
16h29: La préfecture de Loire-Atlantique annonce que la manifestation non déclarée prévue demain à Nantes est interdite.
[#Manifestation] non déclarée prévue ce samedi 13 Juin dans centre-ville de #Nantes malgré l'interdiction de rassemblement de + de 10 personnes. @PleinCentre
— Police Nationale 44 (@PoliceNat44) June 12, 2020
Le préfet de #LoireAtlantique interdit cette manifestation pour limiter les troubles à l'ordre public+risque de contagion. pic.twitter.com/fcKsJVMKLc
15h07: Le point sur ce que l'on sait cet après-midi
Descente des Champs Elysées, menottes jetées à terre... : la colère des policiers ne faiblissait pas vendredi contre Christophe Castaner, au point que désormais leurs syndicats demandent à être reçus par le chef de l’Etat. Des policiers en colère, d’autres présidents ou ministres de l’Intérieur ont dû en affronter par le passé. Mais ce nouvel épisode intervient dans un climat de défiance vis-à-vis de l’exécutif, des rumeurs de remaniement et une longue séquence de manifestations et de sollicitations des forces de l’ordre, des «gilets jaunes» au contrôle du confinement en passant par le mouvement contre la réforme des retraites.
Il survient en outre la veille de nouvelles manifestations contre les violences policières et le racisme et 48 heures avant une allocution du président Emmanuel Macron. «On est venu dire au président Macron qu’il doit soutenir, respecter, considérer sa police (...) La police n’est pas raciste, la police est républicaine (...), elle ne choisit pas sa délinquance, elle ne choisit pas la couleur de la délinquance (...) et elle sauve des vies quelle que soit la couleur de la peau de l’individu», s’est agacé vendredi Fabien Vanhemelryck, secrétaire général du syndicat Alliance, à deux pas de l’Elysée.
Une vingtaine de voitures siglées des syndicats de police venait de descendre les Champs-Elysées jusqu’à la place Beauvau, devant le ministère de l’Intérieur, derrière une banderole affichant «pas de police, pas de paix». Un peu partout en France, depuis jeudi, les policiers organisent des actions diverses et symboliques, comme jeter à terre leurs menottes, pour clamer leur ras-le-bol et leur demande de soutien de la part de l’exécutif.
Pour Patrice Ribeiro du syndicat Synergie, on «conspue la police». «Pourquoi ? Parce qu’au plus haut niveau de l’Etat on a peur d’une minorité agissante (...), on voudrait que les politiques, au premier rang desquels le président de la République, nous apportent leur soutien, il doit nous recevoir», a-t-il dit.
La mort aux Etats-Unis de George Floyd sous le genou d’un policier a ravivé en France les accusations de violences policières et de racisme. Des accusations relayées avec force par le comité Adama Traoré du nom d’un jeune homme noir décédé en juillet 2016 lors d’une interpellation par des gendarmes en région parisienne.
C’est ainsi que lundi le ministre a prôné la «tolérance zéro» envers le racisme dans les rangs de la police et l’interdiction d’une technique d’interpellation sans la mise en oeuvre d’une autre méthode. Ce qui a déclenché la colère des policiers. Depuis, Edouard Philippe est monté au créneau pour témoigner mercredi au Sénat de sa confiance dans les forces de l’ordre. La garde des Sceaux, Nicole Belloubet a estimé pour sa part au sujet des policiers qu’il s’agissait d’un «mouvement d’humeur qui s’apaisera».
Le président du MoDem, François Bayrou, s’est lui rendu dans la matinée dans un commissariat de sa ville de Pau pour dénoncer «la mise en accusation des forces de sécurité».
Mais, dans l’opposition de droite comme de gauche, les appels à la démission de Christophe Castaner ont afflué. «Un ministre faible qui doit démissionner (Alexis Corbière, LFI); «rupture totale» entre le ministre et la police (Eric Ciotti, LR).
Marine le Pen (RN) a fustigé, quant à elle, «l’abandon récurrent» des policiers et la mise en place «d’une présomption de culpabilité» pour la police.
