Le tribunal correctionnel de Reims a condamné mardi le PDG du journal
L'Union Jacques Tillier à 6.000 euros d'amende et deux journalistes de la
publication à 3.000 euros chacun pour "diffamation" de la police judiciaire
de Reims qui avait été accusée d'extorquer des aveux.
"Irrité et choqué"
par cette décision, l'avocat du journal L'Union Gérard Chemla a
immédiatement interjeté appel, affirmant qu'il irait "jusqu'au bout de la
procédure".
Au cours de l'audience du 23 septembre, le quotidien de
Champagne-Ardenne avait dénoncé les méthodes des policiers du SRPJ de Reims,
accusés d'avoir extorqué des aveux et commis des faux, "fortement
influencés" par l'ancien procureur de Charleville-Mézières Francis Nachbar à
propos d'une affaire supposée de secte.
En 2004, deux femmes et un
homme appartenant à la Direction des interventions sociales ardennaises
(Disa) avaient été soupçonnés d'avoir eu des actions coercitives sur des
mineurs dans le cadre d'une secte et l'une d'elles avait été incarcérée
pendant trois mois.
L'affaire s'était terminée par un non-lieu et le
parquet n'avait pas fait appel.
Euh... alors ça fait un moment que L'Union fait des petits scandales dans la région, alors qu'auparavant, rien... changement de rédaction ? Je ne sais pas, mais quand on voit certaines méthodes, ça commence à chauffer...
Entres les accusations sans preuve que se permettent les journalistes sur des accidents mortels, et les écrits basés sur des interviews qui n'existent pas (!), mais venant simplement d'une délibération municipale, faudrait voir à au moins informer les personnes qu'on cite et leur demander autorisation (re !)... je sais bien qu'une délibération est "publique", mais quand même, quand il n'y a pas eu d'interview, faudrait au moins ne pas faire semblant... ça sent aussi le boulot "à la va-vite", et c'est un peu destabilisant de s'en rendre compte en tant que lecteur de L'Union...
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Euh... alors ça fait un moment que L'Union fait des petits scandales dans la région, alors qu'auparavant, rien... changement de rédaction ? Je ne sais pas, mais quand on voit certaines méthodes, ça commence à chauffer...
Entres les accusations sans preuve que se permettent les journalistes sur des accidents mortels, et les écrits basés sur des interviews qui n'existent pas (!), mais venant simplement d'une délibération municipale, faudrait voir à au moins informer les personnes qu'on cite et leur demander autorisation (re !)... je sais bien qu'une délibération est "publique", mais quand même, quand il n'y a pas eu d'interview, faudrait au moins ne pas faire semblant... ça sent aussi le boulot "à la va-vite", et c'est un peu destabilisant de s'en rendre compte en tant que lecteur de L'Union...
Inepte la police française est totalement incapable de tels actes !!
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