27/07/2018 20:50

Alexandre Benalla au 20h de TF1 : "Je n'ai donné aucun coup. On essaie d'atteindre le Président, c'est profondément injuste. Il n'y a pas d'affaire d'Etat juste une affaire d'été" - Vidéo

20h39: Ce qu'à dit Alexandre Benalla ce soir au journal de TF1

Alexandre Benalla s'est exprimé ce vendredi dans le journal de 20h de TF1.

Il a réaffirmé n'avoir pas "porté" de coup lors de son intervention contre des manifestants le 1er mai à Paris.

"Je n'ai jamais tapé. Ce sont des gestes vigoureux mais pas des coups. Il faut regarder les images avant: le jeune avait reçu un coup de grenade auparavant par un CRS. C'est pour cela qu'il est apparu blessé".

Ses propos paraissent contredire les images dont la révélation par Le Monde, le 18 juillet, a déclenché la crise la plus grave subie par l'exécutif depuis l'élection d'Emmanuel Macron.

Une série de vidéos montre M. Benalla, alors adjoint du chef de cabinet de la présidence et homme clé du dispositif de sécurité entourant le chef de l'Etat, frappant et malmenant des manifestants le jour de la Fête du travail.

"Ce qui me choque c'est que les médias n'ont pas diffusé les images d'avant et les images d'après", plaide le jeune homme sur TF1: "C'est-à-dire les images qui provoquent ma réaction et ce qui se passe après, au moment de l'interpellation."

"Je ne considère pas avoir commis d'acte répréhensible par la loi, je considère juste avoir été confronté à des gens qui sont des casseurs, qui ont commis des actes délictueux. J'ai eu une réaction de citoyen qui a voulu aider à appréhender des gens qui sont pour moi des délinquants", poursuit-il en reprenant les arguments déjà développés dans une interview accordée jeudi au Monde.

Sur sa relation avec Emmanuel Macron, Alexandre Benalla a assuré ne pas se considérer comme un proche du Président mais bien comme un collaborateur. "Emmanuel Macron n'a rien avoir avec ce qu'il s'est passé le 1er mai.

Des gens essaient d'engager la responsabilité du président de la République."

«Je pense que ce qui s'est passé le 1er mai est une forme de trahison. Quand on est collaborateur du président de la République, il faut le protéger au sens général. Un collaborateur ne doit pas exposer le président à tout ce qu'on a pu voir, à toute cette tempête politique, médiatique…»

19h48: Ce que va dire Benalla sur TF1

Alexandre Benalla réaffirme, dans une interview enregistrée pour le journal de 20h de TF1, n'avoir pas "porté" de coup lors de son intervention contre des manifestants le 1er mai à Paris.

"Il y a des gestes qui sont vigoureux, qui sont rapides, mais il n'y a aucun coup porté", déclare l'ex-collaborateur de l'Elysée. Ses propos paraissent contredire les images dont la révélation par Le Monde, le 18 juillet, a déclenché la crise la plus grave subie par l'exécutif depuis l'élection d'Emmanuel Macron.

Une série de vidéos montre M. Benalla, alors adjoint du chef de cabinet de la présidence et homme clé du dispositif de sécurité entourant le chef de l'Etat, frappant et malmenant des manifestants le jour de la Fête du travail.

"Ce qui me choque c'est que les médias n'ont pas diffusé les images d'avant et les images d'après", plaide le jeune homme dans un extrait de l'interview diffusé en avance par LCI: "c'est-à-dire les images qui provoquent ma réaction et ce qui se passe après, au moment de l'interpellation."

"Je ne considère pas avoir commis d'acte répréhensible par la loi, je considère juste avoir été confronté à des gens qui sont des casseurs, qui ont commis des actes délictueux. J'ai eu une réaction de citoyen qui a voulu aider à appréhender des gens qui sont pour moi des délinquants", poursuit-il en reprenant les arguments développés dans une interview accordée jeudi au Monde.

Alexandre Benalla a été mis en examen notamment pour "violences en réunion", et licencié par l'Elysée.

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18h39: Alexandre BENALLA est l'invité ce soir du JT de 20H de TF1. Il s'exprime pour la 1ère fois à la télévision et répond aux questions d'Audrey Crespo-Mara, sur le plateau du JT.

 

16h18: La "police des polices", affirme dans un rapport qu'un haut gradé de la préfecture de police n'avait "pas évoqué" avec sa hiérarchie "la présence" d'Alexandre Benalla lors des manifestions du 1er-Mai.

