Le marché publicitaire montre "peu de dynamisme", a-t-il ajouté, donnant en exemple le cas du marché de la publicité musicale qui est, selon lui, "sinistrée".
Par ailleurs, Nicolas de Tavernost ne s'attend pas à de grosses retombées pour les chaînes privées historiques, du fait de la suppression attendue de la publicité pour l'audiovisuel public. Selon lui, il y aura au final un apport de 400 millions d'euros par an pour la publicité télévisée, toutes chaînes confondues.
Vos réactions
oh les pauvres...est ce qu il vont arriver a manger
ca craint pour lui
on les plaint les pauvres.
J'ai les larmes aux yeux, sniff sniff!
Finalement tout le monde a des problèmes de pouvoir d'achat! Bienvenu dans la vraie vie Nicolas!
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