13/02/2022 18:24

Convois de la liberté - Plusieurs véhicules ont pris position en fin d'après-midi devant la Tour Eiffel où la police est arrivée avec des véhicules blindés de la gendarmerie - Regardez

18h23: Des manifestants en petit nombre restent aux abords de la Tour Eiffel

 

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18h14: Les autorités belges ont rappelé dimanche aux participants des convois anti-pass vaccinal qu'il était interdit de manifester lundi dans la capitale , tout en multipliant les avertissements en direction des habitants sur les difficultés d'accès aux hôpitaux et à l'aéroport.

La police de Bruxelles a mis en ligne sur les réseaux sociaux des consignes en quatre langues -français, néerlandais, allemand et anglais : interdiction de manifester avec les véhicules, conseil de ne pas se rendre à Bruxelles en voiture, canalisation des convois sur un parking du parc des expositions, à la périphérie de la ville, "seul endroit où une action statique sera tolérée".

17h58: Plusieurs véhicules du convois de la liberté sont en ce moment devant la Tour Eiffel où la police a pris position.

 

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13h11:La police canadienne a reprisson opération pour dégager le pont Ambassador, axe frontalier névralgique entre le Canada et les Etats-Unis bloqué depuis lundi 7 février par des manifestants anti-mesures sanitaires.

 

Un important contingent de policiers s'est regroupé aux abords du pont en début de matinée et les forces de l'ordre ont commencé à procéder à des arrestations et à remorquer des véhicules, a indiqué la police de Windsor dans un tweet.

10h08: 81 personnes étaient en garde à vue à Paris, ce dimanche à 6h. Les forces de l'ordre ont procédé samedi à Paris à 97 interpellations et 513 verbalisations d'opposants aux mesures sanitaires, selon un bilan global communiqué dimanch par la préfecture de police de Paris.

Dans un tweet, la préfecture de police a ajouté "maintenir son dispositif ce dimanche" pour empêcher les manifestants des convois anti-pass de bloquer la capitale.

07h56: La Préfecture de Police annonce la mise en place de nouveaux points de contrôle ce dimanche contre les manifestations interdites

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06h28: Vers minuit, les forces de l'ordre tentaient encore de disperser quelques dizaines de manifestants irréductibles près des Champs-Elysées, après avoir réussi à les repousser dans des rues adjacentes. Plus tôt en début d'après-midi, plus d'une centaine de véhicules avaient rejoint cette célèbre avenue de la capitale, des automobilistes, certains désormais à pied, agitant des drapeaux ou scandant "liberté", alors que leur manifestation n'avait pas été autorisée.

La situation s'est ensuite tendue: la place de l'Arc de Triomphe puis l'avenue ont progressivement été évacuées par les forces de l'ordre à coups de gaz lacrymogènes. Le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin a indiqué samedi soir dans un tweet que 337 personnes avaient été verbalisées et 54 interpellées par les forces de l'ordre à Paris.

Parmi elles, une figure emblématique des "gilets jaunes" Jérôme Rodrigues, en tant qu'organisateur d'une manifestation interdite par le préfet de police de Paris, selon une source policière.

Rassemblement hétéroclite d'opposants au président Emmanuel Macron, au pass vaccinal et de "gilets jaunes", ceux qui se font appeler "convois de la liberté" se sont constitués sur le modèle de la mobilisation qui paralyse actuellement la capitale canadienne Ottawa.

Jérôme Rodrigues, une des figures du mouvement des "gilets jaunes", filme la manifestation qui se déroule place d'Italie à Paris, le 12 février 2022

Voitures, camping-cars et camionnettes sont partis de Nice, Lille, Strasbourg, Vimy (Pas-de-Calais) ou encore Châteaubourg (Ille-et-Vilaine) pour rejoindre la capitale à vitesse réduite sur des routes secondaires. "Il y a eu quelque chose d'extraordinaire sur la route (...) Des gens nous ont fait des signes, on a même vu un maire avec son écharpe nous faire de grands signes. Une ambiance de folie!", a témoigné auprès de l'AFP Jean-Pierre Outrequin, Perpignanais de 65 ans, finalement arrivé sur les Champs-Elysées.