"Il apparaît certain" que le chef d'état major adjoint de la direction de l'ordre public et de la circulation (DOPC), Laurent Simonin, "n'a pas évoqué avec son directeur la présence de M. Benalla sur le dispositif", estime l'Inspection générale de la police nationale (IGPN). Alexandre Benalla avait été filmé en train de frapper et malmener des manifestants, des vidéos à l'origine d'une tempête politique.

12h23: Fin de l'audition de Pierre Leleu, le patron des CRS déployés le 1er mai à Paris, par la commission d'enquête de l'Assemblée nationale

11h08: Pierre Leleu, le patron des CRS déployés le 1er mai à Paris, est auditionné à l'Assemblée nationale

Pierre Leleu indique avoir découvert "jeudi dernier que les personnes civiles présentes [Alexandre Benalla et Vincent Crase, ndlr] n'appartenaient pas aux forces de l'ordre"

"Pour cette journée du 1er mai, je n'avais pas été informé qu'il y avait des observateurs présents dans le dispositif."

Pour Pierre Leleu, Alexandre Benalla et Vincent Crase avaient "toute l’apparence de fonctionnaires de police" : "L’un avait un casque un poste radio, l’autre portait une arme de poing. On ne s’est même pas posé la question."

Pierre Leleu affirme que ce sont "ses effectifs" qui ont interpellé les deux manifestants avant de les remettre à des "personnels civils", qui "se sont avérés ne pas être fonctionnaires de police"

"La signalisation d’observateurs n’est pas quelque chose de normé" (...) "S’il doit y avoir une réflexion, il appartient aux échelons centraux de proposer un schama plus performant, plus cohérent"

11h07: "La décision de Guillaume Larrivé de suspendre sa participation à nos travaux ne fait nullement obstacle à la tenue de cette réunion", affirme la présidente de la commission d'enquête de l'Assemblée nationale

10h30: Le député Les Républicains des Alpes-Maritimes Eric Ciotti a appelé vendredi la majorité «à une réaction de dignité», au lendemain de l’implosion de la commission d’enquête sur l’affaire Benalla, estimant que l’Assemblée nationale «a été humiliée, a été abaissée».

«L’Assemblée nationale a été humiliée, a été abaissée, j’appelle la majorité à une réaction un peu de dignité, à ne pas être dans une soumission permanente à Emmanuel Macron», a déclaré M. Ciotti sur France Inter.

Le corapporteur LR de la commission d’enquête, Guillaume Larrivé, s’est dit jeudi «contraint de suspendre sa participation à ce qui n’est devenu hélas qu’une parodie», entraînant derrière lui le reste de l’opposition. La majorité avait refusé d’accéder à la liste d’auditions demandée par M. Larrivé, notamment «toute la chaîne hiérarchique» de l’Elysée, jusqu’au secrétaire général Alexis Kohler, et du ministère de l’Intérieur.

«Depuis le début (…) le groupe LREM, avec des ordres venus de l’Élysée, une présidente (Yaël Braun-Pivet, ndlr) paralysée, tétanisée par la crainte de la sanction macronienne, a refusé toute forme de transparence», a accusé Eric Ciotti.

10h20: Aujourd'hui, à 11h00, la commission d'enquête de l'Assemblée nationale auditionnera Pierre Leleu, commandant d'unité de la CRS 15 de Béthune

10h00: La présidente du Rassemblement national Marine Le Pen a accusé vendredi Emmanuel Macron de se comporter «comme un chef de clan», estimant qu'«il aurait dû avoir une parole officielle» sur l’affaire Benalla.

«Il se comporte comme un chef de clan, il est président de tous les Français, il n’est pas président d’En Marche. Il aurait dû avoir une parole officielle, il aurait dû s’adresser aux Français», a déclaré Mme Le Pen sur BFMTV et RMC.

«En guise de communication, on a une vidéo pseudo volée, en réalité une manœuvre de communication d’En Marche, d’un propos tenu devant des députés En Marche (...) et dans lequel il se comporte comme un chef de clan en disant +Qu’ils viennent me chercher+, sachant pertinemment que précisément la Constitution le protège», a-t-elle développé.

«C’est extrêmement immature de la part du président», a-t-elle jugé. «Ca me fait penser à ces gamins qui vont au zoo, qui sont protégés par une énorme vitre et qui viennent pour provoquer le tigre qui est derrière la vitre, sauf que ce sont les enfants qui font cela, pas le président de la République».

«C’est une affaire d’Etat (...) qui démontre qu’il existe une tentation lourde, et presque un commencement d’exécution, de la mise en œuvre d’une hiérarchie parallèle au niveau de l’Elysée, c’est-à-dire hors de tout contrôle démocratique», a-t-elle accusé.

