Dans la préface du livre "La glace à la vanille" d'Alain Deloche paru cette semaine, Valérie Trierweiler affirme qu'elle n'avait pas choisi d'être Première dame, assurant que ce rôle lui a été imposé, rapporte le site de BFM TV.
"Nous étions alors au début du quinquennat, et je m'interrogeais sur le sens de l'engagement qui devait être le mien. Première dame, je n'avais pas choisi de l'être!", at-elle écrit.
Et d'ajouter: "Je l'étais devenue par la force de l'histoire, parce que j'étais la compagne du président nouvellement élu".
Valérie Trierweiler revient également au début du livre du cofondateur de Médecins sans frontières et de Médecins du monde sur l'engagement humanitaire et social que représente cette fonction: "Or, même si aucun statut juridique ne définit le rôle d'une première dame, en revanche, la tradition, veut qu'elle se penche, sur le sort de ceux - et ils sont nombreux - qui lui écrivent, parce que désespérés de contaster que la société les laisse au bord du chemin".
Vos réactions
Eh...on s'en fout complet de ce qu'elle pense.
quelle hypocrite celle la ,quand hollande était élu c'est elle même qui a demandé a hollande de l'embrasser devant toute la france alors quelle ballai devant sa porte avant de dire n'importe quoi
Quelle glu cette Valoche !
elle a pourtant déclarée juste après l'élection, qu'elle ne serait pas une "potiche".
Soit elle a des soucis de mémoire,
soit elle dit n'importe quoi,
soit les 2
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