Hier se déroulait la première audience au Tribunal de Grande Instance de Nanterre, Laurence Ferrari ayant assigné en justice la société qui édite « Closer » pour « atteinte au droit au respect de la vie privée » et «atteinte à son droit à l'image » après la publication de rumeurs la concernant et concernant un homme politique.
Lors de cette audience, M e Florence Watrin, conseil de la journaliste de Canal + et de RTL, a déclaré « Le propos de Closer est clair : la propagation d'une rumeur indigne de la liberté d'expression », avant de souligner « l'hypocrisie » du magazine qui n’aurait fait que relayer « de manière tapageuse cette méchante rumeur ».
L’avocate réclame ainsi 30 000 € de dommages et intérêt et une publication judiciaire en cas de condamnation du journal.
De son côté, l’avocate de Closer, M e Delphine Pando, confie «Laurence Ferrari est connue pour avoir travaillé en couple. Elle en a fait un atout professionnel. Elle a mis son couple, et son intimité, en avant pendant des années ». Selon elle, Laurence Ferrari aurait eu avec les médias une « attitude complaisante rarement égalée ».
Jugement le 20 décembre.
Revue de presse / Source: Le Parisien
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