
19h25: 437 morts supplémentaires en France en 24h, soit 23.293 décès en EHPAS et dans les Hôpitaux. On compte 14.497 décès dans les hôpitaux (+292) et 8 796 décès dans les Ehpad (+145)
18h50: La Belgique confirme 553 nouveaux cas de coronavirus et 113 (178 hier) nouveaux décès. 93 (368 hier) personnes sont sorties guéries sur les dernières 24h. Au total, 46 687 personnes ont été infectées et 7.207 sont mortes.
17h15: Selon le syndicat de médecins généralistes, MG France, près de 9.000 personnes seraient mortes du coronavirus en ville depuis le début de la crise. "Ce nombre ne nous surprend pas. C’est moins qu’à l’hôpital, mais autant environ que dans les établissements médico-sociaux tels que les Ehpad", explique le président du syndicat, Jacques Battistoni, dans Ouest-France. "Cela montre que, pour l’instant, il existe une mortalité cachée du coronavirus.
Cette estimation devra toutefois être confirmée en la comparant au surcroît de mortalité qui avait été déclarée, à la même période en 2019." Ce chiffre viendrait s'ajouter aux 14 202 personnes décédées dans les hôpitaux et aux 8 654 dans les maisons de retraite et autres établissements médico-sociaux annoncés par la Direction générale de la santé.
16h39: Après avoir pris la parole à l'Assemblée demain, Édouard Philippe présentera mercredi matin à 9h, en visioconférence, l'intégralité du plan de déconfinement aux élus locaux, rapporte BFM TV.
Et d'ajouter qu'il sera accompagné de la ministre de la Cohésion des territoires et des Relations avec les collectivités territoriales Jacqueline Gourault et du ministre auprès de la ministre de la Cohésion des territoires et des Relations avec les collectivités territoriales, chargé des Collectivités territoriales Sébastien Lecornu.
15h53: Anne Hidalgo demande la réouverture des magasins de vélo avant le 11 mai, "afin que les Franciliens puissent préparer au mieux leurs déplacements après le déconfinement"
13h45: Le ministère du Travail a annoncé lundi dans un communiqué vouloir engager «une réflexion avec les partenaires sociaux» pour «adapter rapidement» les règles d'assurance chômage face à la «situation exceptionnelle» créée par le coronavirus.
Les syndicats réclament unanimement, déjà avant la crise sanitaire, et encore plus depuis, que le gouvernement abandonne entièrement sa réforme de l'assurance chômage. L'entrée en vigueur du 2e volet a été reporté à septembre. Le nombre de chômeurs (catégorie A) a enregistré une hausse historique sur un mois en mars (+246.100, soit +7,1%) pour s'établir à 3,732 millions, selon les chiffres dévoilés lundi par Pôle emploi.
12h08: Le nombre de chômeurs (catégorie A) a enregistré une hausse historique sur un mois en mars (+246.100, soit +7,1%) pour s'établir à 3,732 millions, a indiqué Pôle emploi lundi.
Sur le premier trimestre, la hausse reste faible (+0,7% à 3,576 millions) car ce nombre avait fortement baissé en janvier et février.
Du fait d'une diminution nette du nombre de demandeurs d'emploi en activité réduite (catégories B, C) l'effectif A, B, C augmente moins fortement en mars (+177.500, soit +3,1%). Il reste stable sur le trimestre à 5,744 millions.
"Compte tenu du caractère inhabituel de la situation actuelle", Pôle emploi et la Dares (service statistique du ministère du Travail) ont publié, en plus des chiffres trimestriels, "une note sur les évolutions intervenues sur le seul mois de mars".
L'accroissement des effectifs inscrits en catégories A, B, C en mars "provient à la fois d'une nette augmentation des entrées à Pôle emploi (+5,5 %) et d'une très forte baisse des sorties (-29,0%)", soulignent-ils dans un communiqué.
"Les entrées pour fins de mission d'intérim et fins de contrats courts sont en hausse, la mise en place du confinement ayant conduit à des non-renouvellements ainsi qu'à de moindres nouvelles embauches de courte durée", expliquent-ils.
