03/12/2020 19:19

Coronavirus - Pour les réveillons, 6 adultes maximum (Recommandation) - Vaccination gratuite pour tous en France - Nous ne savons pas si le vaccin empêche de transmettre le virus - Les lieux de culte rouvrent demain

19h15: Jean Castex: "Sur les domaines skiables les discussions se poursuivent avec un nouveau rendez-vous le 11 décembre, mais pas position n'a pas évoluée. Nous travaillons aux indemnisations pour l'instant. Il s'agit d'éviter la propagation du virus avec des mesures préventives."

19h10: Olivier Véran, Ministre de la santé : "Nous ne savons pas si se faire vacciner empêche de transmettre le virus. Nous le saurons dans quelques semaines avec les études qui se poursuivent. Nous savons que cela empêche d'être gravement malade mais pas si ils empêchent de transmettre. Nous savons simplement que ces projets de vaccins permettent d'éviter les formes graves de la maladie."

19h05: Alain Fischer nommé «Monsieur vaccin» du gouvernement. Ce scientifique, dont le nom a été dévoilé par Jean Castex ce jeudi, prend la tête d’un comité chargé de conseiller le gouvernement sur la stratégie de vaccination en France.

19h02: Le vaccin Pfizer/BioNTech arrivera en premier, déclare Olivier Véran. "Il sera distribué en premier dans les établissements accueillant des personnes âgées tels que les Ehpad. 10.000 établissements devront être livrés. Après la première injection, il faudra attendre 21 jours avant la deuxième. Les patients vaccinés bénéficieront ensuite d'un suivi médical. Nous porterons une attention de chaque instant à ce que vous disposiez du même niveau d'information que nous."

18h02 : Jean Castex prend la parole pour présenter les axes de la stratégie vaccinales adoptée par la France : "La situation reste fragile, le niveau de circulation du virus et le nombre de personnes en réanimation restent ainsi supérieurs à ce qu'ils étaient au mois de mai, lors du déconfinement. Nous ne sommes pas encore venus à bout de ce virus .La France est le pays d'Europe ou la baisse de la pression épidémique a été la plus forte et la plus rapide. Les lieux de culte ouvrent dès demain avec un siège sur 3 et une rangée sur deux. Pour les réveillons, nous vous recommandons de se réunir à 6 adultes maximum plus les enfantsIl nous faudra respecter les gestes barrières et veiller à respecter les plus fragiles à savoir les personnes âgées. 

La France va disposer 200 millions de doses pour vacciner 100 millions de personnes car il va falloir deux doses par personnes. La vaccination sera gratuite pour tous.

Ce sont en priorité les personnes âgées dans les EHPAD qui vont être vaccinées. u fur et à mesure des livraisons, nous élargirons le périmètre, en commençant par les 14 millions de personnes qui présentent un facteur de risque et certains professionnels de santé", poursuit Jean Castex. "C'est la phase 2 de notre stratégie qui devrait commencer en février et s'étendra jusqu'au printemps. A partir du printemps la vaccination sera offerte à l'ensemble de la population.

Je sais et j'entends les réticences de chacun d'entre vous. Mais nous démarrerons rien sans l'avis positif des autorités de santé. Il y aura une transparence totale, la stratégie sera donc présentée par parlement dans le mois. Toute la transparence et la pédagogie soit faites.

Avant le 29 décembre, l'Agence européenne du médicament se prononcera sur les autorisations de mise sur le marché du vaccin contre le coronavirus. Une task force européenne at été mise en place en juin dernier afin d'éviter un effet premier arrivé, premier servi. Les prix sont les mêmes pour tous les pays, au même moment et pour des quantités fixées au prorata de la population des pays européens.

