Plusieurs éléments recueillis par les enquêteurs ont conduit à accréditer l’hypothèse d’une radicalisation de Mickaël Harpon, l’employé de la direction du renseignement de la Préfecture de police de Paris (DRPP) qui a poignardé à mort, jeudi 3 octobre, quatre de ses collègues.
Des charges qui vont à l’encontre des premières déclarations du ministre de l’intérieur, Christophe Castaner, quelques heures après l’attentat. Ce dernier avait affirmé que cet employé, atteint de surdité et en poste à la PP depuis 2003, « n’avait jamais présenté de difficultés comportementales », ni « le moindre signe d’alerte ».
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