21/11/2013 15:04

EN DIRECT - Le tireur avait annoncé sa volonté de se suicider et mettait en cause les médias et "un complot fasciste" (Procureur)

15h05 : Abdelhakim Dekhar est actuellement entendu par la police selon BFMTV

11h50: Conférence de presse du procureur de la République de Paris
Abdelhakim Dekhar est en garde à vue pour "tentatives d'assassinat" pour ses actes à Libération, BFM TV et Société Générale. Egalement mis en garde à vue pour séquestration pour la prise d'otage de lundi.

Il n'a pas été identifié par son ADN car en 98 seuls les auteurs d'infractions sexuelles étaient fichés.

La personne qui a hébergé le tireur avait l'avait rencontré à Londres il y 13 ans et l'hébergé en France de façon régulière.

Il serait resté chez lui de juillet à septembre 2013 et serait revenu le 13 novembre.

Le tireur reconnu par son hébergeur a affirmé vouloir mettre fin à ses jours.

Dans la voiture il y avait une paire de lunettes qui est celle des vidéos et une lettre avec ses dernières volonté.

Un complot fasciste mettant en cause les médias.

Le tireur est désormais en état d'être entendu par les enquêteurs

11h31: Abdelhakim Dekhar, hospitalisé à l'Hôtel-Dieu, se trouve dans un état stable selon BFM TV

09h29: François Hollande a salué "l'efficacité des services de police et de justice" après l'arrestation d'un homme soupçonné d'avoir tiré les coups de feu à Libération et à la Défense.

"Le président de la République tient à saluer l'efficacité des services de police et de justice qui ont travaillé sans relâche pour l'arrestation de l'auteur présumé des agressions perpétrées à BFMTV et au journal Libération", déclare un communiqué de l'Elysée.

09h02: Le directeur de publication de Libération Nicolas Demorand a fait part jeudi à l'AFP de son "soulagement immense" après l'arrestation d'Abdelhakim Dekhar, identifié par les analyses ADN comme le tireur de Libération, et a affirmé que l'assistant photographe gravement blessé allait "bien".

07h48: Manuel Valls, invité de RTL, confirme que "un ou des courriers" ont été retrouvés aux côtés de l'homme arrêté hier

07h45: Selon BFM TV, une "assez longue" lettre "délirante" du tireur présumé, arrêté mercredi soir, a été retrouvée par les enquêteurs.

Elle est bien écrite de la main d'Abdelhakim Dekhar.

Selon BFM TV, il évoque dans ce texte la Libye, la Syrie, et plus généralement la situation actuelle dans le monde arabe.
Une source proche du dossier évoque "un charabia", "un délire".

02h12: Après plusieurs jours de traque fiévreuse, le tireur de Libération a été interpellé et confondu par son ADN : Abdelhakim Dekhar, condamné pour avoir fourni l'arme dans l'affaire Florence Rey-Maupin en 1994, devrait être entendu rapidement.

Retrouvé "semi-inconscient" dans une voiture mercredi soir, sans doute après avoir pris des médicaments, le tireur présumé a été immédiatement placé en garde à vue médicalisée.

"Tout semble montrer qu'il a tenté de se suicider", a expliqué Manuel Valls dans la nuit de mercredi à jeudi.

"Tous les faits aujourd'hui démontrent son implication", a déclaré le ministre de l'Intérieur devant le 36 Quai des Orfèvres.

Les résultats de l'analyse ADN avaient montré que M. Dekhar était bien celui qui avait tiré à Libération et La Défense, avant de prendre un automobiliste en otage.

Il a été trouvé vers 19H00 dans une voiture garée dans un parking souterrain de Bois-Colombes (Hauts-de-Seine), grâce au témoignage d'un homme qui l'hébergeait de temps en temps et qui a eu des "doutes" et des "inquiétudes", a raconté Christian Flaesch, le patron de la PJ.

Les enquêteurs ont pris certaines précautions, redoutant que le véhicule ou que le suspect soit piégé.

