
La jeune femme, une escort-girl belge, à l'origine des accusations contre DSK, ne semble pas pressée de répondre à la convocation des enquêteurs lillois.
«Elle fait la morte», confie une source proche de l'enquête au Figaro. L'enquête préliminaire ouverte le 18 mai pour des faits «susceptibles d'être qualifiés de viol en réunion», commis lors d'une rencontre entre DSK, ses amis nordistes et des prostituées en décembre 2010 à Washington, n'a donc pas pu formellement commencer.
Les policiers vont néanmoins auditionner les autres protagonistes - Dominique Strauss-Kahn, dont la jeune femme dénonçait le comportement violent
Vos réactions
soeur anne, ma soeur anne ne vois-tu rien venir....
mais c'est bien sûr, encore un petit chèque pour sauver mon seigneur et maitre barbe bleue....meuhhh... blanche...
Manipulation.
Ça arrange bien la gauche j'ai l'impression.
Il aurait été un bon président. Mais pour le moment HOLLANDE se débrouille bien. Juste un peu dégoûté de voir comment ils réagissent quand on leur parle de DSK. Enfin c'est ça la politique : chacun pour sa gueule.
c'était aussi ma première pensée..
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