La décision d'autoriser ou non un vaccin ne relève pas directement du gouvernement, mais appartient aux autorités scientifiques indépendantes. Le choix des personnes qui devront être vaccinées en priorité n'incombe pas au gouvernement mais à la Haute Autorité de santé. Il est souhaitable que le médecin généraliste soit au cœur du dispositif, et en particulier le médecin traitant. Chacun doit pouvoir se faire vacciner par un professionnel de santé à côté de chez lui, qu’il connaît, et en qui il a confiance. "

 

 

 

17h53: Le Royaume-Uni, pays le plus durement touché en Europe par la pandémie, a passé jeudi le cap des 60.000 morts, selon le bilan des autorités sanitaires. Le pays a enregistré ce jeudi 414 morts supplémentaires, portant à 60.113 le nombre total de personnes décédées dans les 28 jours suivant un test positif. Le nombre de morts comportant la mention Covid-19 sur le certificat de décès, comprenant donc les cas suspects qui n'auraient pas été confirmés par un test, s'élevait quant à lui à 69.752 au 20 novembre, selon les chiffres du ministère de la Santé.

16h20: Le point sur ce que l'on sait cet après-midi

Les Etats-Unis ont atteint un nouveau triste record, avec plus de 100.000 personnes hospitalisées à cause du Covid-19, mais le front médical connaît des avancées: les campagnes de vaccination, qui se rapprochent partout dans le monde, devraient commencer dès la semaine prochaine au Royaume-Uni et en Russie.

C’est la première fois que le palier de 100.000 hospitalisations est franchi aux Etats-Unis, pays qui paie le plus lourd tribut humain à la pandémie dans le monde, avec plus de 273.000 morts sur un total de presque 1,5 million dans le monde.

Le pays a également enregistré mercredi plus de 2.700 nouveaux décès dus au Covid-19, un niveau quotidien qu’il n’avait plus connu depuis le mois d’avril, selon l’université Johns Hopkins. Il a recensé 195.121 nouvelles infections sur un jour.

La crise du coronavirus fera à partir de jeudi l’objet d’une réunion spéciale à l’ONU, où Emmanuel Macron, Angela Merkel, Boris Johnson et Narendra Modi entre autres s’exprimeront virtuellement. Mais de nombreux dirigeants internationaux, dont Donald Trump, Xi Jinping, Vladimir Poutine et Jair Bolsonaro feront l’impasse sur cet événement.

De l’autre côté de l’Atlantique, le gouvernement britannique est devenu mercredi le premier au monde à approuver l’utilisation massive du vaccin américano-allemand de Pfizer/BioNTech, qui sera disponible la semaine prochaine dans le pays le plus endeuillé d’Europe avec près de 60.000 morts.

Le ministre britannique de la Santé Matt Hancock a affirmé que la célérité de son pays était due au Brexit, car l’UE, que Londres a quittée le 31 janvier dernier, avance «un peu plus lentement».

- 100 millions de vaccins aux Etats-Unis -

Quelques heures après l’annonce britannique, Vladimir Poutine a demandé que les vaccinations «à grande échelle», gratuites pour les Russes, commencent «à la fin de la semaine prochaine».

Le Spoutnik V, développé par le centre de recherches Gamaleïa de Moscou, est dans la troisième et dernière phase d’essais cliniques auprès de 40.000 volontaires. Ses créateurs le disent efficace à 95%, comme le Pfizer/BioNTech.

Aux Etats-Unis, l’Agence américaine des médicaments (FDA) a aussi été sollicitée par Pfizer/BioNTech et, depuis lundi, par Moderna. En cas de feu vert, les deux vaccins pourraient être disponibles en décembre dans le pays.

Avec ces deux vaccins, l’administration de Donald Trump prévoit d’avoir inoculé des doses à 100 millions de personnes aux Etats-Unis d’ici la fin du mois de février.

Certains soignants, prioritaires pour se faire vacciner, se méfient cependant encore des nouveaux vaccins qu’ils jugent insuffisamment testés.

«Je pense que je me ferai vacciner plus tard», dit à l’AFP Yolanda Dodson, 55 ans, infirmière dans un hôpital du Bronx à New York. «Les études publiées sont prometteuses, mais les données sont insuffisantes».

