
Le chanteur apparaît sur la couverture du numéro de décembre dans une veste Gucci superposée à une robe. Le joueur de 26 ans a réfléchi à la dissolution des règles et des normes de genre dans la mode, en racontant Vogue, “Les gens que j’ai admirés dans la musique –Prince et David Bowie et Elvis [Presley] et Freddie Mercury et Elton John– ce sont de tels showmen. En tant qu’enfant, c’était complètement époustouflant. Maintenant, je vais mettre quelque chose de vraiment flamboyant, et je ne me sens pas fou de le porter. “
Élaborant sur sa philosophie de la mode, l’interprète a poursuivi: “Je pense que si vous obtenez quelque chose dans lequel vous vous sentez incroyable, c’est comme une tenue de super-héros. ces lignes s’effritent en quelque sorte. Quand vous enlevez «Il y a des vêtements pour hommes et il y a des vêtements pour femmes», une fois que vous avez supprimé les barrières, vous ouvrez évidemment l’arène dans laquelle vous pouvez jouer. Je vais parfois dans les magasins , et je me retrouve à regarder les vêtements des femmes en pensant qu’ils sont incroyables. “
L'occasion pour Styles de revenir sur ses premiers pas au sein de One Direction mais aussi sur son deuxième album : "J'étais en train de trouver mon son en tant qu'artiste solo", explique t-il. "Je pense qu'avec le deuxième album j'ai abandonné la peur de mal faire... et c'était joyeux et libérateur. Je pense qu'en musique, il est très important d'évoluer - et ça s'étend aux vêtements et aux vidéos. C'est pour ça que lorsque l'on se retourne sur Ziggy Stradust de David Bowie ou les différentes ères des Beatles, cette audace est super inspirante".
.@Harry_Styles looks ethereal gracing the cover of @VogueMagazine.
— Pop Crave (@PopCrave) November 13, 2020
: Tyler Mitchell pic.twitter.com/0yQnrWN8H9
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