La miss météo du "Grand Journal" Ornella Fleury ne veut plus aller sur les réseaux sociaux: "Je veux me préser­ver!"

Dans un entretien accordé au Figaro, Ornella Fleury, la Miss Météo de Canal, affirme avoir décidé de se préserver en évitant les réseaux sociaux. Il faut dire qu'elle est devenue la cible de nombeuses critiques suite à quelques sketchs humoristiques incompris.

Rappelons par exemple que la chronique sur Jonah Hill, qui s'est senti humilié et vexé, n'a pas fait l'unanimité. Un épisode qu'elle n'a toujours pas digéré.

"Sur le moment, les gens riaient donc je n'ai pas pris conscience qu'il était dans un mauvais délire. Quand il a dit qu'il s'était fait insulter par une journaliste locale, j'étais dans la rigolade et j'ai pensé qu'il me faisait une vanne, raconte-t-elle. Je n'avais pas entendu sa remarque comme quoi 'moi aussi je devais me faire sodomiser'. C'était assez dingue parce que je lui parlais des personnages de ses films et pas de lui personnellement. Ça m'a fait de la peine parce que je l'adore vraiment, ça faisait une semaine que je me réjouissais de le rencontrer et je pensais le faire rire en allant dans les mêmes délires que ses films. Mais pas du tout... J'étais davantage attristée de cette rencontre ratée que du buzz que ça a provoqué."

Elle affirme qu'elle a senti que cela allait être compliqué beaucoup plus tard. "J'ai senti que ça devait être compliqué pour moi parce que je rece­vais plein de textos de soutien de mes proches. Je n'ai pas pris conscience sur le moment que c'était à ce point et, quand j'ai capté, j'ai trouvé ça fou".

Ce n'est que de l'humour, finalement", renchérit-elle pour corroborer son propos. "J'ai du mal à conce­voir que ma petite personne puisse bras­ser autant de bordel alors que je ne suis là que deux minutes par soir".

Et de conclure: "Je savais que le Grand Jour­nal serait scruté durant cette rentrée mais à ce point... Pour me préser­ver, je ne vais plus sur les réseaux sociaux depuis un mois car, malheu­reu­se­ment, les gens confondent la vie et les réseaux sociaux. Et j'es­père que Twit­ter ne reflète pas notre vraie vie"."