
Arnaud Robinet, le maire UMP de Reims, s'oppose catégoriquement à la possibilité d'une inhumation des frères Kouachi dans un cimetière de la: commune où résidait depuis deux ans, Saïd, l'ainé des deux djihadistes auteurs de l'attentat contre Charlie Hebdo.
"Si la demande en était faite, je ferais tout ce qui est en mon pouvoir pour m'opposer à l'inhumation de l'un ou l'autre de ces individus à Reims", a expliqué le maire de la cité des sacres qui évoque un trouble à l'ordre public.
"Dans cette éventualité, je prendrai un arrêté en attendant un arbitrage de l'Etat", a-t-il ajouté.
"Je refuse qu'il y ait dans la commune une sépulture qui serve de lieu de recueillement ou de pèlerinage pour des fanatiques, ou de défouloir à des haines multiples", a estimé M. Robinet.
Selon lui, une personne décédée peut être enterrée dans la commune de résidence, dans la ville du décès ou dans un éventuel caveau de famille.
D'après les enquêteurs, Saïd Kouachi habitait à Reims depuis environ deux ans et son frère Chérif résidait à Gennevilliers.
Les deux frères Kouachi ont été abattus vendredi 9 janvier lors d'un assaut mené à Dammartin-en-Goële (Seine-et-Marne).
A ce stade, aucune indication n'a été donnée de la part des familles ou des autorités, sur les lieux et conditions des obsèques des frères Kouachi.
Vos réactions
A l’équarrissage, ce serai insulter les animaux.
Dans une poubelle et retour chez alquaida.
Je ne serai pas contre
Aucune fleur ne poussera je pense après avoir mis cet engrais !
Il a bien raison le maire
Foutez moi ces 2 cons dans la fosse commune et qu'on n'en parle plus
On les transforme en engrais pour les fleurs de la commune ...
Aucune fleur ne poussera je pense après avoir mis cet engrais !
A l’équarrissage, ce serai insulter les animaux.
Dans une poubelle et retour chez alquaida.
Une cordelette mal ajustée autour de deux poignets frêles, la porte d'un fourgon insuffisamment verrouillée, une fillette terrorisée à l'à-propos phénoménal : le hasard et le courage d'une proie ont mis fin, le 26 juin 2003, à l'errance criminelle dont répondent à partir de jeudi, pendant deux mois, Michel et Monique Fourniret.
Sept rapts, généralement suivis de viol et de meurtre, des victimes dont la plus âgée avait 22 ans et la plus jeune, 12 ans seulement. Sept crimes commis entre 1987 et 2001, dénoncés par l'épouse, reconnus par l'époux, ce qui rend en l'espèce extrêmement théorique la notion de présomption d'innocence. Pas uniquement reconnus, d'ailleurs. Et là réside la singularité de Michel Fourniret, 66 ans : si la cour d'assises des Ardennes décide, fin mai, qu'il est bien un tueur en série, et que Monique, née Olivier il y a 59 ans, fut sa complice, il importe peu de le placer au sein d'un classement quantitatif et douteux.
Si M. Fourniret est bien celui qu'il prétend être, alors il serait à ce jour le seul tueur en série français qui revendique haut et fort ses abominations. Car ces gens-là, une fois dans le box, apparaissent comme honteux : si le remords leur est étranger, le procès porte un coup définitif à leur quête de toute-puissance. Alors, ils avouent a minima, comme Patrice Alègre ; ils nient l'évidence, comme Émile Louis ; ils racontent leurs actes en censurant les passages qui leur sont le plus défavorables, comme Guy Georges. Les Fourniret, eux, ne cachent rien. Surtout Michel.
Les faits, donc, tels que l'accusation les a collectés, sur la base des aveux passés par leurs auteurs présumés. Il est difficile d'en parler ici et maintenant, avant que le débat contradictoire soit ouvert à Charleville-Mézières. Comme tous les crimes, ils sont affreux, injustes, inacceptables. Résumons, seulement, à travers des dates, et ne gardons en tête que les noms des victimes. Décembre 1987 : Isabelle Laville, 17 ans, près d'Auxerre. Août 1988 : Fabienne Leroy, 20 ans, près de Mourmelon (Marne). Mars 1989 : Jeanne-Marie Desramault, 21 ans, à Charleville-Mézières. Décembre 1989 : Élisabeth Brichet, 12 ans, près de Namur (Belgique). Novembre 1990 : Natacha Danais, 13 ans, à Rezé (Loire-Atlantique). Mai 2000 : Céline Saison, 18 ans, à Charleville-Mézières. Mai 2001 : Mananya Thumpong, 13 ans, à Sedan.