09h40: Le rapport de la «police des polices», commandé par le ministre de l’Intérieur après la révélation d’une vidéo montrant l’ex-conseiller de l’Elysée Alexandre Benalla frapper des manifestants le 1er mai à Paris, sera publié ce vendredi après-midi, a indiqué une source au ministère de l’Intérieur.

Ce rapport avait été commandé à l’Inspection générale de la police nationale (IGPN) par Gérard Collomb au lendemain de la diffusion par le journal Le Monde le 18 juillet de cette vidéo dans laquelle un homme, identifié comme le collaborateur d’Emmanuel Macron, s’en prenait à un jeune homme à terre. M. Benalla accompagnait alors des policiers comme «observateur».

Auditionnée mardi par la commission d’enquête de l’Assemblée nationale sur l’affaire Benalla, la directrice de l’IGPN, Marie-France Monéger-Guyomarc’h, avait indiqué que le rapport serait rendu «jeudi ou vendredi».

M. Collomb a demandé à la «police des polices» de se pencher sur les règles encadrant la présence d'«observateurs» aux côtés des forces de l’ordre et d’éclaircir comment Alexandre Benalla et Vincent Crase, employé de LREM, avaient pu frapper et malmener de jeunes gens sur la place de la Contrescarpe (Ve arrondissement).

En plus des enquêtes administrative et parlementaire, une enquête judiciaire est également en cours sur l’affaire, à l’origine de la plus forte tempête politique depuis le début du quinquennat. M. Benalla, licencié par l’Elysée, a été mis en examen notamment pour «violences en réunion», de même que Vincent Crase.

08h25: Le chef de file des députés LR, Christian Jacob, dont le groupe a déposé jeudi soir une motion de censure contre le gouvernement qui sera débattue mardi prochain à 15h00, a lui aussi sommé à nouveau le président de «s’expliquer face aux Français».

Une autre motion de censure de gauche pourrait être débattue en même temps, mais avec un vote séparé, après la proposition faite jeudi soir par les socialistes aux communistes et aux insoumis de déposer une motion commune.

Du côté des soutiens d’Emmanuel Macron, son allié François Bayrou a discerné «une utilisation à des fins polémiques de ces événements condamnables, mais pas à la mesure d’une affaire d’État». Pour le président du MoDem, il y a un énorme contraste entre la réalité et l’exploitation qui en a été faite. Cela invite à se poser des questions.»

Mais la posture bravache et le mode de communication adoptés par Emmanuel Macron après de longs jours de silence semblent avoir fourni un nouvel angle d’attaque aux oppositions. M. Larcher dénonce ainsi une «conception de l’exercice du pouvoir très solitaire» et M. Jacob «une dérive monarchique».

Le patron du PS Olivier Faure estime, pour sa part, que «le pouvoir ment et fait mentir l’État», en évoquant des contradictions dans les multiples auditions à l’Assemblée et au Sénat.

08h22: Mais pour le président du Sénat Gérard Larcher (LR), la succession de déclarations impromptues du président depuis mardi ne vaut pas réponse aux citoyens. «Les Français sont préoccupés par le fonctionnement de nos institutions, par le fonctionnement même de l’Élysée et cette inquiétude, il appartient au président d’y répondre», a affirmé sur RTL ce poids lourd de la droite.

08h20: En déplacement dans les Hautes-Pyrénées, Emmanuel Macron a paru bien décidé à tourner la page de la première grande crise de son mandat. «J’ai dit ce que j’avais à dire, c’est-à-dire que je crois que c’est une tempête dans un verre d’eau. Et pour beaucoup, c’est une tempête sous un crâne», a déclaré le président à une journaliste de l’AFP.

«Il y a un président de la République qui est au travail, qui continue et que rien ne troublera», a ajouté quelques heures plus tard le chef de l’Etat en visite à Madrid. «Il y a eu un emballement par voie de presse», a-t-il détaillé devant la presse à l’issue d’un entretien avec le chef du gouvernement espagnol Pedro Sanchez.

08h15: Alexandre Benalla a livré jeudi sa part de vérité sur l’affaire qui secoue l’exécutif, tandis que l’opposition claquait la porte de la commission d’enquête de l’Assemblée.

Guillaume Larrivé (LR), corapporteur de la commission d’enquête de l’Assemblée sur l’affaire Benalla, a suspendu sa participation «à ce qui n’est devenu hélas qu’une parodie», après que la présidente de la commission Yaël Braun-Pivet (LREM) eut refusé ses demandes d’audition.