"Il a été soigné, il sera sans doute sur pied très rapidement pour que l'enquête puisse se poursuivre et évidemment qu'il soit interrogé", a précisé M. Valls.

Abdelhakim Dekhar, surnommé "Toumi" à l'époque, avait été condamné à quatre ans de prison en 1998 pour complicité dans l'affaire Florence Rey-Audry Maupin, pour avoir acheté le fusil à pompe qui avait servi à l'équipée sanglante des deux jeunes gens qui avait fait cinq morts, trois policiers, un chauffeur de taxi et Audry Maupin, le 4 octobre 1994 à Paris.

Cheveux courts et lunettes à la Malcom X, c'était au début des années 90 un habitué des squats fréquentés par la gauche radicale, souvent sous étroite surveillance policière.

Lors du procès, Abdelhakim Dekhar, alors âgé de 33 ans, avait vainement tenté de persuader la cour qu'il était un agent en mission de la Sûreté militaire algérienne, chargé d'infiltrer les milieux autonomes pour en débusquer d'éventuels intégristes. Condamné exactement à la durée de sa détention provisoire, il avait été libéré dans la foulée.

Il est "probablement" parti à l'étranger" sur la période qui a suivi, selon Manuel Valls, mais son parcours et ses motivations restent largement inconnues.

Les enquêteurs devront aussi déterminer "pourquoi il n'était pas sur les fichiers qui auraient pu permettre de l'identifier".

Comme Manuel Valls, la garde des Sceaux Christiane Taubira a salué "l'efficacité des services de police judiciaire et des parquets saisis" dans un communiqué.

Le profil génétique du tireur parisien avait été établi grâce à l'ADN détecté sur plusieurs scènes de crime depuis le début de la semaine.

Les empreintes génétiques ont permis aux enquêteurs d'acquérir la certitude qu'un même homme est l'auteur de l'attaque de lundi à Libération, où un assistant photographe a été grièvement blessé, des tirs qui ont suivi sans faire de victime à La Défense ainsi que de la prise d'otage d'un automobiliste dans la foulée.

Les enquêteurs sont également persuadés que c'est le même homme qui a fait irruption vendredi dernier au siège de BFMTV, menaçant un de ses rédacteurs en chef.

Depuis l'appel à témoin lancé lundi soir et au fil de la diffusion d'images tirées de la vidéosurveillance montrant le tireur, des centaines de témoignages ont été recueillis.

Le jeune assistant photographe qu'il a blessé au thorax et à l'abdomen lundi à Libération "a pu être réveillé et sevré de ventilation artificielle", selon l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière, mais restait "en réanimation pour une surveillance clinique".

 

Mercredi 20 novembre

 

23h37: Voici le visage de l'homme en garde à vue ce soir à côté de la photo diffusée par la police

23h05 : Les résultats des analyses ADN de la personne interpellée ce soir seront connus vers 1 ou 2 heures du matin

22h35 : Selon BFMTV, l'homme interpellé est Abdelhakrim Dekhar, condamné en 1998 dans l'affaire Rey-Maupin, un fait divers qui s'est déroulé en région parisienne en 1994.

En octobre 1994, à Paris, Florence Rey et Audry Maupin, âgés d'une vingtaine d'années, dérobent des armes à la pré-fourrière de la porte de Pantin avant d'être arrêtés place de la Nation à bord d'un taxi qu'ils ont pris en otage. Une fusillade éclate et fait trois morts (le chauffeur de taxi et deux policiers). 

Le couple parvient à prendre la fuite en prenant un autre automobiliste en otage. A Vincennes, un motard qui les suivait est abattu. Un autre tire sur Maupin et le tue.

Arrêtée, Florence Rey est condamnée à vingt ans de réclusion criminelle.