Il ressort des aveux de 2003 que Fourniret, seul ou avec Monique Olivier, piégeait ses proies. Elles étaient mises en confiance pour qu'elles acceptent de monter dans un véhicule, ou d'entrer chez eux. Un jour, Monique Olivier, seule au volant, attire une jeune fille sur le siège passager. Un peu plus loin, elle s'arrête pour laisser monter, à l'arrière, un auto-stoppeur muni d'un jerrican, comme s'il s'agissait d'un automobiliste en panne sèche. Fourniret, bien sûr, déjà enchanté de trouver à sa merci un «beau petit sujet». La manière dont il évoque ses victimes, avec froideur et dédain, résume sa conception de l'humanité : un système centré sur lui-même, peuplé d'êtres pour lesquels il n'éprouve aucun sentiment et qu'il massacre avec délectation.
A la manière de LandruAu commencement était le pacte, passé entre les deux futurs époux. Lui, est en prison, à Fleury-Mérogis, pour de multiples agressions sexuelles. Elle, répond à la petite annonce qu'il a passée dans un périodique catholique, car il souhaite correspondre. Un peu à la manière de Landru, sauf qu'il recrute non pas une victime mais une complice. De manière épistolaire, un contrat est passé, aux termes duquel chacun trouve son compte. Lui, éliminera l'ancien mari de son égérie qu'il surnomme à la russe «Natouchka», car ce pédant aime à citer les grands auteurs, notamment Dostoïevski ; elle, l'aidera à trouver des vierges, obsession de Fourniret qui place au pinacle de ses valeurs personnelles la «pureté», mais désigne les adolescentes qui l'intéressent d'une méprisante expression : «membrane sur pattes» ou plus familièrement, à force d'habitude, pour ne pas perdre de temps, «MSP». À ces crimes, s'ajoutent d'autres meurtres, utilitaires ceux-là. On tue ainsi une femme pour s'emparer, à l'issue d'un scénario rocambolesque, de l'or dissimulé par le gang des postiches, avec lequel on s'achète un château, car on a le goût de la munificence quand on s'appelle Fourniret.
Une cour d'assises, un bloc de douleur du côté des parties civiles, un box, deux accusés. Un tueur présumé, méthodique, fier de lui, dépourvu de tout regret. À ses côtés, une femme à l'intelligence très supérieure à la moyenne selon les psychologues, qui tentera de se faire passer pour une semi-demeurée assujettie à un tyran parce qu'elle encourt la même peine que lui la plus lourde. Afin de ne laisser échapper aucune chance, elle répondra à chacune des questions qui lui sera posée, quand son mari laisse planer le doute sur ses intentions.
Il aura fallu la fuite d'une fillette belge de 13 ans pour provoquer une perquisition, une double interpellation, des aveux, la découverte d'ossements soigneusement enfouis, et enfin ce procès. Fourniret, qui entend feindre d'organiser les mystères qui le dépassent, ira jusqu'à prétendre qu'il avait lui-même voulu se «saborder», comme si sa chute faisait partie de son plan. «Quand on compare la cruauté de l'homme à celle des fauves, on fait injure à ces derniers», écrivait son idole, Dostoïevski.
Dans certains pays, tous les jours il y a bien de vieux babouins qui épousent des enfants de douze ans et moins ... et en toute légalité suivant les lois ancestrales de ces pays ... finalement, ils se ressemblent !
Une cordelette mal ajustée autour de deux poignets frêles, la porte d'un fourgon insuffisamment verrouillée, une fillette terrorisée à l'à-propos phénoménal : le hasard et le courage d'une proie ont mis fin, le 26 juin 2003, à l'errance criminelle dont répondent à partir de jeudi, pendant deux mois, Michel et Monique Fourniret.
Sept rapts, généralement suivis de viol et de meurtre, des victimes dont la plus âgée avait 22 ans et la plus jeune, 12 ans seulement. Sept crimes commis entre 1987 et 2001, dénoncés par l'épouse, reconnus par l'époux, ce qui rend en l'espèce extrêmement théorique la notion de présomption d'innocence. Pas uniquement reconnus, d'ailleurs. Et là réside la singularité de Michel Fourniret, 66 ans : si la cour d'assises des Ardennes décide, fin mai, qu'il est bien un tueur en série, et que Monique, née Olivier il y a 59 ans, fut sa complice, il importe peu de le placer au sein d'un classement quantitatif et douteux.
Si M. Fourniret est bien celui qu'il prétend être, alors il serait à ce jour le seul tueur en série français qui revendique haut et fort ses abominations. Car ces gens-là, une fois dans le box, apparaissent comme honteux : si le remords leur est étranger, le procès porte un coup définitif à leur quête de toute-puissance. Alors, ils avouent a minima, comme Patrice Alègre ; ils nient l'évidence, comme Émile Louis ; ils racontent leurs actes en censurant les passages qui leur sont le plus défavorables, comme Guy Georges. Les Fourniret, eux, ne cachent rien. Surtout Michel.
