Quelques centaines de "gilets jaunes" ont bravé l’interdiction de manifester en ce premier samedi post-confinement, les forces de l’ordre procédant souvent à des verbalisations. "Il y a sanction pour tous les rassemblements de plus de dix personnes", avait rappelé dans la matinée le ministre de l’Intérieur Christophe Castaner, en déplacement à Veules-les-Roses (Seine-Maritime).
A Toulouse et Nantes, qui avaient connu de fortes manifestations en 2018 et 2019, les "gilets jaunes" ont tenu de petits regroupements épars en centre-ville en début d’après-midi, en présence d’importantes forces de police, qui ont procédé à des verbalisations.
A Bordeaux, ancien bastion du mouvement, la préfecture a compté une cinquantaine de manifestants.
Vos réactions
Puisqu'ils aiment tant les ronds-points, il n'y a qu'a les y rassembler, les y laissez mijoter 15 jours et on verra combien s'en sortent
ces gens là sont à gerber, leur problème c'est qu'un jour viendra ce sera une guerre civile.
Viva Zapata !Viva Villa !
Ce n'est vraiment pas le moment de rajouter de la pagaille dans le pays!
Il faut prendre des mesures et les mettre au trou !
Il va falloir que nous fassions des efforts considérables pour éponger les milliards pensées pour cette crise (ce n'est pas fini encore beaucoup de dépenses indispensable à prévoir pour le milieu médical) et beaucoup vont tout perdre
Et cette bande de merdes sont la à manifester pour exiger des droits ou ne pas prendre des avantages primes...! non mais puis quoi encore cela fait plus d'un an qu'ils paralysent le pays et coûte des sommes considérables au lieu de bosser.
Aucune dignité ni solidarité ils ne pensent qu'à leur gueule
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