Abdelhakrim Dekhar avait fourni le fusil à pompe au couple Rey-Maupin

21h05 : L'interpellation du suspect fait suite à un témoignage recueilli à Courbevoie

20h52 : L'ADN du suspect en garde à vue est en cours d'analyse. Le profil génétique du tireur ayant déjà été établi, les résultats de cette analyse devraient être transmis aux policiers dans un délai d'environ quatre heures pour formellement incriminer ou innocenter ce suspect.

20h35 : Selon les informations d'Europe 1, l'homme interpellé a pris des médicaments, peut-être dans l'optique de se suicider

20h20 : L'homme interpellé va être transporté à l'hôpital selon BFMTV

20h06: Le parquet de Paris annonce qu'un homme est en garde à vue ce soir

L'interpellation a eu lieu à Bois Colombes dans un parking vers 19h00
Il aurait une forte ressemblance avec le tireur

13h20: Selon iTélé, le tireur parisien recherché depuis lundi n'est pas fiché

09h58: Nathalie Kosciusko-Morizet, candidate UMP à la mairie de Paris, a souhaité aujourd'hui que la traque du tireur de Libération fasse "enfin faire réfléchir" ceux qui rechignent à la vidéosurveillance, comme, selon elle, la majorité PS parisienne.
Alors que des images de l'homme recherché par la police ont été capturées par des caméras dans le métro et ailleurs, la députée a argumenté sur Europe 1 : "J'espère que ce qui se passe va enfin faire réfléchir tous ceux qui, depuis des années, sont tellement réticents vis-à-vis de la vidéosurveillance".

09h44: L'ADN confirme l'hypothèse d'un auteur unique, selon le procureur de Nanterre

07h19: Un homme, possiblement armé d'un fusil d'assaut, le visage dissimulé par un foulard, a été aperçu mardi après-midi par des témoins à Périgueux où il est recherché par la police, qui, par précaution, a renforcé ses patrouilles aux abords des médias et écoles.

D'après des témoignages, cet homme portait un foulard remonté jusqu'au niveau des yeux et était muni d'un fusil, a précisé une source policière, sans pour autant se risquer à faire un rapprochement avec le tireur ayant grièvement blessé lundi un photographe au siège de Libération à Paris.

07h11: Les enquêteurs sur la piste de l'homme qui a ouvert le feu à Paris ont reçu près de 700 appels en 24 heures.

Environ 300 informations ont été étudiées avec une attention particulière.

06h01: Début d'une nouvelle journée de traque

 

Mardi 19 novembre

 

15h25: L'assistant-photographe du journal "Libération" est sorti du coma artificiel selon Le Nouvel Obs

14h55: Plusieurs personnes ont été interpellées ou contrôlées depuis lundi dans le cadre de l'enquête sur le tireur isolé qui a blessé grièvement un jeune homme à Libération, mais ces interpellations n'ont rien donné, a-t-on appris mardi de sources proches de l'enquête.

14h10: Selon plusieurs médias, l'homme qui a été interpellé correspondait au signalement, mais a été relâché, il ne s'agissait pas du tireur.

14h08: La Police Judiciaire dément l'information auprès de plusieurs médias, tels que Le Monde, Libération...

13h55: Le tireur solitaire a été arrêté à Paris dans le 7ème arrondissement selon Le Parisien qui vient de l'annocer sur son site internet.

13h13: Les enquêteurs lancés à la recherche du tireur qui s'est est pris à Libération, BFMTV et à une tour de la Société Générale ont effectué "tout un travail sur (son) ADN", a déclaré mardi le ministre de l'Intérieur Manuel Valls.

11h44: Jean-Marc Ayrault a assuré que les forces de police, qui travaillent "sans relâche", "trouveront" l'auteur des coups de feu au journal Libération à Paris et à La Défense pour qu'il soit "jugé et condamné".

10h22: "J'ai assez d'explosifs pour faire sauter ta bagnole", a lancé le tireur, selonLe Figaro, à l'automobiliste qu'il a brièvement pris en otage, hier vers 12h25.