"La plupart des motifs de sorties se replient, notamment les défauts d'actualisation, qui recouvrent généralement pour partie des reprises d'emploi non déclarées à Pôle emploi, mais aussi les reprises d'emploi déclarées, les entrées en stage ou en formation, ainsi que les radiations administratives", ajoutent-ils.
11h37: La pandémie de coronavirus a fait 331 morts en Espagne au cours des dernières 24 heures, un léger rebond après les 288 victimes recensées dimanche, a annoncé le ministère de la Santé.
Ces nouveaux chiffres portent le bilan à 23.521 morts dans le troisième pays le plus endeuillé par la maladie après les États-Unis et l'Italie.
11h34: Le point sur la situation ce matin
Le gouvernement français planche lundi sur les ultimes arbitrages pour peaufiner son périlleux plan de déconfinement face à une épidémie qui a fait près de 23.000 morts dans le pays, à la veille de sa présentation officielle devant les députés.
L’enjeu est de taille puisqu’il s’agit de déterminer les conditions dans lesquelles l’activité et la vie quotidienne des Français vont pouvoir redémarrer à partir du 11 mai, date choisie par l’exécutif pour le déconfinement progressif du pays.
Mais pour Olivier Faure, premier secrétaire du PS, «rien n’est prêt pour le 11 mai, y compris sur l’application +Stop Covid+» et l’Assemblée aura «à voter sur des généralités», a-t-il déclaré dimanche soir.
Il a demandé à ce que les députés puissent voter sur ce plan uniquement «lorsque nous aurons l’intégralité des solutions proposées».
Car à l’issue de la présentation de la «stratégie nationale du plan de déconfinement» par le Premier ministre Edouard Philippe mardi après-midi à l’Assemblée nationale, un débat est prévu. Suivi immédiatement d’un vote, malgré les protestations de l’opposition.
C’est un véritable exercice d’équilibriste auquel le gouvernement doit se livrer: relancer l’économie sans relancer l’épidémie.
Le tout dans un contexte de défiance: les Français ne sont que 39% à lui faire confiance pour faire face efficacement au coronavirus, selon un sondage Ifop pour le JDD.
Sans doute la raison pour laquelle des consultations tous azimuts se sont déroulées pour faire les arbitrages.
Les maires ont ainsi été reçus par le président Emmanuel Macron jeudi, les régions et départements par Edouard Philippe jeudi et vendredi.
L’objectif est de «co-construire» ce plan avec élus, syndicats et patronat, a assuré le Premier ministre.
Cela fait presque six semaines que le pays est confiné pour freiner la propagation du nouveau coronavirus qui, selon le dernier bilan dimanche soir, a fait depuis le 1er mars 22.856 morts dans le pays, dont 242 nouveaux décès en 24 heures.
Parmi les morts: l’ancien sénateur Henri Weber, cofondateur de la Ligue communiste révolutionnaire, figure de la gauche et de mai 68, décédé à 75 ans.
La situation dans les hôpitaux s’améliore encore un peu avec 152 décès en 24 heures --bilan quotidien le plus faible en cinq semaines-- et une baisse continue depuis dix-huit jours des patients en réanimation pour Covid-19 (4.682 personnes).
Mais les services de réanimation/soins intensifs --qui comptaient 5.000 lits avant la crise-- restent sous pression avec encore 7.553 hospitalisés, toutes causes confondues.
A deux semaines du début du déconfinement, les questions sont nombreuses: où rendre les masques obligatoires? Quels tests et pour qui? Réouverture des commerces partout ou par régions? Quid des entreprises? Et les vacances d’été?
Le Conseil scientifique chargé d’éclairer le gouvernement a livré samedi soir ses recommandations pour une «levée progressive et contrôlée du confinement».
Divergence notable avec les choix gouvernementaux, il préconise que crèches et établissements scolaires restent fermés jusqu’en septembre mais a pris «acte de la décision politique» de les rouvrir progressivement dès mai, en «prenant en compte les enjeux sanitaires mais aussi sociétaux et économiques».
«Le conseil scientifique est là pour donner un certain nombre d’informations mais c’est le pouvoir politique qui décide», a expliqué à l’AFP son président, Jean-François Delfraissy.
