Hallyday - Jean-Claude Camus: "On n'a pas le droit de dire que Johnny était en état de faiblesse. On le salit et ce n'est pas de Los Angeles que c'est parti !"

Jean-Claude Camus était ce soir invité de BFM TV après avoir parlé hier sur la chaîne RTL, il a souhaité prendre la parole et répondre aux questions de Ruth Elkrief.

Concernant son conflit avec Johnny, il a affirmé:

"Ce n'est pas Laeticia qui m'a fâché avec Johnny, c'est le producteur Gilbert Coullier et ses 12 millions. C'est lui qui en proposant cette somme a Johnny a provoqué un problème entre nous. Et puis ensuite c'est grâce à Laeticia que nous nous sommes réconciliés, c'est elle qui a souhaité que nous nous rapprochions à nouveau".

"Tout ça me bouleverse, et j'espère qu'on va retrouver de la sagesse dans la famille. On n'a pas le droit de dire que Johnny était en état de faiblesse. On le salit et ce n'est pas de Los Angeles que c'est parti, mais il aurait été plus sage de parler avec des avocats. Laura est une personne fragile, ça va mieux aujourd'hui, mais la mort de son père n'a pas du arranger les choses. Laeticia était ouverte à les recevoir. Il a acheté deux appartements à Laura, il lui versait de l'argent et David a une partie de sa maison.

Et Jean-Claude Camus d'employer la même expression que Hélène Darroze pour qualifier l'état d'esprit de Laeticia: "Elle pleure toute la journée, mais elle ne pleure pas sur l'héritage, elle pleure Johnny."

Interrogé sur le fait que Mamie Rock soit aux commandes des sociétés de Johnny, Jean-Claude Camus a expliqué qu'il n'avait pas d'explications et que parfois "Johnny partait dans ses délires comme quand il a voulu s'installer en Suisse".