D’autres groupes de l’opposition lui ont emboîté le pas en fin de journée, à commencer par les Insoumis et les communistes. Ces développements surviennent alors qu’Alexandre Benalla, mis en examen pour avoir malmené et frappé deux manifestants le 1er mai, pointe dans une interview au Monde «une volonté d’atteindre le président de la République» à travers lui.

Le principal protagoniste de l’affaire commence par assumer «une grosse bêtise» et «une faute». «Sur ce qui s’est passé après», poursuit-il, «je suis beaucoup plus réservé. Il y avait en premier une volonté d’atteindre le président de la République, c’est sûr et certain. Et je suis le maillon faible, je le reconnais. Et en même temps, il y a énormément de gens qui se frottent les mains en se disant +Ça y est, on s’est débarrassé de lui, il ne va plus nous emmerder, c’est fini+».

«Les gens qui ont sorti cette information sont d’un niveau important (...) des politiques et des policiers», estime-t-il en précisant qu’il ne vise pas le ministre de l’Intérieur Gérard Collomb.

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Vos réactions

Portrait de claud34
28/juillet/2018 - 09h54

Je croyais que la loi interdisait de transformer une mise à pied, donc sans salaire, en congé payé.

Portrait de fairytale
28/juillet/2018 - 09h22

Aller la prochaine étape ce sera "Danse avec les Stars" sur TF1 (la chaine tellement intègre ,qui véhicule tant  des "ondes positives" et des "valeurs républicaines"!!!LOL 

Portrait de fairytale
28/juillet/2018 - 03h04

Voilà c'est ça l'info sur TF1!! Une mascarade animée par la belle blonde de service! lol

Portrait de Jilou1994
27/juillet/2018 - 22h44

Effet pensée magique !

Portrait de GRIBOUILLE
27/juillet/2018 - 22h04
onebob a écrit :

 des gens qui balances des truc sur la police c est quoi ?? ,un croche pieds violent lol , et si la delinquante  obeis et se mets assis pas de croche pieds...je comprends mieux pouuquoi neymar a la coupe dumonde  fesait plein de roulade surement trop de croche pieds violent mdr, il aurait du porter plainte....

vous répondez sur la jeune femme et le croche pieds mais le mec qui devient un pantin tellement il est frappé vous trouvez ça normal, bravo la 5ème république, on est en France ou ailleurs dans un pays totalitaire ????? le mec est un pantin ou vous répondez qu'il jette sur les policiers des pavés, ça ne mérite pas de devenir une loque entre les mains de ce "collaborateur" devenu flic!!!!!!

Portrait de Verygood
27/juillet/2018 - 21h17
onebob a écrit :

allez regarder 90  enquetes , vous verrez comment les delinquants sont arreter...avec un bouquet de fleurs ???...la 2 ieme video on voit rien...la 3 ieme video on voit benala gueulant ....ah oui la quelq un qui gueule sur un policier c est prison direct....vous etes serieux ???

 

Non pas avec un bouquet de fleurs, mais primo les policiers sont policiers (ce n'est pas le cas de Benalla), ensuite et les policiers l'ont très bien expliqué, on voit sur la vidéo que Benalla n'a pas les techniques pour neutraliser un manifestant.

Sur la 2e vidéo on en voit plus que vous voulez le voir, d'ailleurs il y'a eu dépot de plainte (il doit y avoir en pus de vidéo un certificat médical par exemple).

Sur la 3e vidéo je l'ai dit Benalla n'est pas policier donc il n'a pas à s'en prendre à la police, de plus il devait ne s'occuper suite à sa mise à pied que de l'Elysée : Que faisait-il à Roissy ?

 
Portrait de kapitan
27/juillet/2018 - 21h13
onebob a écrit :

il a eté puni et viré pour ca ... allo , il y a une enquete judiciaire , laissons faire l enquete....pi article je sais plus quoi il a aidé la police lol

 

 

houla!!!

Le debut des borborygmes maintenant !!! smiley

Portrait de Micheldu17.02
27/juillet/2018 - 21h11

Bori Vian :

Une bonne paire de claques dans la gueule

Un bon coup d'savate dans les fesses

Un marron sur les mandibules

ça vous r'f'ra une deuxième jeunesse

Une bonne paire de claques dans la gueule

Un direct au creux d'l'estomac

Les orteils coincés sous une meules

Un coup d'pompe en plein tagada ♪ ♫ ♫

Portrait de Verygood
27/juillet/2018 - 21h11
onebob a écrit :

allez regarder 90  enquetes , vous verrez comment les delinquants sont arreter...avec un bouquet de fleurs ???...la 2 ieme video on voit rien...la 3 ieme video on voit benala gueulant ....ah oui la quelq un qui gueule sur un policier c est prison direct....vous etes serieux ???