«Sur le plan sanitaire, si vous demandez à des gens qui gèrent une épidémie, ils aimeraient que tout le monde reste à domicile jusqu’à ce qu’il n’y ait plus un cas. Bien évidemment ce n’est pas possible», a souligné lundi sur franceinfo Franck Chauvin, président du Haut conseil de la santé publique.
Pour la rentrée scolaire, qui doit être progressive, le conseil préconise notamment le port obligatoire d’un masque antiprojections dans les collèges et lycées, pour le personnel et les élèves.
Les experts suggèrent aussi le déjeuner en classe, la prise de température à la maison chaque matin avant l’école et des stratégies pour éviter les brassages d’élèves. Mais ils écartent la faisabilité et l’intérêt d’un dépistage massif.
Cette note devrait servir de «base», a jugé Jean-Michel Blanquer, ministre de l’Education nationale. «Mission impossible», a rétorqué Philippe Vincent, secrétaire général du SNPDEN, premier syndicat des chefs d’établissement. «La somme de toutes les préconisations du Conseil, si elles étaient retenues, est infaisable dans l’état actuel de nos capacités, avec du personnel qui ne sera certainement pas présent à 100%», craint-il.
Au-delà des questions scolaires, le Conseil scientifique préconise d’autoriser les déplacements entre régions par transports en commun si les mesures de précaution sont respectées. Il déconseille cependant «fortement» les déplacements internationaux pendant encore quelques mois.
Pourra-t-on alors partir en vacances cet été? «Les deux mois qui viennent sont cruciaux», a expliqué Franck Chauvin. «Si le nombre de nouveaux cas par jour commence à ré-augmenter, c’est que l’épidémie va repartir, et donc il va falloir reprendre des mesures».
10h54: Malgré les protestations de tous bords, le vote sur le plan de déconfinement aura bien lieu dans la foulée de sa présentation mardi à 15h00 à l'Assemblée nationale par Edouard Philippe, a-t-on appris lundi de sources parlementaires.
Les oppositions se sont insurgées contre le manque de temps entre la présentation le même jour à l'Assemblée et le vote, mais la conférence des présidents de l'Assemblée s'est prononcée contre un report du vote à mercredi.
Cette visioconférence des présidents, assez agitée, a réuni les présidents des groupes politiques et des commissions ainsi que le ministre des Relations avec le Parlement Marc Fesneau autour du titulaire du perchoir Richard Ferrand. Les LREM-MoDem y sont majoritaires.
Le patron des députés LR Damien Abad a encore estimé lundi matin sur France 2 que "cette accélération du calendrier est un déni de démocratie", demandant "24 heures de plus pour un travail de fond en commission et la consultation de nos collègues qui ne pourront siéger".
Même au sein de La République en marche, des députés comme Martine Wonner ont contesté le délai trop court pour se prononcer.
Pour étayer ce refus d'un report, M. Ferrand a souligné que la décision du gouvernement de présenter son plan devant l'Assemblée était une marque de considération du Parlement, a rapporté un participant. Un projet de loi, conséquence de cette présentation, devrait conduire l’Assemblée à être saisie avant le 11 mai sur les éléments de nature législative, a-t-il ajouté.
M. Fesneau a lui aussi souligné que le Premier ministre a fait le choix d’associer le Parlement tout de long.
En outre, plusieurs responsables d'opposition ainsi que certains "marcheurs" réclamaient deux votes, l'un sur le déconfinement, l'autre sur le traçage numérique, qui doit permettre de retrouver les contacts des porteurs du coronavirus.
Car deux votes étaient prévus initialement par le gouvernement. Le sujet du traçage avait provoqué des remous au sein même de la majorité et sa dilution dans la question du déconfinement est perçue comme une manoeuvre politique.
10h08: Le Grand Prix de France de F1, prévu le 28 juin sur le circuit Paul-Ricard, est annulé en raison de la pandémie de coronavirus, annoncent les organisateurs de l'événement.
09h48: Le chef Raoni, figure emblématique de la lutte contre la déforestation en Amazonie, a lancé un appel aux dons afin d'aider les populations indigènes à faire face au nouveau coronavirus.
