17/06/2019 10:30

Gilets Jaunes: Le technicien d'une radio renvoyé après avoir interpellé Christophe Castaner sur les violences policières ?

Dimanche dernier, alors que Christophe Castaner visitait le PC Sécurité de l'Armada, un jeune technicien du son a interpellé le ministre de l'Intérieur sur les violences policières contre des gilets jaunes. La société qui l'employait comme sous-traitant n'a pas apprécié, et a mis fin à sa mission.

Selon France Bleu qui révèle l'information, l'homme était employé comme sous-traitant par la société normande Scorpion, afin de réalise les émissions de la radio officielle de l'Armada. Radio, dont les studios sont situés au PC Sécurité, que Christophe Castaner est venu visiter dimanche dernier.

Sur la page Facebook de Rouen dans la Rue, le jeune homme raconte sa version de l'incident : "j’ai pris mon courage à deux mains pour l’interpeller et lui parler, je lui ai dit « une pensée pour nos éborgnés ».

Et il poursuit: "Suite à cet échange, ses RG personnels ont relevé mon identité, mes intentions et presque toute ma vie... Je me suis fait virer comme une m... du poste que j’occupais C’est un licenciement abusif !""

Une version contredite par la société Scorpion : "Ce n'est pas un licenciement car l'homme n'était pas un salarié, il s'agissait d'un sous-traitant"

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Vos réactions

Portrait de Kateadams
27/juin/2019 - 11h50
jjg a écrit :

Comment peut on accepter ça.

Sommes nous en démocratie ??

La démocratie, c'est de l'histoire ancienne.  La liberté aussi.  Liberté-Egalité-Fraternité, c'est mort !!

Portrait de endimion34
17/juin/2019 - 12h58

bon allez, je vais vous faire un rappel de la vraie vie et non celle que vous fantasmez.

quand vous êtes sur votre lieu de travail, vous représentez votre entreprise

le fait que ce crétin sans cervelle interpelle le ministre sur un point dérangeant, implique que c'est la société qui l'embauche, qui pose la question, car il l'a fait pendant ses heures de travail

de ce fait, la société qui le recrute, ne peut tolérer ce genre de débordement

car dans la vraie vie, cette société peut un jour répondre à un appel d'offre du ministère de l'intérieur, et se voir refuser des contrats pour ce genre d'écart

j'aurais été le patron de la société qui l'embauche, j'aurais déposé plainte contre ce type pour volonté de nuire à l'image de l'entreprise qu'il représente

les gens confondent lieu de travail et bistrot du coin

et moi je dis qu'il doit s'estimer heureux de n'avoir que été licencié

Portrait de woaumacte3
17/juin/2019 - 11h57

Bien fait pour sa tronche..

Oui on vire les m....S comme des M....s

Portrait de jjg
17/juin/2019 - 11h31

Comment peut on accepter ça.

Sommes nous en démocratie ??