.3 par le gouvernement pour faire adopter la réforme sans vote à l'Assemblée, selon un sondage Elabe pour BFMTV publié lundi. Ils sont autant à espérer que le gouvernement soit censuré lundi par l'adoption d'une des deux motions présentées à partir de 16H00.

08h40: Pierre-Henri Dumont, député LR du Pas-de-Calais annonce à son tour sur CNews qu'il va voter la motion de censure

08h31: Sur France info, Emmanuel Lépine, le secrétaire général de la Fédération nationale des industries chimiques de la CGT (FNIC-CGT), prévient que la pénurie de carburant va s'intensifier, alors que des stations-service sont déjà à sec, notamment dans les Bouches-du-Rhône, où les automobilistes font la queue sur plusieurs kilomètres pour tenter de faire le plein.

08h27: La rocade Nord de Rennes est bloquée dans les deux sens, annonce sur Twitter une journaliste de France 3 Bretagne. Plus tôt dans la matinée, les CRS ont tenté de disperser des manifestants qui bloquaient l'accès à la capitale bretonne, dans le cadre de la mobilisation contre la réforme des retraites. Une nouvelle intervention est en cours.

08h20: Le député Aurélien Pradié, des Républicains, annonce sur Europe 1, qu'il votera la motion de censure

 

08h13: Invitée ce matin sur RTL, Marine Le Pen s'exprime sur une éventuelle dissolution de l'Assemblée nationale et affirme qu'elle refuserait d'aller à Matignon : "J'ai dit que je n'irai pas à Matignon, mais nous avons un nombre de profil pour être Premier ministre et pour pouvoir porter la volonté des Français".

07h36: Yaël Braun-Pivet, présidente de l'Assemblée nationale, se dit "préoccupée" par la multiplication des violences contre les élus, alors que de nombreuses permanences ont été visées par des dégradations ces derniers jours, et que plusieurs parlementaires ont fait l'objet de menaces.

07h03: Une motion de censure transpartisane, portée par le groupe de députés Liberté, indépendants, outre-mer et territoires (LIOT), a été déposée, vendredi, et sera mise au vote aujourd'hui à 15h. Dans ce type de vote, soit les députés votent pour, soit ils ne votent pas : si le « pour » dépasse les 287 – la moitié de l’effectif des députés – alors la première ministre devra démissionner.

A l’Assemblée nationale, le groupe Renaissance et ses alliés disposent d’une majorité relative des sièges. Si les oppositions votaient la motion, elles pourraient donc renverser le gouvernement. Ce qui ne fut pas le cas lors des précédentes motions de censure, issues de La France insoumise, la Nupes dans son ensemble ou le Rassemblement national.

06h38: Les déclarations d'Emmanuel Macron, hier soir à l'AFP avant cette journée capitale : "Après des mois de concertations politique et sociale et plus de 170 heures de débat qui ont abouti sur le vote d'un texte de compromis entre le Sénat et l'Assemblée nationale, le président de la République a exprimé aux deux présidents (du Sénat et de l'Assemblée, ndlr) son souhait que le texte sur les retraites puisse aller au bout de son cheminement démocratique dans le respect de tous ».

Le président de la République a appelé le président du Sénat Gérard Larcher et la présidente de l'Assemblée nationale Yaël Braun-Pivet pour « réaffirmer son soutien au Parlement et à l'ensemble de ses parlementaires tout comme la mobilisation du gouvernement pour que tout soit mis en œuvre pour les protéger », indique l'Elysée.

06h11: Plusieurs manifestations sauvages ont eu lieu soir dans de nombreuses villes de France. Manifestation sauvages hier soir  à Lyon

 

Manifestation sauvage dans les rues de Lille - La BAC est sur place pour contrôler le cortège qui circule dans le centre-ville.

 

Incidents à Marseille, dans le quartier de la Plaine. La police est intervenue avec des lacrymos

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Vos réactions

Portrait de bruno.13
21/mars/2023 - 19h08

Il aurait été simple à lire de lister les députés qui ont voté la motion de censure mais cela n'aurait sans douté pas été assez en accord avec le climat de violence qui a régné à l'Assemblée Nationale dont vous vous êtes délectés En tout cas, bravo à ces députés qui ont combattu la pensée gaucho-facho NUPES/RN. Comme quoi, l'alliance de la carpe et du lapin ça existe!. Mais la loi a été votée et pan dans vos gueules

Portrait de KERCLAUDE
21/mars/2023 - 07h36

MACRON a été élu par une bonne partie des personnes qui manifestent dans la rue  actuellement alors que dans la campagne il avait bien envisagé  la retraite à 64 ans dans son programme....

Portrait de Azrael68
21/mars/2023 - 06h25 - depuis l'application mobile

Quand je pense que la plupart des gens qui manifestent en ce moment dans la rue ont voté pour Macron ! Et maintenant vous venez pleurer ! Il ´l’avait annoncé la réforme des retraites ! Macron a été élu démocratiquement, j’en est pas voulu mais c’est comme ça , je ferme ma gueule . Maintenant cette réforme a été voté démocratiquement, et bien il faut maintenant l’accepter aussi. Il fallait voter correctement l’année dernière et pas venir pleurer maintenant ! Toute cette merde est à cause des personnes qui on voté Macron ! Assumez vos actes ! La prochaine fois vous voterez peut-être enfin intelligemment ! … mais comme les français n’ont pas de mémoire…!

Portrait de HWEBER
20/mars/2023 - 23h39
Palmade au trou a écrit :

Nous cotisons pour eux, demeuré.

Bien sur qu'on cotise pour eux. Et c'est bien pour ça que, la reforme ils s'en tapent, abruti.

Portrait de Amandecroquante
20/mars/2023 - 20h11

quand est-ce qu’on divise la France en état indépendant, qu´on puisse voir ce qui fonctionne le mieux sur le long terme…

Portrait de Azrael68
20/mars/2023 - 19h12 - depuis l'application mobile

Bon alors ça y est ? Elle est votée cette réforme on peut retourner au boulot maintenant et passer à autre chose ? Allez ! Zou ! Tout le monde au boulot !

Portrait de iceman
20/mars/2023 - 18h55
Nowo a écrit :

Je n'aime pas du tout LFI, mais il faut bien avouer qu'avec un 49.3 le débat n'existe plus, c'est donc inutile de rester pour écouter Mme Bornes faire son petit discours. 

La même avec le prochain discours de Macron qui viendra faire sa petite pédagogie pour satisfaire son ego démesuré.

C'est pourtant le respect élémentaire de rester, ce qui est d'autant plus détestable de la part de représentants du peuple...

Portrait de HWEBER
20/mars/2023 - 18h07
Palmade au trou a écrit :

Personne ne veut de cette réforme à part les boomers.

Il me semble que la plupart d'entre eux sont déjà a la retraite. Alors la réforme, ils s'en moquent.

Portrait de Cfoutoutca
20/mars/2023 - 12h23
Palmade au trou a écrit :

Aucune chance mais les journalistes adorent faire un festin avec des miettes.

Tant mieux, ça va amplifier encore un peu plus la colère du peuple.

Plusieurs députés LR auraient mentis à Ciotti qui joue sa survie aussi... lol

Portrait de Cfoutoutca
20/mars/2023 - 12h17

La notion a une chance de passer il manquerait seulement quelques voix LR.