Ces réserves semblent assez répandues parmi les quelque 20 millions de soignants aux Etats-Unis, selon le docteur Marcus Plescia, responsable médical de l’ASTHO, organisation qui regroupe les responsables sanitaires des Etats américains.

Alors qu’un essor des contaminations est attendu après les célébrations de Thanksgiving, les autorités sanitaires américaines ont par ailleurs recommandé de réduire à 10 jours la quarantaine des personnes entrées en contact avec un cas positif au coronavirus. Elles espèrent ainsi un meilleur respect des règles.

En France, où l’ancien président Valéry Giscard d’Estaing est mort mercredi soir du Covid-19, à 94 ans, le Premier ministre Jean Castex expose jeudi la stratégie du gouvernement sur les vaccins, une marche décisive que l’exécutif ne veut pas rater dans la lutte contre l’épidémie.

Le Premier ministre a assuré mercredi avoir «pré-commandé de quoi vacciner 100 millions de personnes».

13h50: Le vaccin Sanofi-GSK contre le Covid-19 sera vendu pour moins de dix euros, a précisé Thomas Triomphe, le vice-président de la branche vaccins du laboratoire français Sanofi, jeudi matin, lors d'une table ronde organisée par le magazine Challenges.

La question de l'accessibilité est "tout en haut de nos priorités, juste après l'innocuité et l'efficacité du produit", a commenté M. Triomphe lors de cette table ronde. Sanofi développe actuellement deux types de vaccins contre le Covid-19. Le projet le plus avancé, avec son partenaire britannique GSK, est actuellement en phase 2 d'essais cliniques, et la dernière phase sur l'homme devrait être lancée dans les prochaines semaines.

Sanofi, qui s'est engagé à produire un milliard de doses de vaccins en 2021, veut proposer son vaccin "dès le début avec une accessibilité forte, donc une capacité à être payée par l'ensemble des différents acteurs économiques", a souligné M. Triomphe.

"Un vaccin contre le Covid-19 dès le premier jour coûtera bien moins cher qu'un paquet de cigarettes", a-t-il dit. Ce prix, "inférieur à dix euros" pour les pays développés, "sera communiqué lorsque l'on aura les résultats de phase 1, phase 2, puisqu'il nous faut la finalisation de la dose utilisée pour pouvoir aller en phase 3", a-t-il expliqué.

Comme d'autres laboratoires, Sanofi collabore par ailleurs avec le dispositif d'achat et de répartition des vaccins Covax, destiné à assurer un approvisionnement en vaccins aux pays en voie de développement.

"On s'est engagé à fournir plus de 200 millions de doses au dispositif Covax. Ce sera avec un prix spécifique et préférentiel pour les pays de part le monde pour pouvoir s'assurer que l'ensemble des continents à travers le monde puissent avoir accès à la vaccination", a souligné M. Triomphe.

Les prix des différents candidats-vaccins contre le Covid-19 ne sont pas tous connus. Le britannique AstraZeneca, qui collabore avec l'université d'Oxford, a, de son côté, déjà annoncé qu'il fournirait son vaccin à prix coûtant, soit environ 2,50 euros la dose.

L'américain Pfizer et son partenaire allemand BioNTech, ont, eux, évoqué le prix de 40 dollars par traitement.

12h10: L'Agence européenne du médicament (EMA) a estimé avoir l’approche « la plus appropriée qu’il soit » en vue d’une approbation d’un premier vaccin contre le Covid-19, alors que le Royaume-Uni a déjà donné son feu vert à celui de Pfizer et BioNTech.

L’Agence devrait se réunir le 29 décembre au plus tard afin de décider si elle accorde ou non une approbation conditionnelle au vaccin développé par le géant pharmaceutique américain Pfizer en partenariat avec la biotech allemande BioNTech.