Dans l’entourage du ministre, on a fait remarquer que les syndicats n’appelaient à aucun moment à sa démission.
Lors de ses rencontres jeudi avec les syndicats, Christophe Castaner a expliqué, selon son entourage, que la «tolérance zéro» ne signifiait pas que tous les policiers et tous les gendarmes sont racistes.
Le ministre doit recevoir dans l’après-midi les syndicats des officiers et des commissaires.
14h12: Sur France Info, Nicole Belloubet, a déclaré: « J’imagine que c’est un mouvement d’humeur qui s’apaisera ».
Et la garde des Sceaux de poursuivre: « Il ne faut ni déni ni systématisme » dans le traitement de cette crise de confiance.
Avant d'affirmer que le racisme est « totalement antinomique avec la République » , précisant avoir « totalement confiance en la police ».
« Quand il y a des faits graves, on peut suspendre quelqu’un à titre préventif, en attendant la sanction disciplinaire. (…) Ce n’est pas propre à l’institution policière. C’est une pratique destinée à protéger nos concitoyens, à protéger les usagers de la fonction publique », a-t-elle ajouté.
12h34: Dans d'autres villes françaises, des policiers en colère organisent des actions. C'est notamment le cas à Bordeaux ou encore à Marseille.
Bordeaux : une centaine de policiers déposent symboliquement leurs menottes devant le commissariat https://t.co/5Pn2M4uY9u pic.twitter.com/Jhy08QIb4C
— France Bleu Gironde (@Bleu_Gironde) June 12, 2020
11h42: Le Ministre de l'Intérieur Christophe Castaner doit rencontrer dans l'après-midi les syndicats des officiers et des commissaires
11h40: Le point sur ce que l'on sait ce matin
Plusieurs syndicats de police ont manifesté vendredi matin à Paris en descendant en voitures l’avenue des Champs-Elysées vers le ministère de l’Intérieur pour exprimer leur mécontentement suite aux annonces de Christophe Castaner lundi, a constaté un journaliste de l’AFP.
Une vingtaine de voitures ont descendu les Champs-Elysées en direction de la place Beauvau derrière une banderole affichant «pas de police, pas de paix». Les policiers manifestaient à l’appel des syndicats Alliance, Synergie, SICP et Unsa. Une minute de silence a été respectée à l’approche du ministère de l’Intérieur et de l’Elysée en hommage aux policiers décédés ou blessés en service. Les manifestants ont ensuite chanté la Marseillaise.
«Il n’y a pas que le ministre de l’Intérieur (...) On est venu dire au président Macron qu’il doit soutenir, respecter, considérer sa police (...) La police n’est pas raciste, la police est républicaine (...), elle ne choisit pas sa délinquance, elle ne choisit pas la couleur de la délinquance (...) et elle sauve des vies quelle que soit la couleur de la peau de l’individu», a déclaré à la presse Fabien Vanhemelryck, secrétaire général du syndicat Alliance.
Christophe Castaner a reçu jeudi une partie des syndicats et doit encore en recevoir vendredi pour tenter de calmer leur colère après ses déclarations lundi sur les violences policières. Le ministre a prôné la «tolérance zéro» contre le racisme dans la police et annoncé l’interdiction de plusieurs techniques d’interpellation.
Les syndicats dénonce une «stigmatisation» et reprochent notamment au ministre d’avoir annoncé l’interdiction de la «clé d’étranglement» sans mettre en place une méthode alternative. Jeudi en fin de journée des rassemblements de policiers en colère ont eu lieu dans plusieurs villes de France, lors desquels les participants ont à chaque fois symboliquement jeté à terre leurs menottes.
11h36: Dans un communiqué, le Préfet de Police de Paris annonce prendre "plusieurs mesures concernant une manifestation prévue" demain.
"Les commerces, débits de boissons et restaurants situés de la place de la République à la place de l'Opéra et dans certaines portions de rues adjacentes, seront fermés samedi 13 juin après-midi", précise le texte en indiquant "[qu']une réquisition a été adressée à la Mairie de Paris afin de faire enlever tous les objets pouvant servir de projectiles et sécuriser les chantiers de voie publique sur le parcours de cette manifestation".