 

Je suis sérieux. Je vois que les macronistes essaient d'avoir la main dans les fils de discussion.

Autour de moi tout le monde est écoeuré, et dire qu'on a voté pour ce personnage.....

 
Portrait de B612
27/juillet/2018 - 21h09

Moi aussi j'ai un test à proposer : aller dans une manif' preter main-forte aux CRS. On verra s'ils sont d'accord. smiley Ca m'étonnerait que n'importe quel bon samaritain de base se retrouve au centre des opérations comme l'a été Benalla.

Portrait de GRIBOUILLE
27/juillet/2018 - 21h05
onebob a écrit :

allez regarder 90  enquetes , vous verrez comment les delinquants sont arreter...avec un bouquet de fleurs ???...la 2 ieme video on voit rien...la 3 ieme video on voit benala gueulant ....ah oui la quelq un qui gueule sur un policier c est prison direct....vous etes serieux ???

 

Un délinquant les grands mots de Benalla, c'est un manifestant qui est violenté par ce dernier quand on voit la vidéo on dirait un "pantin" d'ailleurs la jeune femme auparavant pour la faire asseoir, il lui fait un croche pied violent, à part ça il ne donne pas de coup, il nous prend pour qui ce type, dans l'interview il répète ce que son avocat lui a recommandé de répondre, quelle honte et en plus il pense que l'on atteind à travers cette vidéo le Prédident de la République. On croit rêver. On va bientôt lui donner un médaille de "bon collaborateur" .

Portrait de kapitan
27/juillet/2018 - 21h04
onebob a écrit :

kapitan je te propose un petit test , rends toi dans un quartier de la capitale , balance des projectiles sur des policiers , et n obtempère pas quand ils viendront t arreter...on verra comment ca se passe...surement avec des SVP , et des bouquets de fleurs...ou peut etre une matraque dans les fesses ....

bien rasé et bien habillé , ben oui quel ane il aurait du mettre un jogging , pour passer un journal de tv.....d aiileurs tout le monde viens mal sapé au journal...quelle mauvaise foi

Mais vous racontez n'importe quoi !!!

Benalla est policier??? il était habilité a proceder a une arrestation ??

Reflechissez, si c'est possible!!!,  2 secondes avant de poster !

Dingue de sortir autant de conneries comme soit disant argument ! smiley

Portrait de kapitan
27/juillet/2018 - 20h49
Nexus20 a écrit :

Je suis sidéré par les commentaires de mauvaises foi. effectivement si on observe tranquillement les vidéos on se rend compte que ce monsieur a raison, il n'a pas porté de coups appuyés. apres que certains veuillent en faire un débat politique c'est autre chose. 

Comme quoi on peut avoir une vision differente des memes images

Moi, j'ai plutot trouvé le moment comique, moment ou il dit "je ne l'ai pas frappé, juste été vigoureux", et dans le meme temps ou on voit derriere les images lui filer un coup dans la nuque, un coup de pied dans les jambes...

Il y avait vraiment un décalage entre les mots et les images !

Portrait de Verygood
27/juillet/2018 - 20h42

Journaliste en dessous de tout : aucune contradiction.

Par exemple quand il dit qu'à travers lui on a voulu atteindre Macron, elle aurait du lui dire que normalement après un délit de fuite on n'est pas embauché à l'Elysée, et après une telle video n'importe qu'elle personne est viré de sa société.....

En fait interviewer Benalla ne sert à rien, il débite ce que lui a soufflé son avocat, c'est Macron qu'il faut interviewer : les citoyens qui l'ont élu ont le droit de savoir.

Une 2e video circule, 2 personnes en déposé plainte contre Benalla.

Une 3e video montrant Benalla à Roissy lors du retour des bleus le montre engueulant des policiers hors il n'est pas policier, de plus il est vraiment rustre, une supérieur ne s'adresse pas comme cela à ses subalternes.

 
Portrait de LaVoix
27/juillet/2018 - 11h20

 «J’ai dit ce que j’avais à dire, c’est-à-dire que je crois que c’est une tempête dans un verre d’eau. Et pour beaucoup, c’est une tempête sous un crâne»

LaVoix à dit c'est plutôt un Icerberg !!!

La partie immergée de l'iceberg, la partie cachée, la plus importante, d'une affaire, en général délictueuse.