Côté britannique, plusieurs membres du gouvernement ont estimé que la sortie du pays de l’Union européenne lui avait permis d’accélérer la validation du vaccin avant ses voisins européens en s’étant libéré des règles communes.

Le Royaume-Uni, en période de transition jusqu’au 31 décembre, reste techniquement jusqu’à cette date soumis aux règles européennes, notamment en terme de médicaments, mais a approuvé le vaccin en vertu d’une mesure d’exception.

« L’EMA estime qu’une autorisation de marché conditionnelle est le mécanisme de régulation le plus approprié pour faire face à l’urgence créée par la pandémie actuelle », a expliqué l’agence dans un communiqué envoyé à l’AFP.

Lors d’urgences de santé publique, les laboratoires peuvent demander à l’EMA une autorisation conditionnelle pour accélérer fortement un processus qui dure normalement plusieurs années.

Selon le régulateur européen, cela implique un « cadre solide et contrôlé » d’étude des données du laboratoire et d’importants essais cliniques avant toute décision.

« Ce sont des éléments essentiels pour assurer un haut niveau de protection des citoyens durant une campagne massive de vaccination », a ajouté l’Agence.

11h12: L'Iran a passé jeudi la barre du million de cas confirmés de contamination par le Covid-19, a annoncé la porte-parole du ministère de la Santé, Sima Sadat Lari.

Pays du Proche et du Moyen-Orient le plus touché par la pandémie, la République islamique a recensé 1.003.494 de personnes contaminées par le nouveau coronavirus depuis l’annonce des premiers cas en février, a déclaré Mme Lari sur la télévision d’Etat.

Selon les chiffres du gouvernement, jugés largement sous évalués par le ministre de la Santé lui-même (pour des raisons liées aux protocoles de dépistage), le virus a fait 49.348 morts en Iran.

Au cours des dernières 24 heures le SARS-Cov-2 a fait 358 nouveaux morts, et 13.922 nouveaux cas ont été confirmés, a indiqué Mme Lari.

Depuis quelques jours, le nombre des morts quotidiens semble légèrement baisser, selon les chiffres officiels: pour le mois de novembre, la moyenne tournait au-dessus de 400 morts quotidiens.

10h53: L’exécutif ne veut pas manquer la campagne de vaccination qui lui permettrait de faire oublier sa gestion passée de l’épidémie, avec ses couacs sur les masques ou ses retards sur les tests.

Un rapport de la commission d’enquête de l’Assemblée sur la gestion de la crise, pilotée par la droite LR, accable le gouvernement et son «pilotage défaillant». LREM a dénoncé un «rapport partial et partiel».

Le Premier ministre s’est félicité mardi devant les députés de la majorité de résultats sanitaires «parmi les meilleurs d’Europe» même s'«ils ne sont pas encore suffisants», laissant envisager un nouvel assouplissement des restrictions au 15 décembre.

M. Castex devrait préciser à cet égard la «jauge» retenue pour les cérémonies religieuses, après avoir évoqué «6 m2 par fidèle», contre 30 personnes maximum actuellement.

Mais le gouvernement reste vigilant à l’approche des fêtes de fin d’année, qui pourraient favoriser la circulation du virus.

Il va à cet égard lancer, peut-être avant Noël, des campagnes de dépistage massif du Covid-19 à Saint-Etienne, au Havre et dans une autre ville du Nord.

Il entend aussi davantage contrôler l’isolement des personnes malades, sans exclure des sanctions.

Sur la fermeture des stations de ski, M. Castex a dit envisager un isolement de sept jours pour les Français rentrant du ski à l’étranger, avec des contrôles aléatoires aux frontières, suscitant un tollé dans l’opposition.

10h48: Le Premier ministre Jean Castex a assuré mercredi avoir «pré-commandé de quoi vacciner 100 millions de personnes».