10h37: Une nouvelle photo du suspect, où son visage est visible très clairement pour la première fois, publiée par le reporter Jean-Paul Ney sur son site infodefense.com

09h54: L'automobiliste pris en otage par le tireur de Libération et de La Défense a indiqué aux enquêteurs que l'homme lui avait dit "sortir de prison, être prêt à tout, et avoir une grenade" dans son sac, selon une source judiciaire à l'AFP.

"Il a dit à l'otage sortir de prison, être prêt à tout et avoir une grenade sur lui", a indiqué mardi cette source, confirmant une information de BFMTV. Le suspect, un homme âgé de 35 à 45 ans, restait, au lendemain de l'appel à témoins lancé par les enquêteurs, introuvable. Il n'a toujours pas été identifié, selon une source proche du dossier.

09h36: Les enquêteurs chargés de retrouver l'homme soupçonné d'avoir ouvert le feu à Libération puis sur une banque de la Défense hier, disposent de "nombreux éléments" d'enquête, mais le suspect, qui leur échappe, n'a "toujours pas été identifié", a annoncé aujourd'hui une source proche du dossier.

08h48: L'assistant photographe blessé hier dans le hall d'entrée de Libération par un homme armé d'un fusil "va un peu mieux" mais reste "dans un état critique", a annoncé ce matin le directeur de la publication du journal, Nicolas Demorand.

06h11: L'homme, soupçonné d'avoir grièvement blessé lundi un assistant-photographe du journal Libération à Paris et d'avoir tiré sur une banque, restait introuvable mardi matin, après l'appel à témoins lancé par les enquêteurs.

Qualifié de "véritable danger" par le ministre français de l'Intérieur, Manuel Walls, cet homme âgé de 35 à 45 ans, de type européen, a jusqu'ici réussi à passer entre les mailles du filet des enquêteurs de la brigade criminelle.

"Arrêter celui qui a tenté de tuer et qui peut tuer encore": le président français François Hollande en a fait une priorité.

Manuel Valls a promis de "tout faire" pour interpeller cet homme.

Le ministre de l'Intérieur a même reconnu qu'il y avait "évidement un sentiment d'inquiétude". "Tant qu'il n'a pas été interpellé, nous savons qu'il peut agir", a-t-il déclaré.

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LUNDI 18 NOVEMBRE

 

19h49: Une nouvelle photo du suspect publiée ce soir par la Préfecture de Police

18h31: "Les journalistes de LIbération arrivés avant la police ont vu un homme à terre, la flaque de sang au sol, des choses qu'on peut voir dans une guerre", a raconté lundi soir Fabrice Rousselot, directeur d'une rédaction "sous le choc" après l'attaque de Libération lundi matin par un homme armé, blessant grièvement un assistant photographe.

"La question qui revenait sans cesse était de savoir comment allait ce jeune assistant, qui venait travailler à Libération pour la première fois.

Maintenant il est sorti du bloc opératoire les médecins sont un peu plus optimistes", a-t-il confirmé devant le siège du journal.

"Le journal a été à l'arrêt une bonne partie de la matinée, on a ensuite réuni les chefs de service pour préparer l'évènement de demain, qui sera évidemment consacré à cette attaque contre le journal", a ajouté M. Rousselot.

18h22: Le jeune homme blessé ce matin dans le hall de Libération a été opéré pendant plus de 6 heures (BFM TV)

17h25: BFM TV diffuse pour la première fois la vidéo de l'homme armé dans ses locaux lors de son intervention dans leurs locaux vendredi matin, tout en floutant toujours le visage de l'agresseur...

 

17h08: Conférence de presse du procureur de la République de Paris

- Le tireur a actionné la pompe de son fusil lors de son passage à BFM TV vendredi dernier

- Deux cartouches de calibre 12 ont été découvertes

- Ce matin également 2 coups de feu ont été tirées. L'homme blessé est en réanimation et le pronostic vital est engagé

- Là encore 2 douilles de calibre 12 ont été trouvées

- Des coups de feu ont été également tirés à la Défense contre la société générale

- Un automobiliste affirme avoir été pris en otage vers midi

- La piste d'un auteur unique est privilégiée dans ces 4 affaires

- Nous recherchons un homme aux cheveux poivre et sel, avec une barbe de 2 ou 3 jours et âgé entre 35 et 40 ans.