11h07: La manifestation s'est terminée dans le calme devant le Ministère de l'Intérieur à Paris.
10h58: Devant le Ministère de l'intérieur, les policiers ont interprété la Marseillaise pendant un peu plus d'une minute
Les policiers entonnent la Marseillaise pic.twitter.com/OSdnQpXyO6
— Antoine B (@AntoineLaBoite) June 12, 2020
10h40: En ce moment sur les Champs-Elysées à Paris, des policiers perturbent la circulation sur la célèbre avenue parisienne. Ils se dirigent vers le ministère de l'Intérieur.
Manifestations de syndicats policiers devant l’Élysée . Prise de parole à venir devant le ministère de l’intérieur cc @LCI @TF1LeJT pic.twitter.com/53lteGyMK1
— Marie Chantrait (@mchantrait) June 12, 2020
Action des policiers en cours à #Paris sur les Champs-Élysées à l’appel du Syndicat Alliance Police (@alliancepolice) après les annonces de Christophe Castaner sur le racisme dans la #police et les techniques d’interpellation. pic.twitter.com/eLRIaXCVXf
— Charles Baudry (@CharlesBaudry) June 12, 2020
L’UNSA POLICE est en action Intersyndicale ce matin à 10h00 à PARIS pour la défense des policiers sur les Champs Élysées.
— UNSA Police CRS Hauts de France (@unsadh) June 12, 2020
FACE A L’ ATTITUDE DU GOUVERNEMENT !
Le BUREAU NATIONAL pic.twitter.com/T8CeAdOm2E
« Pas de Police, pas de Paix ».
— Remy Buisine (@RemyBuisine) June 12, 2020
Action en cours des policiers en colère sur les Champs-Elysées. pic.twitter.com/kz04GwxKz3
10h11: La présidente du Rassemblement national Marine Le Pen s'exprime depuis Villeneuve-La-Garenne
"Les forces de l'ordre sont lâchées par les autorités"
"L'objectif de ma visite était d'apporter mon soutien aux forces de l'ordre", "On ne doit pas tomber dans le piège des indigénistes, c'est contraire à nos principes"
10h00: Des policiers manifestent actuellement sur les Champs-Elysées à Paris. Plusieurs voitures sont sur place. Cette manifestation a été lancée par les syndicats Unsa-Police et Alliance.
Les policiers manifestants commencent à descendre les Champs-Élysées pic.twitter.com/L01raI5JP4
— Jordan Klein (@JordanKln) June 12, 2020
06h43: Christophe Castaner a tenté jeudi de désamorcer la colère des policiers, sans y parvenir au regard des premières réactions virulentes à ses entretiens avec les syndicats de police, dans un contexte de relance des manifestations contre les violences policières et d'accusations de racisme. "Les flics de France ne considèrent plus Christophe Castaner comme le supposé premier flic de France. Il nous a lâchés lundi, nous a jetés en pâture lundi. A lui de regravir l'Everest de la confiance", a tonné Yves Lefebvre, secrétaire général de Unité SGP Police, qui a appelé ses collègues "à ne plus interpeller, à ne plus intervenir".
A l'appel du syndicat, des rassemblements ont eu lieu en fin d'après-midi dans plusieurs villes, notamment à Saint-Etienne, Bobigny, Toulouse ou encore Lille où sous la pluie, une centaine de policiers vêtus de leur uniforme, et portant un masque, ont notamment crié "Castaner démission" avant d'entonner la Marseillaise. A chaque fois, les policiers ont symboliquement déposé à terre leurs menottes. "Depuis quelques jours j'ai l'impression qu'on est la police de Vichy, c'est écoeurant, démotivant", déplore un policier toulousain, sous couvert d'anonymat.
Deuxième syndicat à être reçu, Alliance a également menacé d'actions revendicatives dans les prochains jours. "Un ministre de l'Intérieur doit être derrière ses policiers", a souligné Fabien Vanhemelryck, secrétaire général. "Le ministre est en dehors des clous mais le président de la République l'est tout autant." Christophe Castaner a également reçu l'Unsa-police jeudi, avant de rencontrer les officiers et les commissaires, vendredi.