05h46: Gilets jaunes et anti-pass sanitaire se sont donné rendez-vous en début d’après-midi sur la place de la Comédie à Montpellier pour manifester leur soutien aux « convois de la liberté », ce mouvement international contre les restrictions dues à la crise sanitaire.

Entre 2500 et 5000 manifestants, étaient présents : des gilets jaunes en tête de cortège, suivi des opposants au pass sanitaires. La situation très tendue dès le départ, avec 80 CRS déployés, a rapidement dégénéré. Une centaine de blacks blocs vêtus de noir, ont semé le trouble.

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Vos réactions

Portrait de Moimême231334
13/février/2022 - 21h32
RED2510 a écrit :

+1

Vous ne vivez que par vos chiffres.  Le mouvement vient à peine de commencer  que vous sortez déjà vos chiffres. Vous croyez porter la parole de 70 millions d'habitants derrière vous.  Vous êtes porté parole de ces gens là ? Ce n'est pas parce que les gens ne vont pas à la manifestation qu'ils ne la soutiennent pas. Comme moi. Moi je vais pas souvent à l'église ça veut pas dire que je crois pas en dieu. Les gens ont suivi les directives parce qu'ils étaient obligés sinon personne ne se serait fait vaccinés.  Je vous plaint , vous devez avoir une misérable vie à passer votre temps sur ce blog à commenter  c'est normal vous devez vous sentir seul chez vous. Quoi que vous seriez capable d'imposer un pass sanitaire et masque obligatoire pour venir chez vous.  je vous plaint sincèrement 

Portrait de Orwell2024
13/février/2022 - 20h17

Allez voir sur les sites étrangers, ils sont sidéré de la dictature macroniste , tapez presse étrangères et faites traduction avec Google traduction ou autres !

Portrait de Lunesoleil
13/février/2022 - 19h40

Macro demande de rester calme et envoi des blindés ???

Portrait de Tranquillou et plus
13/février/2022 - 19h13

Des chars contre de sortes de Gilets Jaunes ! Où va-ton ?Et quand il y a un féminicide ou une agression on ne sait où se trouve la police !

Portrait de lumelec
13/février/2022 - 18h55

on n' envoie pas les chars dans les cités mais sur des familles ; joli ! et il faudrait aller voter ???

Portrait de Wirickx
13/février/2022 - 08h25

Combien de temps avant que les forces de l'ordre rejoignent le mouvement ?

 

Les policiers, les gendarmes sont des citoyens tout comme ceux qui sont, aujourd'hui et le seront les jours suivants, dans la rue pour défendre leur droit de vivre, de se déplacer. Des citoyens qui disent « Non » à l'hypocrisie et à la lâcheté des pleutres qui ont instauré le pass sanitaire ou vaccinal, qui n'est qu'une obligation vaccinale déguisée. Ce sont des familles ordinaires qui défilent pacifiquement pour crier haut et fort qu'il est hors de question de toucher à l'intégrité physique et mentale de tous les enfants...Y compris les enfants de ceux qui, matraque en main, leur font face .

 

Comme les policiers et les gendarmes, les manifestants ne sont pas des délinquants, des hooligans ; ils ne sont pas là pour casser du flic. Ils respectent les hommes et les femmes qui se sont engagés dans la police ou la gendarmerie afin d'assurer la sécurité de tous. Les manifestants auront toujours en mémoire tous ceux qui ont donné leurs vies pour protéger leurs familles.

 

Peut on en dire autant des politiques, de leur hiérarchie, pour qui un policier, un gendarme n'est qu'un numéro dont ils ne connaîtront le nom que lors d'une cérémonie funéraire. Un fonctionnaire ou un militaire qui depuis presque deux ans a comme mission de verbaliser, d'empêcher de vivre celui qui, pour une raison ou une autre n'est pas vacciné. Par décision politique, ils sont devenus les complices d'une politique sanitaire répressive qui interdit à un honnête citoyen d'aller dîner, de voyager, de voir un film au cinéma ou de faire du sport en salle en toute liberté.

 

Combien de temps, les policiers et les gendarmes accepteront ils de matraquer ces citoyens qui résistent à cette dictature sanitaire ; de risquer de blesser, de tuer leurs frères et sœurs ? Alors que dans le même temps les vrais criminels, les dealers, les agresseurs vivent en toute liberté et les menacent physiquement chaque jour, sans que cela émeuve nos dirigeants.