Les faits, donc, tels que l'accusation les a collectés, sur la base des aveux passés par leurs auteurs présumés. Il est difficile d'en parler ici et maintenant, avant que le débat contradictoire soit ouvert à Charleville-Mézières. Comme tous les crimes, ils sont affreux, injustes, inacceptables. Résumons, seulement, à travers des dates, et ne gardons en tête que les noms des victimes. Décembre 1987 : Isabelle Laville, 17 ans, près d'Auxerre. Août 1988 : Fabienne Leroy, 20 ans, près de Mourmelon (Marne). Mars 1989 : Jeanne-Marie Desramault, 21 ans, à Charleville-Mézières. Décembre 1989 : Élisabeth Brichet, 12 ans, près de Namur (Belgique). Novembre 1990 : Natacha Danais, 13 ans, à Rezé (Loire-Atlantique). Mai 2000 : Céline Saison, 18 ans, à Charleville-Mézières. Mai 2001 : Mananya Thumpong, 13 ans, à Sedan.
Il ressort des aveux de 2003 que Fourniret, seul ou avec Monique Olivier, piégeait ses proies. Elles étaient mises en confiance pour qu'elles acceptent de monter dans un véhicule, ou d'entrer chez eux. Un jour, Monique Olivier, seule au volant, attire une jeune fille sur le siège passager. Un peu plus loin, elle s'arrête pour laisser monter, à l'arrière, un auto-stoppeur muni d'un jerrican, comme s'il s'agissait d'un automobiliste en panne sèche. Fourniret, bien sûr, déjà enchanté de trouver à sa merci un «beau petit sujet». La manière dont il évoque ses victimes, avec froideur et dédain, résume sa conception de l'humanité : un système centré sur lui-même, peuplé d'êtres pour lesquels il n'éprouve aucun sentiment et qu'il massacre avec délectation.
A la manière de LandruAu commencement était le pacte, passé entre les deux futurs époux. Lui, est en prison, à Fleury-Mérogis, pour de multiples agressions sexuelles. Elle, répond à la petite annonce qu'il a passée dans un périodique catholique, car il souhaite correspondre. Un peu à la manière de Landru, sauf qu'il recrute non pas une victime mais une complice. De manière épistolaire, un contrat est passé, aux termes duquel chacun trouve son compte. Lui, éliminera l'ancien mari de son égérie qu'il surnomme à la russe «Natouchka», car ce pédant aime à citer les grands auteurs, notamment Dostoïevski ; elle, l'aidera à trouver des vierges, obsession de Fourniret qui place au pinacle de ses valeurs personnelles la «pureté», mais désigne les adolescentes qui l'intéressent d'une méprisante expression : «membrane sur pattes» ou plus familièrement, à force d'habitude, pour ne pas perdre de temps, «MSP». À ces crimes, s'ajoutent d'autres meurtres, utilitaires ceux-là. On tue ainsi une femme pour s'emparer, à l'issue d'un scénario rocambolesque, de l'or dissimulé par le gang des postiches, avec lequel on s'achète un château, car on a le goût de la munificence quand on s'appelle Fourniret.
Une cour d'assises, un bloc de douleur du côté des parties civiles, un box, deux accusés. Un tueur présumé, méthodique, fier de lui, dépourvu de tout regret. À ses côtés, une femme à l'intelligence très supérieure à la moyenne selon les psychologues, qui tentera de se faire passer pour une semi-demeurée assujettie à un tyran parce qu'elle encourt la même peine que lui la plus lourde. Afin de ne laisser échapper aucune chance, elle répondra à chacune des questions qui lui sera posée, quand son mari laisse planer le doute sur ses intentions.
Il aura fallu la fuite d'une fillette belge de 13 ans pour provoquer une perquisition, une double interpellation, des aveux, la découverte d'ossements soigneusement enfouis, et enfin ce procès. Fourniret, qui entend feindre d'organiser les mystères qui le dépassent, ira jusqu'à prétendre qu'il avait lui-même voulu se «saborder», comme si sa chute faisait partie de son plan. «Quand on compare la cruauté de l'homme à celle des fauves, on fait injure à ces derniers», écrivait son idole, Dostoïevski.
On les transforme en engrais pour les fleurs de la commune ...
Qu'on les laissent pourrir sur un tas d'ordures c'est tout ce qu'ils méritent.
Il n'y a qu'a les balancer a l'équarrissage !!
Incinération et on en parle plus!
Donnez les a bouffer aux cochons ,ca va pas non moi je mange du porc je tiens pas a les bouffer moi ces deux là.
Enterrez les près de l'usine Cochonou ou Herta !
qu'ils ALLAssent au diable
Direction => le YEMEN : le Qatar, l'Arabie Saoudite vont bien leur payer le billet d'avion.
a jeter en fosse comune c tout
il faut les bruler et hop dans les chiottes les cendres
Bravo Monsieur le Maire. Je ne vous connais pas mais je salue cette décision.
Je suis fière de vivre dans votre ville.
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