Le procureur demande de rentrer en contact sans délai avec la police de paris 0800.00.27.08

 - Aucune piste n'est privilégiée dans l'immédiat

16h52: Un des rédacteurs en chef de BFM TV raconte son face à face avec le tireur vendredi dans le hall d'entrée de la chaine d'information

 

16h43: BFM TV décide de publier l'image mais... en floutant le visage du tireur, alors que la photo a été prise dans leurs propres locaux  !

16h38: iTélé publie à son tour une image du suspect

 

 

16h25: Nouvelles images du suspect publiées sur le net et sur plusieurs sites dont Infodefense.com

Il s'agit là encore d'images qui auraient été tournées par les caméras de sécurité de BFM TV

 

15h40: Fausse alerte à la Maison de la radio, l'alerte a été levée rapidement

15h26: Selon nos constatations, le site de Lbération marche à nouveau mais la rédaction affirme ne pas pouvoir le réactualiser et le mettre à jour

15h10: Sur son compte Twitter, Libération indique que le site du quotidien a été "victime d'une attaque malveillante par "déni de service" Il ne peut être mis à jour pour l'instant".

15h07: Sur les Champs-Elysées, «tous les magasins ont posté leurs vigiles sur le pas de la porte»

14h41: Contactée par 20 Minutes, la RATP assure qu'aucune consigne n'a été donnée par la Préfecture de Police quant à la fermeture de certaines stations de métro. La RATP n'est pas en mesure de confirmer, ou d'infirmer, l'information selon laquelle le suspect armé serait présent dans le métro parisien ce lundi en début d'après-midi.

14h28: Plusieurs journalistes dont Arnaud Etcheverry d'M6 publient la photo de la personne recherchée tenue par un policier.

Cette photo semble issue de la caméra de surveillance de BFM TV où l'homme était venu armé dès vendredi dernier

13h53: Selon une journaliste de France 2, le suspect armé «serait descendu dans le métro après avoir lâché sonh:Pl otage».

13h42: Le suspect a été vu sur les Champs-Elysées pour la dernière fois à 12h00, et est parti à pied après avoir laissé la Twingo braquée à un automobiliste

13h37: Les images du suspect correspondent à celles de l'agresseur de BFMTV, rapporte l'AFP

13h35:  Le tireur est agé d'une quarantaine d'années, crâne rasé, de forte corpulence

13h29: Le suspect se dirigerait actuellement vers les quais de Seine

13h26: Le suspect serait en possession de grenades dans un sac, selon iTélé

13h18: Le suspect aurait pris la fuite à bord d'une Twingo, rapporte iTélé

13h11: Selon Europe1, l'homme s'est fait déposer en haut de l'avenue George V.

Selon des informations d'Europe 1, l'individu recherché, selon l'automobiliste qui a été pris en otage, est un homme de 40-45 ans, vêtu d’une parka kaki, d'un jean clair, d’un béret ou d’une casquette.

Il porte un sac de sport noir en bandoulière.

Il a une fusil à pompe en sa possession et peut-être également des grenades.

Il se déplace désormais à pied.

13h06: Des hélicoptères de la police au dessus des Champs-Elysées à la recherche d'un tireur

13h00: L'homme a déposé son agresseur près des Champs-Elysées.

12h55: Un homme a pris en otage un automobiliste ce lundi à Puteaux, dans les Hauts-de-Seine.

Un automobiliste a été pris en otage à Puteaux dans les Hauts-de-Seine et a pris la direction des Champs-Élysées avec le ravisseur.

12h40: François Hollande a demandé au ministre de l'Intérieur, Manuel Valls, de "mobiliser tous les moyens" pour arrêter le ou les auteurs des coups de feu qui ont fait un blessé grave dans les locaux du quotidien Libération, a annoncé lundi l'Elysée.