Il tiendra une conférence de presse en fin d’après-midi avec ses ministres de la Santé Olivier Véran, des Affaires européennes Clément Beaune, et de l’Industrie Agnès Pannier-Runacher, qui sera très pédagogique sur les vaccins, avec une «grande transparence sur le processus des achats», selon son entourage.

Le gouvernement devrait suivre les «cinq phases progressives» recommandées lundi par la Haute autorité de Santé (HAS), en commençant par les personnes âgées résidant en Ehpad et les salariés à risque de ces établissements.

Outre les enjeux logistiques et pédagogiques, la prudence est guidée par le fait que les vaccins semblent empêcher de développer la maladie Covid-19, mais on ignore combien de temps et s’ils empêchent aussi de transmettre le virus.

Il s’agit donc d’abord de réduire l’impact sanitaire de la maladie (hospitalisations, admissions en soins intensifs et décès).

Pour le «contrôle» de l’épidémie, il faudra «attendre que les études établissent la preuve que les vaccins ont une efficacité possible sur la transmission du virus» et que leur disponibilité «soit suffisante», souligne la HAV.

Pour piloter ce dispositif complexe, le gouvernement n’exclut pas de nommer un «Monsieur ou madame Vaccin», selon une source gouvernementale.

10h44: Jean Castex expose jeudi la stratégie du gouvernement sur les vaccins, une marche décisive que l’exécutif ne veut pas rater dans la lutte contre l’épidémie de Covid-19, après avoir trébuché sur les masques et les tests.

Alors que le Royaume-Uni est devenu mercredi le premier pays à approuver l’utilisation massive du vaccin de Pfizer/BioNTech, qui sera déployé dès la semaine prochaine, le gouvernement français entend lui aussi prendre ce tournant mais prudemment.

«Il ne s’agira pas d’une stratégie de vaccination obligatoire mais d’une stratégie de conviction et de transparence», a réaffirmé mardi Emmanuel Macron.

La défiance à l’égard des vaccins est en effet plus forte en France que chez ses voisins.

Et «on a peu de recul» sur les vaccins de «première génération», qui doivent être conservés entre -80 et -20 degrés et nécessitent une logistique complexe, a rappelé le chef de l’Etat.

Deux grandes phases sont envisagées. Une première campagne de vaccination «très ciblée» entre fin décembre et début janvier pour les personnes prioritaires, suivie par une deuxième campagne «plus large» destinée au grand public, entre avril et juin.

«Il y a l’appréhension, c’est normal puisqu’on n’a jamais sorti un vaccin aussi rapidement, mais nous avons besoin» de la vaccination. «Ce sera la responsabilité des pouvoirs publics de convaincre les Français de les rassurer, de faire beaucoup de pédagogie», résume le Premier ministre Manuel Valls.

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Vos réactions

Portrait de buzD
4/décembre/2020 - 07h38

quand je vois le nombre de commentaire trouvant des excuses a ce gouvernement, je suis sur le cul , toutes leurs decision sont dénuées de fondement scientifique , pourquoi 6 a table et pas 4 ou 8 , dire qqle chose pour dire qqle chose ... interdire des trucs (ski,sport) pour pas tout autoriser . Et puis , avoir un vaccin dont on ne sait pas si il ne permet pas de transmettre (c'etait qd meme l'argument principal au depart de permettre de pas diffuser la maladie) CA EN DIT LONG SUR LES CONNAISSANCES DES EFFETS SECONDAIRES

Portrait de jarod.26
3/décembre/2020 - 18h27

bon courage à ce prof fischer si le vaccin ne fonctionne pas

Portrait de Yanik65
3/décembre/2020 - 14h55

Y'en a marre des confs de presse à toutes les sauces !! Tous ces discours deviennent inaudibles, trop de Covid, trop de vaccins, trop de restrictions ... Laisse nous respirer 2 minutes !

Portrait de MICMAH458
3/décembre/2020 - 14h02

Si c'est pour exposer la stratégie du gouvernement, ce n'est pas beaucoup la peine de l'écouter, la confiance n'y est plus.