Si selon Unité-SGP, Christophe Castaner a concédé une "erreur" en évoquant lundi l'hypothèse d'une suspension d'un agent en cas de "suspicion avérée" de racisme, les causes du courroux sont plus larges: l'interdiction de recourir à la "clé d'étranglement" comme technique d'interpellation, ce qui équivaut, selon les syndicats, à les laisser sans moyen pour arrêter des personnes violentes, ainsi que la "tolérance zéro" pour les faits de racisme dans la police, vue comme une accusation générale. Mais aussi, le contexte, celui de la mort de George Floyd aux Etats-Unis sous le genou d'un policier, qui a ravivé en France les accusations de violences policières et de racisme.
Accusations emmenées par le comité Adama Traoré du nom d'un jeune homme noir décédé en juillet 2016 après son interpellation par des gendarmes. Frappé par la mobilisation importante - 20.000 personnes, selon la préfecture de police de Paris, le 2 juin devant le Palais de justice - l'exécutif a tenté de calmer les tensions, le président Emmanuel Macron demandant à Christophe Castaner d'agir. Ce qui fut fait lundi.
Mais, avant même le début des rencontres avec les syndicats, la tâche du ministre de l'Intérieur s'est avérée difficile au regard de l'unanimité de leurs réactions négatives, des gardiens de la paix aux commissaires. A tel point que le directeur général de la police nationale (DGPN), Frédéric Veaux, et le préfet de police de Paris, Didier Lallement, ont écrit chacun de leur côté à leurs troupes respectives pour les assurer de leur soutien et de leur confiance.
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Jeudi 11 juin
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19h38: Selon l'UNSA Police qui s'est exprimé à la sortie de sa réunion avec le Ministre de l'Intérieur, "Christophe Castaner a dit regretter ses récents propos sur la police"
18h11: Christophe Castaner a reçu les syndicats de policiers, trois jours après un discours dans lequel il évoque des "sanctions" en cas de "soupçons avérés" de propos ou actes racistes émanant de policiers. Yves Lefebvre décrit de manière imagée une rencontre déséquilibrée avec des syndicats en pleine fronde : "C'est le Christophe Castaner qui était tel un boxeur, dans un coin du ring, assis sur sa chaise, qui en a pris plein la tronche pendant une heure et quart", lâche le syndicaliste.
Le ministre en a pris "plein la tronche parce qu'il est indigne dans ses propos de lundi", poursuit Yves Lefebvre, selon qui "les policiers ne considèrent plus Christophe Castaner comme étant légitimement leur ministre (et) c'est à lui d'en tirer les conclusions". "Christophe Castaner a lâché sa police lundi à travers son point presse" dans lequel il parle de "soupçons avérés" de racisme : "Pour moi, ces soupçons avérés n'existent pas. Il y a des faits avérés, oui ou non."
17h25: Réagissant aux annonces de Christophe Castaner, le ministre de l’Intérieur, qui a indiqué lundi vouloir mettre fin à certaines techniques d’interpellation dans un contexte de manifestations contre les violences policières et le racisme, des dizaines de policiers nationaux ont déposé mercredi leurs menottes à terre.
A Nice par exemple, sur des vidéos circulant sur les réseaux sociaux, une trentaine d’agents apparaissent en ligne, place Masséna, avec derrière eux leurs véhicules toutes sirènes hurlantes, avant de déposer au sol leurs menottes.
À Toulouse, des policiers sont actuellement réunis devant le parvis de l'hôtel de Police, déposant également leurs menottes à terre. Alors que des manifestations contre les violences policières et le racisme ont éclaté dans toute la France à la suite de la mort, le 25 mai, de l'afro-Américain George Floyd aux États-Unis, les policiers ne se sentent plus soutenus par le gouvernement.
