bfm tv Ce soir, à 21h05, Anne Nivat présente un nouveau numéro de son émission "Dans quelle France on vit". Dans ce 7e numéro, la grand reporter a parcouru l’hexagone en quête de témoignages et constaté que, malgré la bonne volonté de tous les acteurs (gendarmes et policiers, magistrats, psychologues, institutions sociales, etc.) rencontrés pour ce documentaire, et même si la parole tend à se libérer, la situation est loin d’être idéale.
Jeanmarcmorandini.com vous propose de découvrir, en avant-première, les premières images de l'émission. Dans celle-ci, Anne Nivat va rencontrer un homme accusé de violences et de viol sur sa conjointe (voir vidéo ci-dessus).
Présentation
Pour la plupart d’entre nous, le huis clos familial est un refuge. Mais l’intimité familiale peut aussi se révéler le lieu de violences inouïes de la part d’un individu envers son épouse/époux, ses propres enfants, voire ses parents. Le confinement, lié à la crise sanitaire, a fait exploser les violences intrafamiliales. Le nombre d’interventions à domicile des forces de l’ordre pour « différends conjugaux » a augmenté de 48% (par rapport à 2019 sur la même période).
Au Havre, Anne Nivat écoute le récit de la meilleure amie de la 105ème victime de féminicide de l’année 2019 ; pour mieux comprendre la terreur de l’emprise, dans un village du Lot elle visite le lieu d’accueil de femmes ayant osé fuir le lieu de leur détresse après quelques mois (ou quelques années) de violences physiques et/ou psychologiques. A Arras, la grand reporter fait face au discours de deux hommes auteurs de violences conjugales et, dans une gendarmerie des alentours de Rennes, assiste aux « aveux » désespérés d’une jeune femme victime de violences.
Pour mieux comprendre, Anne Nivat a aussi invité à Paris un groupe de femmes victimes de violences de leur ex-conjoint, qui ont souvent perdu la garde de leurs enfants, et les questionne sur leurs combats pour les récupérer. Elle assiste enfin à une séance de « reconstruction » par le théâtre à Saint-Denis, où, grâce aux joies de l’improvisation, des femmes se libèrent.
A noter que, tournée à la veille du confinement, cet épisode s’est interrompu, puis achevé en phase de déconfinement, l’actualité de son sujet ayant grandi à l’aune de l’augmentation des violences conjugales pendant cette période.
Vos réactions
J'espère que c'est une erreur, votre remarque. Et que ce n'est pas ce que vous vouliez dire...
Pardon ? Même les médecins donnent des claques au nouveau né qui ne cri pas.
Oui ce n'est pas une erreur.
Grand reporter Anne Nivat !
Franchement ! C'est quand le moment où Bourdin osera lui filler une claque pour la réveiller ?
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