"Le président de la République a appris avec émotion l'attaque à main armée perpétrée au siège du journal Libération", précise le communiqué de l'Elysée, rappelant que "cette agression fait suite à une tentative commise vendredi dernier dans les locaux de BFMTV".

12h10: Selon le site FranceTvInfo , un homme a tiré des coups de feu devant la tour de la Société Générale de La Défense sans faire de blessé.

"L'individu est en fuite. On ignore s'il s'agit du même homme qui a blessé par balle un photographe dans le hall de Libération, le matin même" précisent nos confrères. 

Sur Twitter, la Société Générale confirme "qu'un homme seul a ouvert le feu sur la voie publique devant les tours SG. Pas de blessé.

La police fait son travail d'enquête"

12h06: Une conférence de presse se tiendra au siège du journal à 18h, annonce Nicolas Demorand, directeur de la publication

11h59: Manuel Valls, Aurélie Filippetti, et Bertrand Delanoë sont arrivés à Libération

11h52: Harlem Désir, le numéro un du PS, a exprimé lundi son "effroi" après l'attaque contre Libération auquel il affirme sa "totale solidarité", estimant que s'en prendre à un journal, c'est viser "notre liberté à tous". 

11h35: Les bandes de vidéo-surveillance ont été saisies et seront comparées à celles de BFM TV lors de l'incident de vendredi dernier

11h30: Selon LCI, les cartouches sont identiques à celles utilisées à BFM TV vendredi dernier

11h28: Sécurité renforcée devant les médias. La police en position devant Europe1 :

11h26: Selon les témoins sur place, le tireur n'a rien dit avant de prendre la fuite, raconte sur BFM TV Fabrice Rousselot, le directeur de la rédaction de Libération

11h18: Un périmètre de sécurité a été dressé autour du siège de Libération au 11 rue Béranger (3e arrondissement) et le préfet de police de Paris Bernard Boucault était sur place.

11h14: Après avoir tiré, l'homme a pris la fuite: "L'homme est entré, a tiré deux coups de feu et est reparti" , raconte Fabrice Rousselot, le directeur de la rédaction de Libération

11h08: "Il y a des impacts de balle dans l'accueil de Libération" affirme sur BFM TV Fabrice Rousselot, le directeur de la rédaction de Libération

11h00: Le pronostic vital de la victime, qui a été touchée au thorax, est engagé

10h58: La brigade criminelle de la police judiciaire parisienne a été saisie de l'affaire.

10h35: Un homme a fait irruption lundi vers 10h15 armé d'un fusil à pompe dans le hall de Libération , dans le 3e arrondissement de Paris, et a ouvert le feu, blessant grièvement un assistant photographe du quotidien avant de prendre la fuite, a-t-on appris auprès du journal et de source policière.

Vendredi matin, un homme armé avait fait irruption dans le hall de BFMTV à Paris, menaçant des journalistes avant de fuir.

Mais il était impossible pour l'heure d'établir un lien éventuel entre les deux événements.

 

Ailleurs sur le web

Vos réactions

Portrait de missjones3
18/novembre/2013 - 15h27

Vu la photot, je signe tout de suite pour être de forte corpulence comme lui smiley

Portrait de Aceyrac
18/novembre/2013 - 15h08

Qu'il se rende !

 

Avec Taubira, il aura droit à un stage de voile aux Antilles ou un stage d'alpinisme dans les Alpes, des aides et des avantages divers et variés, ...

Portrait de mimicassbrik
18/novembre/2013 - 14h53

je ne sais si pour vous c'est la même chose mais ces temps ci je sentais comme un pétage de plombs et je ne savais d'où cela allait venir attendons de savoir , car l'image merci Mr. Morandini ne montre rien, et peut-être que c'est un acte tout a fait perso.

 

Portrait de sbisous
18/novembre/2013 - 14h50
ptiphilou02 a écrit :

nous sommes entoures de fous furieux tout de meme !