"Mes collègues ont ainsi voulu montrer leur ras le bol après l’annonce du ministre", explique au micro d’Europe 1 Nicolas Vincent, le secrétaire départemental adjoint Alliance SGP Police. "C’est une image forte pour sensibiliser la population. Même si nous savons qu’elle est majoritairement représentée par des élus qui soutiennent la police, c’était une manière de montrer que nous en avons assez de nous faire traiter de tous les noms à cause de problèmes ponctuels", poursuit ce syndicaliste.
La police « rend les armes » à Nice. Les policiers @PoliceNat06 ont manifesté en déposant des menottes pour exprimer leur colère et leur incompréhension après les critiques sur les violences policières @usgp06 #PoliceRaciste pic.twitter.com/nqhT8I9dY6
— France Bleu Azur (@francebleuazur) June 10, 2020
EN COURS - Les #policiers de #SaintÉtienne déposent leurs menottes suite au récentes déclarations de Christophe #Castaner sur les #ViolencesPolicieres. Des rassemblements un peu partout en France. "Une action très forte" prévue demain à #Paris. #Police pic.twitter.com/Vo3Cl3j6NA
— Anonyme Citoyen (@AnonymeCitoyen) June 11, 2020
Devant les commissariats, des policiers jetent leurs menottes au sol pour dénoncer la récente prise de position de #Castaner sur les #ViolencesPolicieres, qui a prôné la « tolérance zéro » contre le #racisme dans la #police et interdit plusieurs techniques d’interpellation. pic.twitter.com/Uw7fB8N3w9
— Charles Baudry (@CharlesBaudry) June 11, 2020
Des policiers crient " #CastanerDemission " et jetent leurs menottes au sol pr dénoncer la récente prise de position de #Castaner sur les #ViolencesPolicieres allo Castaner il faut les gazer c interdit de manifester ils sont + que 10 là!(Lille) #Macron #Police pic.twitter.com/zp8pS19hV1
— Le Général (@LE_GENERAL_OFF) June 11, 2020
Vos réactions
"un mouvement d'humeur qui s'apaisera" - Elle se rend compte qu'en disant ça elle ne fait que rajouter de l'huile sur le feu ? Les propos de Castaner n'ont pas suffit à ses yeux ? Non mais c'est quoi ces ministres ?
Plus étonné du tout de mon coté
, car tout à fait à l'image de LREM et de ce gouvernement !
Une déconnexion totale du réel + une arrogance chronique + un mépris systématique ,et tout ça saupoudré, étonnamment pour des gens arrivés à ces fonctions, d'une bonne cuillerée de bonne et véritable connerie bien lourde !!! : Et voila le résultat !
Soutien total à nos forces de l'ordre ! Nicole Belloubet et Christophe Castaner doivent démissionner, ils n'ont pas leur place dans ce gouvernement d'incompétents et de lâches.
Plus déconnecté que ce gouvernement ça n'existe pas macron a réussi ce qu'aucun de ses prédécesseurs n'avait fait : mettre le pays dans la rue le pire reste à venir quand les français (qui ont chance d'avoir encore un boulot) vont comprendre que leurs impôts vont exploser en 2022 ........ pour leur incompétence , l'amateurisme ce sera pire qu'en Grèce
Donc, je comprends que Belloubet (qu'on n'entend pas beaucoup d'ailleurs, et finalement c'est peut-être mieux ainsi) a comme stratégie de ne pas bouger, pas intervenir, pas autoriser mais pas interdire, et de laisser "pisser le mouton"" selon l'expression bien connue, jusqu'à ce que les flics se fatiguent, se lassent, se découragent, et que tout rentre dans l'ordre comme par miracle. C'est une tactique comme une autre, mais pas très responsable quand même et qui nous laisse envisager le niveau médiocre des gens qui nous gouvernent.
Tout mon soutien à la police qui a matraqué en 2019 les GJ pacifistes, les soignants, les infirmières et les pompiers! Encore bravo à eux!
Je comprends pas le but des policiers. Ils se plaignent de ne pas pouvoir être raciste, de tuer sans être inquiéter.
Faut remettre les choses a leur place personne veux la mort de la police mais faut qu'il se comporte correctement.