«Nous avons besoin d'être ravitaillés en denrées alimentaires basiques, en produits d'hygiène, en médicaments et aussi en combustible pour pouvoir les acheminer» jusqu'aux communautés indigènes, a déclaré le cacique dans une vidéo diffusée par l'ONG française Planète Amazone, qui orchestre la campagne de dons. «Nous avons besoin de soutien financier et je me tourne donc vers vous pour soutenir ma communauté», a-t-il encore plaidé. «Sans votre aide, les peuples indigènes du Brésil ne pourront faire face à cette terrible maladie», a affirmé le chef emblématique Raoni Metuktire, 90 ans, disant qu'il allait lui-même se confiner.
09h30: Les Suisses pourront retourner chez le coiffeur, avec la réouverture de certains commerces lundi. Sous réserve de respecter les mesures-barrières, ce sont d’abord les coiffeurs, physiothérapeutes, médecins, salons de massage, fleuristes, jardineries, ainsi que les crèches qui reprendront leurs activités.
Le confinement y était moins dur qu’en Espagne. Après six semaines cloîtrés chez eux, les petits Espagnols peuvent depuis dimanche recommencer à jouer dans la rue, avec un certain nombre de restrictions comme l’absence de contacts. Le confinement a été prolongé jusqu’au 9 mai inclus, et le gouvernement présentera mardi son plan d’assouplissement.
Le même jour, le Premier ministre français, Edouard Philippe, dévoilera sa «stratégie nationale du plan de déconfinement», qui doit débuter le 11 mai, avec notamment une réouverture progressive mais controversée des écoles.
L’Italie aussi doit détailler en début de semaine les mesures qu’elle envisage à compter du 4 mai. Les écoles resteront cependant fermées jusqu’en septembre.
A Londres, le Premier ministre Boris Johnson, lui-même frappé par le virus, doit effectuer lundi un retour aux affaires très attendu.
La Norvège a rouvert les écoles pour les plus petits lundi. Une semaine après les «barnehager» qui font office de crèches et de maternelles, c’est au tour des enfants de six à dix ans de retrouver les bancs de l’école, dans des classes réduites à 15 élèves.
En Chine également, où était apparu le Covid-19 à la fin de l’année dernière, collégiens et lycéens ont fait lundi une rentrée ultra-sécurisée -avec masques et prises de température- dans les métropoles de Pékin et Shanghai, après près de quatre mois de grandes vacances pour cause d’épidémie.
«Je suis contente, ça fait trop longtemps que je n’ai pas vu mes camarades de classe», sourit Hang Huan, 18 ans, devant le lycée Chenjinglun, dans l’est de la capitale chinoise. «Ils m’ont beaucoup manqué», confie-t-elle à l’AFP, masque sur le visage et son survêtement faisant office d’uniforme.
A Pékin, seuls les lycéens de dernière année ont été autorisés lundi à revenir en classe pour préparer le «gaokao», l’examen d’entrée à l’université. A Shanghai, ce sont les élèves de dernière année de collège qui ont repris la classe.
Toutes les écoles chinoises étaient fermées depuis la fin janvier. Le pays a depuis lors jugulé l’épidémie, avec un bilan officiel de 4.633 morts, mais les autorités redoutent à présent une seconde vague de contaminations avec des cas dits «importés», en majorité des Chinois de retour au pays.
09h22: Aux Etats-Unis, le président Donald Trump n’a pas donné dimanche son habituel briefing coronavirus, après les sarcasmes suscités par ses recommandations («ironiques», a-t-il assuré après coup) sur l’injection de désinfectant dans le corps des patients.
Il s’est contenté de lancer ses habituelles piques contre la presse: les médias «désespèrent de créer une impression de chaos», a-t-il twitté.
Aux Etats-Unis aussi, la reprise se prépare, comme dans l’Etat de New York, où certaines activités manufacturières et des chantiers pourraient reprendre après le 15 mai.
Pour survivre, les «food trucks» vont d’ores et déjà chercher les clients là où ils sont confinés en télétravail.
«On aime bien cuisiner, mais la diversité des restaurants de la ville nous manque, alors on se fait une petite folie», témoigne Elise Blake, une professeure de musique de 37 ans, descendue chercher sa commande au «Dirty South Deli» (DSD), qui est venu se garer dans sa rue de Brookland, quartier résidentiel du nord-est de la capitale américaine.