Il sufit de lire une bonne partie des commentaires

Portrait de JUJU69
18/novembre/2013 - 13h51

Comment pouvons-nous perdre un suspect à 12h00 en plein Paris ? (en plus à pied). Recherché par tout les policiers + des hélicopters. Mais ^^

 

Les taxis devraient faire grève, pour transport illégal de personne !!!!

Portrait de sisidu77
18/novembre/2013 - 13h49

ehhh!!! heu juste pour dire, y a des fou dans la droite dans la gauche alors franchement c'est de la gaminerie voir une vision tres limité de dire que c'est un extreme, tous les extremes sont dangereux mais la je pense a la famille de ce jeune, je lui souhaite de s'en sortir, et revenir vite sur le terrain.

 

Portrait de sisidu77
18/novembre/2013 - 13h45

bien dit never mind, 

tu vois apres on s'étonne de ce qu'il se produit. y a des journalistes qui se sentent intouchables et du coup  ce type d'incident choque!!  c'est ce garcon  qui a été bléssé mais aujourd'hui il faut remettre en question certains journaliste qui uses et abuses de certains droit, l 'espace de parole est une chance... et je crois que ce geste symbolise un ras le bol  d 'une presse dont l 'information galvaude parfois la réalité des faits .

 

 

Portrait de -nevermind-
18/novembre/2013 - 13h38

crâne rasé !!

 

On va encore nous sortir un extreme droite

Portrait de -nevermind-
18/novembre/2013 - 13h36

Le suspect serait en possession de grenades dans un sac, selon iTélé

 

Comment ils le savent ?? Trop fort c'est journaleux

Portrait de brems
18/novembre/2013 - 13h33
sandrine75007 a écrit :

c'est le début , la guerre civile n'est plus très loin

Je le crains également et peut-être même la guerre tout court car ça commence à vraiment sentir mauvais ici et ailleurs...

Portrait de jon1138
18/novembre/2013 - 13h33
-nevermind- a écrit :

Demain il sera libre grasse a la loi taubira

 

loi qui n'est même pas encore votée. Par contre, oui, il pourrait être libre demain grâce aux lois mal fichues mises en place sous le gouvernement précédent...

Portrait de brems
18/novembre/2013 - 13h32
-nevermind- a écrit :

Demain il sera libre grasse a la loi taubira

C'est complètemetn ça. Hier soir j'ai regardé M6, le mec a fait plusieurs cambriolages il est même pris en flag mais il ressort libre le monde à l'envers. Et en prime il est fier de dire il suffit de dire qu'on ne recommencera plus et de pleurer et c'est bon... pourquoi les flics se cassent la tête pendant des semaines sur des dossiers comme ça ???? A tout laisser faire nous allons être dans une société sans foi ni loi et ça sera chacun qui se fera justice lui même.

Mais je trouve que c'est vraiment de pire en pire en France. Ce matin libération qui se fait tirer dessus, une mère qui a tué ses trois enfants, un père qui a pendu ses deux enfants, encore un mort par balle à Marseille et à maintenant une prise d'otage...

 

Portrait de -nevermind-
18/novembre/2013 - 13h28

Demain il sera libre grasse a la loi taubira

Portrait de noodlesclub
18/novembre/2013 - 13h24 - depuis l'application mobile

Ou simplement des malades mentaux qui écoutent les clans mafieux religieux des himams que combat le clan le pen......

Portrait de ARTISAN3
18/novembre/2013 - 13h24
haz59190 a écrit :

non simplement de malades mentaux qui écoutent religieusement le clan mafieu des le pen!

Bj, Sur l'ensemble des articles vous êtes en boucle sur Le Pen. Vous savez que l'on peut en avoir ras le bol, sans prôner les idées du fn.

Portrait de noodlesclub
18/novembre/2013 - 13h21 - depuis l'application mobile

Ou pas......

Portrait de burrows
18/novembre/2013 - 13h04 - depuis l'application mobile

mais qu'est ce qui se passe depuis ce matin ????