CASTANER, quel mollasson !!! Il devrait dégager fissa !!!
Alors, seront-ils tabassés, fracassés, handicapés à vie eux-aussi comme les autres manifestations ?
Déjà défiler en voiture de fonction est interdit et répréhensible par la loi...
Il n'y a jamais eu de problème avec les manifestations pacifiques comme avant ...
Maintenant certains ne viennent que pour casser des commerces, casser du flic et après dans le mouvement beaucoup de gens "tranquilles" se mettent à en faire autant alors qu'ils ne viennent pas se plaindre.
La France n'est pas les USA !
Manifestation autorisée ? si non envoi des CRS et dispersion, comme pour les pompiers, infirmières, gilets jaunes.
Notre gouvernement de débiles a inventé l'autre jour, juste avant le concept lumineux de Castaner de "soupçon avéré"!!!, pour la manif du soutien au gang Traoré ,le concept de "manifestation interdite mais tolérée".
Celle çi est a classer dans ce même concept Macronien !!
Manifestation autorisée ? si non envoi des CRS et dispersion, comme pour les pompiers, infirmières, gilets jaunes.
Normalement, je crois qu'il est interdit d'utiliser les véhicules de fonction pour défiler ...
Mais comme c'est le chaos le plus total , plus aucune règle nulle part ... à l'instar de la colloc' de ma fille qui passe ses examens ... en groupe !!! (Ils sont cinq sur la même IP) ...
Bref .. ça fait des mois que je pense qu'il faudrait un gouvernement d'union nationale : la maison France , n'est plus tenue ....
Mais de quel racisme parlez-vous ?
De ceux veulent réécrire l'histoire, ceux des camps d'été "décoloniaux" interdits aux blancs, ceux qui font reculer la liberté des femmes en les soumettant, ceux qui sont pour l'excision et la polygamie, ceux qui sont pour déboulonner les statues qui ont fait la France, ceux qui considèrent les blancs du 21ème siècle responsables de la traite nègriere, ceux qui refusent certains sujets dans les manuels scolaires, ceux qui empêchent certains profs d'aborder certains thèmes, ceux qui veulent interdire les oeuvres (films, romans, BD, musique...) et enfin ceux qui considèrent que les morts de Charlie Hebdo l'ont bien cherché ???
C'est ça que vous défendez. Donc soit vous êtes le fruit de 40ans de lobotomisation et victimisation des minorités, soit vous êtes d'accord avec ces différentes positions.
+1000 !
Merci pour votre post !
Grrrr .... messieurs , mesdames ... masques et distanciation : montrez l'exemple !!!
Manifestation interdite! Qu'attendent leurs collègues pour matraquer comme ils le font souvent ces gens qui manifestent illégalement?
Total soutien aux policiers qui nous permettent de vivre nos vies en paix sans craindre les malfaisants. Les responsables politiques du moments qui les dirigent commettent une grave erreur de ne plus les soutenir comme il le faudrait.
plus aucun PV, plus aucune interpellation , jusqu'à ce que l'état revienne en rampant .... c un bras de fer qui s'engage ... on verra bien qui lâche qui.....
Ce gouvernement va réussir à faire pire que celui d'Hollande.
Je les ai sous estimé.
Je pensais avoir tout vu avec Hollande qui s'était précipité au chevet de Théo (j'en fulmine encore) mais c'est vrai que là aussi, avec Castaner en tête de gondole....ils font fort
Bravo à toutes et tous
Total soutien aux forces de l'ordre
Zemmour encore excellent sur Cnews sur le sujet
tout à fait
La police doit se remettre en question.
On obéit pas aux ordres idiots. On apprends cela à tous les militaires.
Ils n'ont fait preuve d'aucun dicernement dans leur agissements dans les dernières crises.
Ils se révoltent bien tard contre le gouvernement qu'ils suivaient pourtant aveuglément.
Ce gouvernement va réussir à faire pire que celui d'Hollande.
Je les ai sous estimé.
Dans quel état ce gouvernement a mis la France....
Réagissez
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