06h33: La pandémie a fait au moins 204.696 morts dans le monde depuis son apparition en décembre en Chine, selon un bilan établi par l'AFP à partir de sources officielles dimanche à 19H00 GMT. Plus de 2,9 millions de cas ont été diagnostiqués dans 193 pays et territoires. Les Etats-Unis sont le pays le plus touché, avec 54.175 décès et près de 956.292 infections confirmées. Suivent l'Italie (26.644) décès, l'Espagne (23.190), la France (22.856) et le Royaume-Uni (20.732). Les chiffres britanniques ne prennent toutefois pas en compte les maisons de retraite où plusieurs milliers de personnes âgées sont mortes, selon des représentants du secteur. En proportion de la population, hors micro-Etats, c'est en Belgique que la mortalité est la plus élevée (612 morts par million d'habitants), devant l'Espagne (496), l'Italie (441), la France (350) et le Royaume-Uni (305). Les Etats-Unis (164) arrivent loin derrière.
06h12: Le Premier ministre britannique Boris Johnson est rentré dimanche soir dans sa résidence de Downing Street à Londres au terme de plus de deux semaines de convalescence après avoir été atteint par le nouveau coronavirus. Israël a rouvert ce dimanche tous les commerces, à l'exception des centres commerciaux. L'Arabie saoudite a partiellement assoupli son couvre-feu total - à l'exception notamment de La Mecque -, et va intensifier les tests de dépistage.
05h32: En Espagne, les enfants, strictement confinés depuis la mi-mars, peuvent désormais sortir une heure par jour. Mais ils n'ont pas le droit de jouer avec d'autres enfants, de sortir sans un adulte ou de s'éloigner à plus d'un kilomètre de leur domicile. - La Chine a assuré avoir saisi quelque 89 millions de masques non conformes, dans un effort pour dissiper les craintes à propos de la qualité du matériel médical exporté.
05h03: En France, la police a réalisé une saisie record de 140.000 masques destinés à être vendus illégalement, dans un quartier pavillonnaire de région parisienne. Plusieurs dizaines de pays ou territoires dans le monde ont rendu obligatoire le port du masque dans l'espace public. Après Lagos (Nigeria), le Burkina Faso et la ville de Mexico l'imposent à partir de lundi.
Vos réactions
L'honneur sera toujours sauf, même si on ajoute ces 9000 décès supplémentaires, on sera encore deuxième derrière les U.S. (mais premiers en Europe)
Oh comme c'est bizarre, ce soir, il y a le double de décès d'hier ?
On nous avait pourtant annoncé une baisse spectaculaire hier !
Et là, personne pour nous parler de cette hausse tout aussi spectaculaire ?
Il est où Salomon pour nous expliquer cet écart incompréhensible ?
Plus inquiétant ce soir, toutes les courbes connaissent une inflexion haussière.
> Les personnes nouvellement infectées
> les hospitalisées
> les réanimations
> les décès
Possible que ce soit le "rattrapage des chiffres du weekend", on verra demain si ça se confirme ou pas.
Et demain, à quoi faut-il s'attendre, plus ou moins que ce soir ... après le discours de Philippe ?
Parce que vous croyez que les corps sont testés hors hôpital ?
Pas "testé" mais si selon le médecin le décès est suspecté ou avéré Covid 19, les cases à cocher sur le certificat de décès ne seront pas les mêmes, et le traitement du corps du défunt ne sera pas le même non plus.
Une fois remontés tous ces certificats de décès, il sera assez simple de quantifier assez précisément le nombre de décès à domicile causés par le Covid19 .
Ce n'est compté dans aucun pays parce que c'est juste impossible.
Pour rappel, il y a eu 612 000 décès en France en 2019, sans Covid ....
"Impossible" ??
Et les certificats de décès ??
est ce qu 'un jour en France , on peut être optimiste au lieu de raler , chialer et vivre la vie avec ses hauts et bas . je regrette vraiment la mentalité des années 1990
Il est bien d'écrire « au moins » car il y en a certainement davantage. Dur de comptabiliser exactement la totalité des décès, tous n'étant pas forcément déclarés.
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